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Énergie

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Vidéo > Warka, une tour qui transforme le brouillard en eau potable. Comme de nombreuses régions d’Afrique, le sud-ouest de l’Éthiopie, où vit le peuple dorzé, a des problèmes d’approvisionnement en eau potable. Arturo Vittori, un architecte italien qui explore régulièrement la région, connaît bien le problème. Il a donc développé et installé Warka, une tour de son invention, permettant de récupérer l’eau provenant du brouillard. Il n’est pas rare que la population locale doive parcourir de nombreux kilomètres pour avoir accès à de l’eau potable.

Cette tour, construite en bambou et en filet dont les fibres retiennent l’eau présente dans l’air, est donc une solution innovante et de proximité pour les peuples habitant la région. © National Geographic Channel Les explorateurs, aventuriers, scientifiques, chercheurs, photographes, mais aussi les réalisateurs ou documentaristes de la National Geographic Society sillonnent inlassablement le globe. À voir aussi sur Internet connexes. Au Mali, de l'électricité à partir de l'hydrogène naturel. ÉNERGIE. Au salon Hyvolution qui s'est tenu les 4 et 5 février au Parc Floral à Paris, dédié à l'hydrogène énergétique, un projet malien d’exploitation de l’hydrogène naturel a suscité beaucoup d’intérêt. Ce pays, qui a lancé une unité pilote en 2013, vient en effet d'accorder le premier permis d'exploitation pour cette filière dite "décarbonée". Autrement dit, sans production de CO2.

Or aujourd'hui, l'hydrogène est produit par des méthodes de chimie lourde (électrolyse de l’eau ou extraction à partir d’hydrocarbures fossiles) induisant une empreinte carbone importante. Rencontre avec l'homme d'affaires Aliou Boubacar Diallo, président de la société Petroma, spécialisée dans la recherche du pétrole et du gaz au Mali Sciences et Avenir : En quoi consiste l’unité pilote qui fonctionne au Mali depuis 2013 ?

Aliou Boubacar Diallo : Il s’agit du seul exemple au monde de l’utilisation d’une source naturelle d’hydrogène pour produire de l’électricité. CAMEROUN. Des "sacs-marmites" pour remplacer le charbon et le gaz. CUISSON. "Nous fabriquons et vendons des sacs-marmites", affirme Catherine Leugue, présidente de l'Association des veuves, veufs et enfants déshérités du département du Wouri (sud-ouest), à l'origine de cette invention. Confectionné à base de tissu et de polystyrène, le "sac-marmite" est une sorte d'auto-cuiseur, une fois porté à ébullition. Son prix varie entre 10.000 et 22.000 FCFA (entre 15 et 33 euros) en fonction de son gabarit et il est réutilisable à l'infini. Objectif : cuisiner "en économisant le gaz, le bois, le charbon ou le pétrole", dans une ville de plus de trois millions d'habitants où les moyens de cuisson traditionnels, largement répandus, sont synonymes de pollution.

"Nous contribuons à notre façon à protéger l'environnement car nos sacs-marmites ne produisent pas de fumée lors de la cuisson", assure Mme Leugue. Autre avantage du sac-marmite : une fois acheté, il permet à ses propriétaires de réaliser des économies non négligeables. Riz sauté et condiments. Bouygues prend la « route du soleil » pour produire de l’électricité. La « route du soleil ». C’est ainsi que l’on pourrait baptiser l’innovation annoncée, mardi 13 octobre, par la société Colas, qui prévoit de la commercialiser à partir du 1er janvier 2016.

La filiale de construction d’infrastructures de Bouygues a mis au point un revêtement routier incorporant des cellules photovoltaïques enrobées dans un matériau multicouche fait de résines et de polymères. L’énergie solaire est captée à travers une feuille de silicium polycristallin qui produit du courant. Raccordées à un bâtiment ou au réseau de distribution d’électricité d’ERDF, les dalles « Wattway » peuvent « s’adapter à tous les types de routes » et « supporter la circulation de tout type de véhicules, y compris les poids lourds », a affirmé la société.

Malgré une épaisseur de quelques millimètres, ce revêtement est présenté comme « résistant », « antidérapant » et « conçu pour durer ». Une brique de la « smart city » Une révolution ? Lire aussi : Le secteur solaire retrouve des couleurs. Des abris tissés pliables alimentés par le soleil. Des abris tissés pliables alimentés par le soleil Plus de 40 millions de personnes à travers le monde ont dû quitter leurs foyers pour trouver refuge dans des endroits inconnus. Par chance, ils trouvent une bâche ou une tente, mais leur qualité de vie reste lamentable la plupart part du temps. Pour résoudre ce problème, l’architecte créatrice Jordano-Canadienne Abeer Seikaly a conçu un nouveau type de logement. Un logement qui permet aux réfugiés de reconstruire leur vie avec dignité. Seikaly qui vit maintenant à Amman en Jordanie, est bien placé pour concevoir un logement pour les réfugiés, étant donné que ses ancêtres de Jordanie ont basculé pendant des siècles entre la vie de nomade et de refuge dans le désert.

«Le mouvement des gens sur Terre a conduit à la découverte de nouveaux territoires ainsi qu’à la création de nouvelles communautés parmi les étrangers, qui a ensuite formé des villes et des nations», écrit Seikaly dans son dossier de conception. Projet ADELE : stocker de l'électricité en comprimant l'air ! > Technologie. Stocker de l'électricité de manière efficace, en toute sécurité et en grande quantité - voila certainement l'un des défis clés à résoudre dans les prochaines années.

Les membres du projet ADELE** dont fait partie RWE, mais aussi General Electric, Züblin, et le Centre National allemand pour la Recherche aéronautique et spatial (DLR) ont signé à Berlin un accord de coopération et de développement allant dans ce sens. "L'expansion massive et voulue de l'énergie éolienne nécessite des solutions intelligentes pour garantir un approvisionnement continu en électricité. A travers le projet ADELE, nous prenons les devants afin de développer rapidement un modèle de stockage efficace ", a déclaré le Dr Jürgen Großmann, directeur exécutif chez RWE.

Lors de périodes où l'offre excède la demande électrique sur le réseau éolien, de l'air sera comprimé et stocké dans de grandes poches souterraines. La chaleur résultante sera elle aussi emmagasinée dans un système de stockage d'énergie thermique. DE VENT ET D’EAU FRAÎCHE – Dans l’Atlantique, la première île 100 % énergies renouvelables. Des éoliennes et un réservoir de la station électrique de Gorona, sur l'île d'El Hierro, aux Canaries. AFP PHOTO / DÉSIRÉE MARTIN Ce sera bientôt une première dans le champ des énergies renouvelables : l'île d'El Hierro, plus petite terre des Canaries espagnoles, est sur le point de satisfaire 100 % de ses besoins en électricité grâce à l'eau et au vent, rapporte le site ThinkProgress.org.

L'ouverture en juin d'une nouvelle ferme de cinq éoliennes, qui fournira 11,5 mégawatts, viendra achever dans quelques mois sa transition et son indépendance énergétiques. Située au large du Maroc, l'île de 10 000 habitants comptera donc désormais sur ses deux principales ressources : le vent et la mer. « Quand le vent ne souffle pas, l'hydroélectricité prend le relais », note ThinkProgress.

Et les ambitions écologiques de l'île ne s'arrêtent pas là, les autorités ayant prévu de reconvertir l'ensemble de ses 6 000 voitures à l'électricité. Signaler ce contenu comme inapproprié. Energie & Technologie : une tour solaire de 800 mètres de haut en Arizona ! 1inShareinShare1 Après Gemasolar, voici un très ambitieux projet dans le domaine de l’énergie renouvelable : une tour solaire de 800 mètres utilisant les courants d’air chaud ! La firme australienne EnviroMission, spécialisée dans le développement de tours solaires productrices d’énergie, développe actuellement un projet technologique de grande envergure dans le désert de l’Arizona.

Faithful+Gould, une société nord américaine de conseil en construction s’est associée au projet pour ériger cette centrale solaire de 200 MW. Avec la génération de cette puissance électrique, 150 000 foyers américains pourront être alimentés. Cette nouvelle technologie fournira de l’énergie, que l’on peut considérer comme propre, pendant 80 ans et ce avec très peu d’entretien.

La tour solaire d’EnviroMision est constituée de 3 éléments : La CanopéeLa TourLes Turbines La canopée est une énorme verrière thermique (serre) placée au sol. Source Gizmag. La première éolienne à voile inaugurée en France. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Des voiles qui se creusent et se tendent au gré des vents. Il ne s'agit pas d'un bateau, mais du premier prototype d'éolienne à voile, inauguré samedi 15 juin à Grande-Synthe, près de Dunkerque (Nord), tout près du littoral de la mer du Nord. Installée dans le jardin du Stadium de la ville, cette éolienne lui permettra de devenir le "premier stade de France à énergie positive", selon le maire. Le principe est simple : un axe vertical de 20 mètres, sur lequel sont accrochées douze voiles en forme de deltas, à géométrie variable, qui offrent une surface totale de prise au vent de 200 m2. Parmi les avantages : sa faible hauteur la dispense d'un permis de construire (les éoliennes classiques mesurent entre 100 et 150 mètres) et est censée limiter la pollution visuelle ; sa construction n'a pas besoin de béton et elle est facile à transporter.

Un Papin moderne invente le moteur à eau. Trois fois médaillés d'or du prestigieux concours Louis-Lépine, Jacques Bristiel sort enfin du secret pour le moteur à eau, sa 4e invention. La machine à vapeur dont rêvait Denis Papin.Le radar routier parlant, c'est lui. L'ordinateur extincteur de feux à bord des avions, c'est encore lui. Le joint marin révolutionnaire c'est toujours lui. Jacques-Franck Bristiel, 68 ans, ingénieur aéronautique en retraite et ancien pilote d'essai, est un inventeur né. Un créateur dans l'âme qui a déjà décroché trois médailles d'or au concours Lépine de 2001, 2002 et 2011, ainsi que le prix Léonard de Vinci. Mais ça, c'était avant. Des inventions au secret "Et à chaque fois, l'INPI me met au secret un certain temps avec interdiction d'exploiter et de divulguer mes projets", poursuit-il.

La voiture de demain roulera sur des boules. ROTATION. Goodyear a décidé de réinventer la roue, ou plus exactement le pneu. Et cela n’a plus rien à voir avec ce que nous connaissons tous puisqu’il s’agit… d’une boule. Baptisé Eagle-360, ce concept a été dévoilé ces jours-ci au Salon de Genève. Selon le fabricant américain, il pourrait bien équiper les voitures autonomes d’ici à quelques années ou décennies. En effet, ces pneus pouvant tourner dans tous les sens, ils permettent d’envisager des manœuvres sans limites. Par exemple, pendant un dépassement, la voiture se déplacerait latéralement de manière plus fluide et douce, sans changer de direction.

Idem pour entrer dans une place de parking. Un concept réservé aux voitures autonomes Les sphères pourraient aussi améliorer la sécurité en réalisant des corrections de trajectoires plus précises et efficaces que ne peuvent le faire les roues conventionnelles, notamment face à un obstacle ou une plaque de verglas par exemple. Se chauffer grâce à l'énergie des serveurs informatiques. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Chauffer des bâtiments grâce aux ordinateurs.

L'idée émerge face au développement rapide des data centers, ces usines du numérique dont les puissants serveurs informatiques émettent tellement de chaleur que leurs opérateurs peinent à s'en débarrasser. A l'échelle européenne, la Commission estimait en 2008 que les centres de données consommaient 56 milliards de kilowatts, dont la moitié pour refroidir les bâtiments.

Lire (édition Abonnés) : "Les centres de données informatiques, gros consommateurs d'énergie" Jusqu'ici, cette énergie était tout simplement évacuée dans l'air au moyen de différents systèmes de climatisation. Mais depuis quelques années, des initiatives de récupération et réutilisation de ces calories sont mises en place pour chauffer des logements, des bureaux, des usines, des piscines ou même des serres végétales.

Pour l'instant, un centre aquatique et une pépinière d'une quinzaine d'entreprises s'y sont connectés. Le Batiment à énergie positive, minima pour 2020 ? - Fiabitat : le blog. La loi Grenelle prévoit une nouvelle réglementation thermique en 2020, consacrant une révolution pour le bâtiment puisqu'il produirait plus d'énergie qu'il en consommerait. La définition actuelle est pour le moins floue. Ainsi, le texte de loi précise : b) Toutes les constructions neuves faisant l'objet d'une demande de permis de construire déposée à compter de la fin 2020 présentent, sauf exception, une consommation d'énergie primaire inférieure à la quantité d'énergie renouvelable produite dans ces constructions et notamment le bois-énergie ; Si on peut s'accorder sur l'importance de fixer un échéancier dès 2010 sur le caractère évolutif de la réglementation thermique, et sur le fait que la RT 2012 n'est qu'une transition, on ne peut qu'être surpris par l'opacité du paragraphe définissant l'énergie positive.

Une consommation d'énergie pour quels postes de consommation ? Qu'appelle t-on l'énergie renouvelable ? Le CSTB qui travaille sur cette question propose une autre définition : La peinture solaire : une révolution énergétique. Partagez : Si on vous dit « peinture solaire »…Vous vous dites : » impossible ! » Eh si ! Tandis que l’heure est à la recherche de solutions alternatives aux énergies fossiles, une petite révolution énergétique vient de voir le jour grâce à ce tout nouveau matériau qu’est la peinture solaire.

Peindre tout en faisant des économies d’énergie fallait y penser ! Les panneaux solaires sont composés de nombreuses cellules photovoltaïques nécessitant l’énergie solaire pour la transformer en électricité. Comment ça marche ? La peinture solaire est conçue à partir de plastique polymère, flexible et résistant, qui possède des propriétés comme photorécepteurs mais aussi semi-conducteurs. Concrètement, la peinture solaire intègre de minuscules particules de semi-conducteurs à l’encre sur de long rouleaux de papier d’aluminium, qui sont ensuite découpés en panneaux solaires. >>>L’application de ce procédé ne concerne pas uniquement la peinture. Les avantages de la peinture solaire. Iles 100% renouvelables. Des chercheurs français inventent un bio-bitume à base d’algues | Mr Mondialisation. Des chercheurs français inventent un bio-bitume à base d’algues Avec la fin du pétrole qui approche, de quoi seront faites nos routes demain ?

A l’université de Nantes, on étudie la possibilité de remplacer le goudron, produit entièrement dépendant du pétrole, par un bio-bitume fait d’un mélange d’eau et de micro-algues. Une alternative verte plausible pour les routes de demain ? Cocorico de circonstance, ce sont des chercheurs français du CNRS et de l’université Nantaise qui sont à l’origine de la découverte. Bien que la recherche n’en soit qu’à ses balbutiements, la faisabilité du procédé a d’ores et déjà été étudiée en laboratoire. Le bitume « naturel » obtenu a montré des caractéristiques similaires au bitume conventionnel utilisé par l’industrie routière.

Des batteries de tests doivent en effet être effectuées dans les prochaines années afin d’étudier la possibilité de « durabiliser » les réseaux routiers. Sources : sciencesetavenir / lemonde. Transformer des pneus usagés en pétrole - Lifestyle. La rhubarbe: une solution pour stocker de l'électricité? Des cellules photovoltaïques ultrafines pour les vêtements connectés. Des cellules solaires en pérovskites qui s’auto-réparent. Nouveauté : le photovoltaïque organique ! Des panneaux solaires ultra-efficaces grâce à des nanotubes de carbone. Solar Press & KROENERT partnership for low cost solar cell manufacture. La Corée du Sud expérimente le « smartgrid », les réseaux électriques du futur. ILLUMINÉ – Pourquoi ne pas remplacer les lampadaires par des arbres phosphorescents ? Des chercheurs inventent un laser révolutionnaire › Physique.

CRSNG - Prix John-C.-Polanyi du CRSNG - Greg Scholes. La puissance verte des crottes de chien. LI-FI : UNE TECHNOLOGIE ÉCOLOGIQUE | Echo-Zen. Bientôt vous traverserez Paris au-dessus de la Seine en SeaBubbles.