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TRAITEMENT. et SOINS. Pathologies. Recherche. Santé. Prévention. Actu , blog , recherche , liens. Système Qualité. Education thérapeutique. The Human Protein Atlas. Médicaments et environnement. Faut-il vraiment taxer les transports pour soigner les enfants pauvres ? Que restera-t-il, dans 25 ans, des deux mandats présidentiels de Jacques Chirac ?

Faut-il vraiment taxer les transports pour soigner les enfants pauvres ?

Au-delà du jugement plus ou moins complaisant des historiens, le grand public se souviendra sans doute de la contribution de solidarité sur les billets d’avion. Depuis 2006, la "taxe Chirac" dont le montant varie de 1€ sur les vols courts en classe économique à 40€ sur les long-courriers en business, est versée par tous les passagers au départ d’un aéroport français. La taxe s’applique également dans 8 autres pays, parmi lesquels le Chili, la Corée du Sud ou le Congo. Le montant de cette contribution est versé intégralement à Unitaid, un organisme rattaché à l’Organisation mondiale de la santé, qui intervient sur le marché des médicaments. En clair, "vos billets d’avion sauvent des vies", comme le proclame l’un des slogans d’Unitaid.

Prévisible, pérenne, indolore. Dollars par an (1,8 milliard depuis 2006 comme le rappelle cet article de Jeune Afrique), provient de la taxe sur les billets d’avion. Banquet. UNITAID. Thèmes scientifiques. Changer son regard sur le handicap. Pourquoi la médecine moderne est dans une impasse. Lettre au rédacteur en chef du Vif l'Express (magazine hebdomadaire belge) Namur, le 29 juin 2003 Monsieur Stéphane Renard, L'article paru dans le numéro du 27/06/2003, signé par Pascale Gruber et intitulé le « coup de marteau du Dr Hamer » a retenu toute mon attention.

Pourquoi la médecine moderne est dans une impasse.

En effet, il traite d'un sujet que je connais parfaitement et sur lequel je travaille depuis 1986, à des titres divers. Je suis, en effet, de formation scientifique et philosophique et je m'intéresse particulièrement à l'épistémologie des pratiques médicales, dans une optique pluridisciplinaire. Autant vous l'avouer tout de suite, cet article m'a heurté et révolté au plus haut point, par le nombre d'inexactitudes et de mensonges qu'il contient, sans compter l'intention volontairement calomnieuse à l'encontre des différents acteurs cités dans cet article. Je vous demande donc, au nom des différentes personnes attaquées, un droit de réponse, sous la forme que vous jugerez la plus utile et la plus appropriée.

La simulation, un outil au service de la formation des médecins ? - Sciencesetavenir.fr. SIMULATEUR.

La simulation, un outil au service de la formation des médecins ? - Sciencesetavenir.fr

Comment mieux former les médecins, encore étudiants ou déjà en activité, aux gestes de plus en plus techniques requis par leur activité ? En combinant des simulations sur mannequins physiologiques, des jeux de rôles face à des acteurs, voire des serious games (formations virtuelles professionnelles, mais dotées d'un aspect ludique) immersifs.

Dr Cécile Monteil, docteur aux urgences pédiatriques de l'hôpital Robert Debré et directeur médical d'iLumens, département de simulation en santé de la faculté de médecine Paris Descartes, présentait à l'occasion du congrès "Doctors 2.0 and you", dédiée à la médecine connectée, les activités de son laboratoire. Ne plus réaliser ses premiers actes sur un patient. Téléphones portables à l'hôpital : faut-il les interdire ? L'interdiction totale des téléphones portables dans les hôpitaux n'est pas justifiée selon un avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) publié le 13 juin 2016.

Téléphones portables à l'hôpital : faut-il les interdire ?

Non pas parce que le risque d'interférence avec les appareils médicaux n'existe pas, mais plutôt car "l’usage de téléphones mobiles en tout lieu et à tout moment par une majorité de la population est une pratique courante, y compris par les professionnels de santé, les patients ou leurs familles". Ainsi, plutôt qu'une interdiction totale, forcément mal respectée, l'Anses préconise de mettre en place "des zones d'usage autorisé, limité ou interdit" pour éviter de perturber les dispositifs médicaux.

L'agence estime que la définition précise de ce zonage "devrait relever de la responsabilité de chaque établissement hospitalier, avec l'appui de son responsable de la gestion des risques". Pas de téléphones portables à proximité des lits Attention aux implants Avec AFP.