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Anonymous

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Les activistes pro-WikiLeaks Anonymous changent de stratégie. Wikileaks : Anonymous, après l'opération "Payback", opération "Paperstorm" WikiLeaks : les Anonymous veulent redorer leur blason avec l'opération Leakspin. Des hackers anonymes veulent attaquer les anti-Wikileaks. Anonymous en soutien à Wikileaks, cyberguerre et attaques DDoS. La guerre de l’information n’est pas la cyberguerre par Olivier Tesquet Depuis hier , les Anonymous ont lancé une vaste campagne d’attaques contre les organismes qui ont décidé de fermer les vannes d’approvisionnement de WikiLeaks.

Ce cortège hétéroclite d’internautes partisans de l’action – en ligne – directe, rendu célèbre par son combat contre l’Église de Scientologie en 2008, est entré dans une nouvelle phase de l’”Operation Payback” (littéralement, “Opération Riposte”), entamée il y a quelques semaines pour lutter contre les ayatollahs du copyright. A en croire certains, on serait entrés de plain-pied dans la première “infowar”, un cas concret de guerre de l’information généralisée1). Si on déroule le fil des événements, il faut bien reconnaître le climat d’extrême tension, marqué par une escalade de la violence qui, faute d’être physique, est moralement symbolique (en plus d’être juridiquement inquiétante). Il est pour l’instant relativement mineur. Les attaques DDoS, légitimes?

WikiLeaks – Les hackers vengent Julian Assange. Mastercard, Visa, Paypal ou encore la banque postale suisse. Toutes ces entreprises ont vu leur site Internet connaître des dysfonctionnements plus ou moins importants ces derniers jours. Toutes ont en commun d'avoir gelé les comptes bancaires ou les cartes de crédit utilisés par WikiLeaks. Coïncidence ? Certainement pas. Le blog du service bancaire Paypal a été hors service pendant 4 jours. . « Opération vengeance » Ces sites subissent, depuis lundi soir, des attaques par déni de service qui visent à les surcharger ce dernier et les rendre indisponibles.

Certaines de ces attaques sont par ailleurs revendiquées par les Anonymous. Parmi les autres cibles potentielles figurent aussi eBay, Amazon ou le site web de Sarah Palin. « C'est le 11 septembre d'Internet » écrivent même certains sur le forum de discussion du site. [MAJ] La guerre de l’information n’est pas la cyberguerre » Article » OWNI, Digital Journalism. En prenant activement la défense de WikiLeaks, les Anonymous ont-ils franchi un cap supplémentaire dans la guerre de l'information? Le vocabulaire mérite d'être précisé. MAJ du lundi 13 décembre: Après l’opération Payback, les Anonymous ont décidé de lancer l’opération Leakspin, augmentant les attaques par déni de service distribué d’une vaste enquête contributive. Pour résumer, ils souhaitent se concentrer sur les mémos diplomatiques déjà publiés par WikiLeaks pour mettre au jour des informations qui n’auraient pas été révélées par les médias.

L’inquiétante vidéo ci-dessous détaille cette nouvelle initiative, qu’on peut envisager comme la troisième phase (après les miroirs et les DDoS): Mais les soucis techniques des uns et des autres ne se sont pas arrêtés pour autant. Quelques minutes plus tard, Gawker était également attaqué. [DDOSWAR NOW!] Pour le Guardian, jeudi 9 décembre est “le jour où la cyberguerre a été déclarée”.

Il est pour l’instant relativement mineur. «Les Anonymous vont s'en prendre à tous ceux qui ont entravé l'activité de WikiLeaks» Les Anonymous entrent "en guerre" aux côtés de WikiLeaks - Vu sur le web. Les partisans de Wikileaks multiplient les cyber-attaques - INTERNET WIKILEAKS.