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Actualités - Guide - Une école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves. Le rôle essentiel des équipes éducatives dans l'accompagnement des élèves La qualité du climat scolaire de l'établissement joue en effet un rôle essentiel pour créer un environnement favorable aux apprentissages et au bien-être des élèves. Pour ces derniers, se sentir soutenus par leurs enseignants est un facteur particulièrement important qui favorise le sentiment d'aimer l'École. Télécharger le guide "une école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves" Une approche pragmatique Le guide a été réalisé avec des experts et des personnels de terrain, et se veut pragmatique et adapté à la réalité quotidienne des établissements.

A partir de ce que chacun peut voir et entendre dans un établissement, il propose des pistes d'actions pour répondre aux signes d'alerte manifestés par les élèves et leur assurer ainsi un cadre protecteur. Le site climat scolaire Climat scolaire est un site web collaboratif. « Il faut bouleverser la durée des cours » Vous voyez dans votre pratique quotidienne de plus en plus d’élèves qui s’ennuient ou sont démotivés. Et la formation des enseignants encore moins. Beaucoup d’élèves disent qu’ils s’ennuient à l’école. Mais le développement de la démotivation va au-delà du simple ennui. Il est lié à un bouleversement cognitif et relationnel qui s’est accéléré ces deux dernières années. Pour se motiver, il faut en effet se sentir sécurisé. Or les enfants et les adolescents ont vécu les effets de la crise financière de façon très insécurisante. Dans le même temps, le boom des nouvelles technologies a opéré dans la vie des enfants et des adolescents une autre mutation profonde. Ils sont habitués à grappiller des informations, au moment où ils en ont besoin.

Vous voulez dire que l’écolene prend pas en compte la réalité de ce qu’ils vivent ? L’école a été prise de court, elle n’a pas anticipé. Quel devrait être dans ce contexte le rôle des adultes, notamment celui des enseignants ? Descoings : « enseigner le sens de ce qu’on enseigne » D e nombreux élèves poursuivent des études sans forcément en percevoir le sens. Ce phénomène est-il lié à ce qu’on appelle la « massification »de l’enseignement ? L’interrogation autour du sens des apprentissages n’est pas nouvelle, loin s’en faut. Quand Jules Ferry, à la fin du XIXe siècle, a instauré l’instruction obligatoire, il a dû convaincre les parents de l’intérêt que représentait la classe pour leurs enfants. Il a d’ailleurs été prévu, en guise de compromis, de longues vacances scolaires pour permettre à ces derniers de participer aux moissons. J’ajoute qu’il a aussi fallu vaincre de fortes réticences s’agissant de l’instruction des filles.

Beaucoup pensaient en effet qu’il n’était pas nécessaire d’aller à l’école pour faire une bonne épouse. Un préjugé qui a eu la vie longue. Comment, malgré tout, aider ces élèves à percevoir le sens des apprentissages ? À tout moment, il faudrait pouvoir enseigner le sens de ce qu’on enseigne, y compris en primaire. Cette ambition a du sens. Colloque du Sénat : Un pas vers la privatisation de l'Ecole ? Par François Jarraud Organisé par la "Mission d'information sur l'organisation territoriale du système scolaire et sur l'évaluation des expérimentations locales en matière d'éducation" du Sénat, le colloque du 4 mai est le dernier événement avant la remise du rapport final de la Mission fin juin.

On en retiendra surtout la fin : la révélation, par un organisme inconnu mais invité par la Mission, d'une étude qui affirme que le coût d'un élève est nettement plus onéreux dans le public que dans le privé du fait d'une gestion publique "laxiste". De là à conclure sur la nécessaire privatisation du système éducatif, il n'y a qu'un pas. La Mission le franchira-t-elle ? Faut-il privatiser l'Ecole française ? Commençons le colloque par sa fin, retentissante. La dernière intervention du colloque a été celle d'Agnès Verdier-Molinié, présidente de l'IFRAP. Existeraient entre régions et départements. L'école privatisée en modèle. Regrouper les écoles rurales. Quels objectifs pour ce colloque ? Changer l'école, c'est possible ! Meirieu - Faire la classe aujourd'hui. L'école française est-elle en train de changer de modèle?

Le collège fonctionne mal. A peine plus d'un Français sur deux (51%) trouve que le col­lège « fonc­tionne bien » et les deux tiers des per­sonnes inter­ro­gées (67%) se pro­noncent pour une remise en cause du « col­lège unique ». A l'inverse, 46% des son­dés déclarent que le col­lège, public ou privé, fonc­tionne mal, dont 14% « très mal ». C'est en tout cas ce qui res­sort d'un son­dage CSA pour La Croix et l'Association des parents d'élèves de l'enseignement libre (Apel). Si 56% des Français consi­dèrent que le « col­lège favo­rise l'égalité des chances », ils ne sont plus que 46% à pen­ser qu'il pré­pare plu­tôt bien les élèves à la suite de leur sco­la­rité et à leur inser­tion pro­fes­sion­nelle. Principale rai­son évoquée par les parents d'élèves : les sur-effectifs. Pour 42% d'entre eux, il y a trop d'élèves par classe.

Mais les cri­tiques concernent aussi le sys­tème éduca­tif dans son ensemble et n'épargnent pas l'école pri­maire. La mixité des classes ne suffit pas à garantir l’égalité filles-garçons. Des filles moins bonnes en maths, des garçons meilleurs en sport, plus de « garçons manqués » que de « filles réussies », la mixité de genres au sein des établissements scolaires n’empêche pas aux stéréotypes sexistes d’avoir la vie dure. Et les enseignants d’en véhiculer également, le plus souvent malgré eux. Deux points d’écart entre filles et garçons en sport « Les questions liées au genre, au sexe nous interrogent sans que l’on n’ait appris à y répondre », avance Cathy Patinet, professeur d’EPS (éducation physique et sportive) depuis trente-quatre ans. Selon elle, les enseignants transmettent la norme malgré eux. Ne serait-ce que par le langage. « Il est commun de dire que les garçons sont plus forts, plus rapides, alors que les filles sont plus organisées, plus méthodiques », illustre-t-elle.

Jeune enseignante, elle se penche rapidement sur cette question, constatant que globalement, en sport, « les filles n’y arrivent pas ». La pédagogie peut venir à bout du sexisme Agenda. La différenciation pédagogique.