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Lois & théories

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Martingale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Différentes martingales[modifier | modifier le code] De nombreuses martingales ne sont que le rêve de leur auteur, certaines sont en fait inapplicables, quelques-unes permettent effectivement de tricher un peu. Les jeux d'argent sont en général inéquitables : quelle que soit la stratégie adoptée, l'espérance de gain du casino (ou de l'État dans le cas d'une loterie) est plus importante que celle du joueur. Dans ce type de jeu, il n'est pas possible d'inverser les chances, seulement de minimiser la probabilité de ruine du joueur. La martingale classique[modifier | modifier le code] Ayant une chance sur deux de gagner, il peut penser qu'il va finir par gagner ; quand il gagne, il est forcément remboursé de tout ce qu'il a joué, plus une fois sa mise de départ. Cette martingale semble être sûre en pratique.

Exemple : En somme, plus le joueur mise, plus il doit miser beaucoup pour gagner 1 seul euro. Exemple : mises de 5 avec limite du casino à 500. Finagle's law. Finagle's Law of Dynamic Negatives (also known as Finagle's corollary to Murphy's Law) is usually rendered: Anything that can go wrong, will—at the worst possible moment.

The term "Finagle's Law" was first used by John W. Campbell, Jr., the influential editor of Astounding Science Fiction (later Analog). He used it frequently in his editorials for many years in the 1940s to 1960s[citation needed] but it never came into general usage the way Murphy's Law has. Variants[edit] The perversity of the Universe tends towards a maximum. In the Star Trek episode "The Ultimate Computer", Dr. "Finagle's Law" can also be the related belief "Inanimate objects are out to get us", also known as Resistentialism.[2][3] Similar to Finagle's Law is the verbless phrase of the German novelist Friedrich Theodor Vischer: "die Tücke des Objekts" (the perfidy of inanimate objects).

See also[edit] References[edit] Jump up ^ "Finagle's Law". Loi de Godwin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Illustration (décrite en anglais) du moment où une discussion enflammée va inévitablement passer le point de non-retour, souvent facilement reconnaissable. La loi de Godwin est une règle empirique provenant d'un énoncé fait en 1990 par Mike Godwin relatif au réseau Usenet, et popularisée depuis sur Internet : Dans un débat, atteindre le point Godwin revient à signifier à son interlocuteur qu'il vient de se discréditer en vérifiant la loi de Godwin.

Par extension, du fait de la polysémie du mot « point » (signifiant à la fois argument et point en anglais), des « points Godwin » sont parfois attribués à cet interlocuteur (on notera que Godwin lui même n'a jamais parlé de « point » proprement dit)[1]. Concept[modifier | modifier le code] Cette « loi » s'appuie sur l'hypothèse selon laquelle une discussion qui dure peut amener à remplacer des arguments par des analogies extrêmes. Le point Godwin[modifier | modifier le code] Effet Westermarck. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'effet Westermarck est le nom donné au phénomène de l'évitement naturel de l'inceste étudié par Edward Westermarck (1862-1939) dans plusieurs de ses œuvres, et en particulier dans Histoire du mariage. Westermarck explique que la promiscuité des enfants avant leur 30 mois développe en eux un système instinctif de rejet des sentiments amoureux et des pulsions sexuelles.

Westermarck s'oppose à la conception que développe Freud du tabou de l'inceste. L'homme n'évite pas l'inceste du fait d'une condamnation morale ou sociale, mais par un mouvement biologique inné. L'enfant, instinctivement, ne sera pas attiré par sa famille, car la nature l'incite à diversifier son patrimoine génétique pour éviter les tares génétiques dues à la consanguinité. L'effet Westermarck a pu être observé lors d'études sur les mariages en Asie du Sud. L'effet Westermarck est représentatif du type d'explication que cherche à produire la sociobiologie.

Ames room. A diagram of the true and apparent position of a person in an Ames room, and the shape of that room A video of a man walking around in an Ames room An Ames room is a distorted room that is used to create an optical illusion. Probably influenced by the writings of Hermann Helmholtz, it was invented by American ophthalmologist Adelbert Ames, Jr. in 1934, and constructed in the following year. As a result of the optical illusion, a person standing in one corner appears to the observer to be a giant, while a person standing in the other corner appears to be a dwarf. The illusion is so convincing that a person walking back and forth from the left corner to the right corner appears to grow or shrink. Studies have shown that the illusion can be created without using walls and a ceiling; it is sufficient to create an apparent horizon (which in reality will not be horizontal) against an appropriate background, and the eye relies on the apparent relative height of an object above that horizon.