La métapsychologie
La métapsychologie freudienne est un modèle d’explication du fonctionnement psychique).
Ce modèle élaboré est toujours d’actualité. Le surmoi est le porteur de la culture.
L’approche métapsychologique va consister à aborder chaque processus psychique sous une triple approche :
1.L’approche topique
2.L’approche dynamique (sans cesse, chaque phénomène psychique va résulter de la combinaison d’un aménagement, d’un agencement de forces plus ou moins antagonistes).
3.L’approche économique (façon dont circule l’énergie psychique).
La métapsychologie permet donc à FREUD de présenter une théorie (est nécessairement mouvemente), de présenter de lois, de présenter un des principes qui vont régir le fonctionnement psychique et c’est en cela que FREUD parle d’un déterminisme psychique, c'est-à-dire qu’il y a un inconscient qui va déterminer nos faits, nos gestes, nos actes.
Cette étape métapsychologique va permettre de dégager le sens individuel (toujours singulier et inédit) de ce qui se passe, de ce qui se présente pour un sujet donné dans un contexte donné et dans un fonctionnement psychique particulier.
Cette métapsychologie est fondée sur le refus (refus méthodologique, épistémologique sur un certain nombre de réponses toutes faites aux énigmes que nous pose la psyché elle-même).
Le symptôme et la manifestation subjective ont un sens. Les symptômes sont méconnus au sujet lui-même, mais cherche à dire quelque chose que le sujet sait d’une façon inconsciente mais dans une langue qui est inconnue de lui. Pour FREUD, il n’y a pas d’effet sans cause.
L’angoisse est un concept fondamental de la psychanalyse.
Il est clair que nous sommes dotés d’émotions, de sensations.
C’est évident qu’il va y avoir en nous des étapes (soit du côté de l’angoisse, soit du côté de l’anxiété). Ces étapes pourront être aussi en quelque sorte des marqueurs de situations qui pourraient être difficile à gérer.
FREUD a élaboré autour de l’angoisse, 2 théories contradictoires :
1.FREUD montre en 1895 que l’angoisse est conçue comme la résultante de la rétention de pulsion sexuelle.
2.FREUD montre en 1926 que cette angoisse peut être le signal d’un conflit intrapsychique qui alerte le « moi ». Cette angoisse refoule le conflit.