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Réfrigérateur, lave-linge, ordinateur, automobile: qui en a, qui n'en a pas? En 2014, 96% des ménages français possédaient un lave-linge et presque autant un téléviseur, selon une étude de l'Insee publiée ce mardi 1er mars.

Réfrigérateur, lave-linge, ordinateur, automobile: qui en a, qui n'en a pas?

En revanche, les propriétaires d'automobile sont de moins en moins nombreux. Au cours des années 60-70 est apparue toute une série d'appareils destinés à faciliter le quotidien des français: frigo, lave-vaisselle, lave-linge…Seule une minorité de ménages pouvaient à l'époque se payer ces équipements coûteux. Mais avec le progrès technologique, ces biens qui étaient autrefois l'apanage des plus aisés, se sont énormément démocratisés. Au point que le pourcentage des ménages tricolores qui détiennent ces biens, appelés "biens durables", atteint aujourd'hui des proportions remarquables. C'est ce que montre l'Insee dans une étude publiée ce 1er mars. 100% des ménages ont un frigo "À par les étudiants, il est rare de voir des ménages où le lave-linge n'est pas présent.

Coup de frein sur les voitures Une effet de génération. Marketing : Histoire des flops et erreurs des grandes marques. Même si l’on sait que ce n’est pas une science exacte, l’Histoire est ponctuée de grands flops ou de grandes erreurs dans ce domaine.

Marketing : Histoire des flops et erreurs des grandes marques

Marketing et échecs ? Pourquoi ? Parfois pour un simple problème d’ego, ou bien un produit ne correspondant pas du tout à l’image d’une marque, ou encore une sortie trop en avance sur son temps, un défaut d’étude de marché ou tout simplement un mauvais positionnement par à rapport à la clientèle ciblée.

Pour la plupart de ces grandes entreprises ou grandes marques, ces erreurs n’ont pas eu trop de graves conséquences. Certaines ont même su magnifiquement rebondir comme Apple, malgré l’échec cuisant à son époque d’un ordinateur personnel, « Lisa », hors de prix même pour quelqu’un qui en avait les moyens. D’autres ont failli ne jamais s’en remettre, comme Kodak, n’ayant pas cru dans l’ère du numérique et qui a avait déposé le bilan en 2012.

Pour conclure, voici un livre intéressant sur le sujet : Voici l’histoire de ces décisions qu’il eût fallu éviter. 10 plus grands échecs de lancement de produits - Luc Dupont. Les entreprises nord-américaines conçoivent plus de 10 000 nouveaux produits annuellement.

10 plus grands échecs de lancement de produits - Luc Dupont

Mais attention : si plus de 90 % des consommateurs essayent un nouveau shampoing chaque année, la durée de vie moyenne d’un parfum est de 18 mois. Comme je le mentionnais en entrevue à Benoît Dutrizac du FM 985 Montréal et comme je l’écrivais dans un billet précédent, il y a donc des dangers associés aux lancements de nouveaux produits. Selon Kevin Clancy et Robert Shulman, les nouveaux produits échouent pour quatre raisons principales. Premièrement, la stratégie de positionnement est faible (3 échecs sur 10). Deuxièmement, le produit n’est pas à la hauteur (3 échecs sur 10). Voici mes 10 flops marketing les plus importants de tous les temps (pour ceux que cela intéresse, il existe un musée des produits disparus aux États-Unis, lequel est aujourd’hui hébergé par une firme spécialisée dans la conception de nouveaux produits) : 1. Bêtisier marketing : 66 ratages devenus des cas d’école… et les leçons à en tirer. Il manquait à l’édition française un vrai, un bon petit bouquin sur les loupés du marketing.

Bêtisier marketing : 66 ratages devenus des cas d’école… et les leçons à en tirer

Bonne nouvelle : cette lacune est désormais comblée ! Et il faut en remercier Catherine Heurtebise¹ et les Editions François Bourin, qui ont osé s’atteler à la tâche, compiler et décrypter la crème des mauvaises inspirations et autres bévues mercatiques, pour nous livrer cet instructif « bêtisier »². Instructif ? Oui, parce qu’à la lecture de ces différents cas, plus ou moins connus, j’avoue avoir souvent souri, mais surtout beaucoup appris. Alors je le concède : les puristes trouveront sans doute à redire à cette sélection, forcément incomplète et arbitraire. Afin de ne pas trop déflorer l’ouvrage ni sombrer dans la fiche de lecture, je vous propose ci-dessous une synthèse des cas qui m’ont le plus marqué. De la petite boulette sans incidence aux « accidents » marketing les plus ruineux… Pourtant, à y regarder d’un peu plus près, on peut distinguer selon moi 4 familles de causes d’échec. La segmentation marketing (exemple inclus)

Le ciblage marketing. Le ciblage marketing.