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Ingénieur

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BioMimetisme

Going inside the machinery and machinations of working in science. This story was originally published as a series of four articles. Although the series will continue, we thought that a revised compilation would make better reading for those who haven't read the whole series. One of the great untold stories in science is the process of science itself. I don't mean stories about what scientists have discovered and what those discoveries tell us; we (and many others) cover those every day. I also don't mean stories about the pure joy of discovery and the excitement of finding out that everything you thought you understood was total nonsense. We cover that here at Ars occasionally, and there are plenty of books on the subject if you're hungry for more. What's missing is the background for these stories of discovery. Since this is the story of science-as-a-process rather than science-as-a-result, I will be using myself as an example. Before we get to the science, we need some background.

The human factor This has implications for scale. A ticking clock. Computer Visionary Who Invented the Mouse. He had a good job working at a government aerospace laboratory in California, but he wanted to do something more with his life, something of value that might last, even outlive him. Then it came to him. In a single stroke he had what might be safely called a complete vision of the information age. The epiphany spoke to him of technology’s potential to expand human intelligence, and from it he spun out a career that indeed had lasting impact.

It led to a host of inventions that became the basis for the Internet and the modern personal computer. In later years, one of those inventions was given a warmhearted name, evoking a small, furry creature given to scurrying across flat surfaces: the computer mouse. Dr. Computing was in its infancy when Dr. In his epiphany, he saw himself sitting in front of a large computer screen full of different symbols — an image most likely derived from his work on radar consoles while in the Navy after . The conference attendees were awe-struck. [1304.6859v1] Triple gear. This triple gear is a real thing, and thanks to. Nanostructures Modeled on the Moth Eye Reduce Radiation in Medical Imaging. Typically it’s the butterfly that serves as the bio-inspiration for nanotechnology advances. But now the butterfly’s modest cousin, the moth, is serving as the model. Yasha Yi, a physics professor at the City University of New York, has attempted to duplicate the moth’s anti-reflective eyes with a nanostructured material that should improve medical imaging.

This is not the first time that the anti-reflective qualities of moth eyes have been used as models for devices. Researchers have attempted to duplicate this feature to create more efficient coatings for solar panels and some military devices. If you want the detector to pick up more light, the technique has usually been to increase the intensity of the X-rays. To do this, the researchers needed to create a new class of materials. The results have been pretty dramatic. “The moth eye has been considered one of the most exciting bio structures because of its unique nano-optical properties,” Yi says in Nanomagazine article. Le couteau qui coupe les gouttes d'eau. Avoir un couteau bien affuté s'avère être un vrai petit bonheur.

Rien de pire qu'une lame émoussée pour officier. Mais que diriez-vous si vous aviez entre les mains un couteau capable de couper une goutte d'eau en deux, le plus proprement possible ? Le Dr. Antonio García, professeur à l’Université de Tempe, et son équipe d’ingénieurs spécialistes en ingénierie chimique, biologique et des matériaux souhaitaient concevoir un nouveau métal capable d’effectuer des bioséparations absolument parfaites.

Mais parvenir à mettre au point une telle lame n’est pas chose aisée. D’une largeur maximale de 0,5 mm, la lame est faite de feuilles de zinc et de cuivre. Une fois forgée, elle est nettoyée à l’acétone, l’éthanol puis à l’eau désionisée et enfin séchée à l’azote. Un tel couteau pourrait véritablement révolutionner la biomédecine. [gizmodo] Rotary-engine-animation.swf (Objet application/x-shockwave-flash) The Official Ultra-Ever Dry Product Video - Superhydrophobic and oleophobic coating. Notification : Sécurité : Risque lié aux programmes malveillants. Notification : Sécurité : Risque lié aux programmes malveillants. Notification : Sécurité : Risque lié aux programmes malveillants. La bouteille de Ketchup du futur. Qui n'a jamais lutté pour faire couler les dernières gouttes de Ketchup de la bouteille ?

On tappe, on secoue, mais rien à faire. Ce temps là sera bientôt révolu grâce à la bouteille du futur. Les industriels ne le savent que trop, mais produire massivement la bouteille parfaite est un véritable problème d’ingénierie. Les solutions n’ont pas manqué, la tête en bas, plastique mou, taraudage … pourtant rien de concluant. Il fallait que les experts du MIT goûtent au Ketchup pour trouver la solution idéale, qui est bien sur technologique. LiquiGlide est un revêtement sans danger pour l’homme et qui peut se superposer à tous types de matériaux (verre, plastique, carton d’emballage …). Son créateur Dave Smith explique que ‘c’est une sorte de liquide structuré, il est rigide comme un solide et lubrifié comme un liquide’. Le mieux reste de le voir en action et c’est assez impressionnant : [Gizmodo] Un matériau auto-régénérant et sensible au toucher. La régénération est un rêve qui semble encore bien loin. Verra-t-on un jour un Terminator capable de se reconstituer de lui-même ?

Rien n'est moins sûr. Mais les chercheurs s'en rapprochent. Ils viennent ainsi de concevoir un matériau auto-régénérant et sensible au toucher. En combinant des particules de nickel avec un polymère plastique, des chercheurs de Stanford ont réussi à créer un matériau capable non seulement de se réparer de lui-même, en « seulement » 30 minutes à température ambiante, de réagir au toucher mais aussi d’être malléable et excellent conducteur.

Mais les avantages de ce nouveau matériau ne s’arrêtent pas là. Même après avoir été coupé 50 fois au même endroit, il récupère toute sa force. [theverge] Bientôt des avions parfaitement furtifs ? La furtivité est une caractéristique que très peu d'appareils militaires peuvent se targuer d'avoir. Malheureusement, les rares à en bénéficier savent à quel point elle est relative. Ceci pourrait changer un jour grâce aux travaux des chercheurs de l'Université de Duke, ceux-ci viennent de mettre au point un tout nouveau "camouflage". Peu importe les fréquences utilisées, la réflexion des ondes permet presque toujours deviner ce qui se cache derrière ce voile d’ »invisibilité« . Mais en créant un voile lumineux en forme de diamant, voile qui permet de conserver les propriétés de la lumière même sur les bords, Nathan Landy et David Smith sont parvenus à dissimuler parfaitement un cylindre de plus de 7cm de large.

Le secret de la technique réside bien sûr dans la forme si particulière de ce voile permettant d’offrir des angles de réfraction idéaux pour rester indétectable aux radars par exemple. [engadget] Un nanomatériau en polyuréthane comme pare-balle ultime. Lorsqu'il est question de protection contre les balles, la meilleure défense reste souvent le blindage lourd. Malheureusement, ses inconvénients sont nombreux.

La nanotechnologie, elle, pourrait permettre de créer un matériau capable d'arrêter les balles et de refermer les trous causés par celles-ci. En tentant de mettre au point des matériaux « plus imperméables aux déformations et cassures », des chercheurs de l’Université Rice et du MIT sont parvenus à concevoir une sorte de verre en polyuréthane capable d’arrêter une balle, d’un petit calibre, et de refermer le trou d’entrée. Pour ce faire, ce nouveau matériau se transforme en liquide aux alentours du point de pénétration puis, en se solidifiant, reprend sa forme originelle.

Les recherches n’en sont encore qu’à un stade préliminaire mais une telle technologie accorderait aux forces de l’ordre et militaires une protection pare-balle légère et très efficace. [slashgear] Le plus grand trou noir jamais découvert ! Chaque galaxie en spirale a un trou noir supermassif en son sein, rien de nouveau sous le soleil ? Pas tout à fait, les scientifiques ont découvert que le plus grand trou noir a une masse 17 milliards de fois plus importante que notre soleil ! Il remet même en cause la dynamique fondamentale de l'univers.

Découvert par le téléscope Hobby-Eberly Telescope du McDonald Observatory (on se demande encore comment il a été possible de passer à coté depuis toutes ces années), ce monstre baptisé NGC 1277 bat tous les records. Non content d’être 17 milliards (17 !!!) Et ce n’est pas tout, Karl Gebhardt explique, « La masse de ce trou noir est beaucoup plus élevée que prévu… Ce qui nous amène à penser que les galaxies géantes ont un processus physique différent permettant de créer des trous noirs. » Si cela semble anodin, cela jette aux ordures la théorie actuelle de formation et croissance des trous noirs, et accessoirement la dynamique fondamentale de l’univers ! Made in ma bibliothèque. Le rôle des bibliothèques ne cesse d'évoluer : après nous avoir facilité l'utilisation des médias et d'Internet, voilà qu'elles se mettent à nous accompagner dans nos envies de création en abritant aussi des makerspaces, ces lieux dédiés à la fabrication d'objets.

Deux établissements américains viennent de se lancer dans l'aventure. Entrailles de MakerBot par Bre Pettis -cc- Début juillet, la bibliothèque de la petite ville de Westport aux États-Unis a inauguré un nouvel espace. De nouveaux fauteuils plus confortables ? Non, un makerspace, ces lieux où les gens fabriquent des objets. Quelques mois plus tôt, la Fayetteville Free Library (FFL) avait, la première, entamé ce projet, avec son fabulous laboratory, un clin d’œil aux fabrication laboratories du MIT, un concept similaire mais avec des contraintes. Ces deux initiatives augurent d’une évolution du rôle des bibliothèques. Aider les usagers à créer Je travaille et j’échange avec beaucoup de makerspaces à travers le pays.

Equipement

Vulcanisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Technique[modifier | modifier le code] La vulcanisation est un cas particulier de réticulation. Après polymérisation, en présence d’un système de vulcanisation et d'énergie thermique, les macromolécules linéaires de l'élastomère réactif forment un réseau tridimensionnel sans direction privilégiée. Sous une contrainte appropriée, ce réseau se déforme. Il revient à l’état initial (élasticité) quand la contrainte est supprimée, grâce à la présence des ponts (il s'en forme très peu) assimilables à des « ressorts ».

La représentation la plus visuelle pour expliquer ce phénomène est le plat de spaghetti. Pour réduire le phénomène de fluage, accroître la cohésion et les propriétés mécaniques, on peut introduire du soufre[1], associé à des activateurs et accélérateurs. Histoire[modifier | modifier le code] Identifier l'inventeur du processus de la vulcanisation n'est pas facile. Fabrication du caoutchouc vulcanisé[modifier | modifier le code] « Geckskin », surface adhésive inspirée par les pattes du gecko.

Une équipe de chercheurs de l'université Amherst du Massachusetts s'est inspiré des impressionnantes propriétés adhésives des pattes du gecko pour mettre au point GeckSkin, un « scotch » au pouvoir adhésif hors norme. Les scientifiques de tous bords ont pendant très longtemps été impressionnés par les propriétés adhésives des pattes du gecko, sans jamais vraiment comprendre les rouages permettant à ce reptile de développer une force équivalant à supporter une charge d'environ quatre kilogrammes sur une surface verticale et sans glisser, – soit près de 30 fois le poids du gecko, en moyenne 140 grammes.

Une équipe composée d'un biologiste et de scientifiques spécialistes des polymères de l'université du Massachusetts, à Amherst, se sont penchés sur le sujet, avec des résultats qui sont pour le moins concluants. Geckskin est essentiellement composé d'un polymère très commun, le polydiméthylsiloxane (PDMS), présent notamment dans les shampooings ou dans certains aliments. Par Moonzur Rahman. Bloodstain pattern analysis. Bloodstain pattern analysis (BPA) is one of several specialties in the field of forensic science. The use of bloodstains as evidence is not new; however, the application of modern science has brought it to a higher level. New technologies, especially advances in DNA analysis, are available for detectives and criminologists to use in solving crimes and apprehending offenders. The science of bloodstain pattern analysis applies scientific knowledge from other fields to solve practical problems.

Bloodstain pattern analysis draws on the scientific disciplines of biology, chemistry, mathematics and physics. If an analyst follows a scientific process, this applied science can produce strong, solid evidence, making it an effective tool for investigators, although care does need to be taken when relying on bloodstain pattern analysis in criminal cases. A report released by The National Academy of Sciences calls for more standardization within the field.

History[edit] Blood[edit] where. Blood Spatter" Sonic inlet development for turbofan engines. 04/05 > BE Israël 77 > Rectification consistante d'images. InformatiqueRectification consistante d'images Le monde de l'audiovisuel a beaucoup évolué ces dernières années, et a notamment contribué à l'avènement de nouveaux écrans panoramiques sur le marché de la grande distribution. Un des nombreux challenges posé par ces nouvelles technologies est celui de la compatibilité avec le format standard dominant sur le marché. En d'autres termes, comment adapter une émission enregistrée au format 4/3 sur une télévision 16/9. La technique utilisée sur les anciens moniteurs consiste simplement à modifier les proportions de l'image, ce qui revient à l'étirer et produit un résultat de qualité médiocre car l'image est vraiment déformée. Une technique présente sur les écrans plus récents consiste à étirer progressivement l'image en accentuant l'effet sur les bords.

Ces travaux ont récemment été publiés à la conférence de Computer Vision ICCV la plus réputée du domaine. 04/20 > BE Slovaquie 24 > Une équipe de chercheurs slovaques et espagnols met au point le premier dispositif d'invisibilité aux champs magnétiques ! PhysiqueUne équipe de chercheurs slovaques et espagnols met au point le premier dispositif d'invisibilité aux champs magnétiques !

Une fructueuse collaboration entre l'Institut d'ingénierie électrique [1] de l'Académie slovaque des sciences (SAV) à Bratislava et l'Université autonome de Barcelone (UAB [2]) a permis la fabrication d'un objet de forme cylindrique dont l'enveloppe comme le contenu sont totalement indétectables aux champs magnétiques extérieurs. L'équipe de chercheurs de l'UAB a élaboré le modèle mathématique permettant de concevoir le dispositif puis a fait appel, pour la partie expérimentale du projet, au laboratoire de mesure électromagnétique de l'Institut d'ingénierie électrique de la SAV.

Fig 1. Les dernières recherches sur l'invisibilité avaient été menées en 2006 par des physiciens de l'Imperial College à Londres, sous la direction de M. Ensinger Engineering Plastics, new materials, Stock Shapes, Machined finished parts, Injection moulding, high-temperature plastics, producer of plastics, plastic parts. 05/11 > BE Japon 615 > Hitachi met au point un nouveau moteur sans néodyme. Www.academie-sciences.fr/activite/rapport/avis0512a_gb.pdf. Www.academie-sciences.fr/activite/rapport/avis0512c_gb.pdf. Www.academie-sciences.fr/activite/rapport/avis0512b_gb.pdf. Foundation NanoShield Version 0.90.2.13. 05/31 > BE Chine 116 > Des modules solaires utilisant la structure des ailes de papillon.

Du métal et du silicium pour voir sans être vu. Construction : les enjeux de demain. Le bolide de l'impression 3D. Fabrication additive. "La fabrication additive débridera les bureaux d’études" - Mécanique. Www.micronora.com/micronora_infos/112.pdf.