Promise of wave and tidal power left out to sea by government. Currents of cautious optimism were flowing at the Wave and Tidal Energy conference in Belfast.
The future of nukes: Even if everything goes wrong, nothing happens. GOTHENBURG, SWEDEN—Carlo Rubbia, Nobel Prize winner and former Director General of CERN, has spent his more recent career thinking about energy, and he has some strong thoughts on nuclear power.
Those thoughts have been driven in part by climate change (nuclear provides the only source of low-carbon electricity that can be deployed anywhere), but they've also been driven by the events at Fukushima. At least twice during a Nobel Dialog panel, Rubbia said that the sort of risk analyses that we've been doing for nuclear power are simply insufficient. The analyses are based on probabilities: if the failure of a given pump creates an obvious risk, you simply put in a second pump, then a third if necessary.
Les contre-vérités du rapport parlementaire sur le gaz de schiste. Pour la remise, le 27 novembre, du rapport final de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) sur Les techniques alternatives à la fracturation hydraulique pour l'exploration et l'exploitation des gaz de schiste, les deux rapporteurs Christian Bataille – député PS du Nord – et Jean-Claude Lenoir – sénateur UMP de l'Orne – avaient soigné la mise en scène.
Coal and gas are far more harmful than nuclear power. By Pushker Kharecha and James Hansen, NASA Goddard Space Flight Center Human-caused climate change and air pollution remain major global-scale problems and are both due mostly to fossil fuel burning.
Mitigation efforts for both of these problems should be undertaken concurrently in order to maximize effectiveness. Such efforts can be accomplished largely with currently available low-carbon and carbon-free alternative energy sources like nuclear power and renewables, as well as energy efficiency improvements. EDF EN suspendu de la cote le 21 juillet. La cotation d'EDF Energies Nouvelles sera suspendue à la Bourse de Paris à partir du 21 juillet, avant que le titre ne soit radié.
Une mesure qui fait suite à la décision d'EDF de déposer un projet de retrait obligatoire, selon un communiqué publié mardi sur le site de NYSE Euronext. EDF "envisage de déposer conjointement avec EDF Energies Nouvelles un projet de note d'information de retrait obligatoire auprès de l'Autorité des marchés financiers (AMF) le 21 juillet 2011, au prix de l'offre publique simplifiée d'achat, soit 40 euros par action EDF Energies Nouvelles", indique le communiqué. Le 23 juin, EDF avait annoncé être monté à 96,71% du capital et des droits de votes d'EDF Energies Nouvelles, à l'issue de son OPA.
Pétrole : Tripoli cesse toute coopération avec l'Italie. Les autorités libyennes ont annoncé jeudi l'"arrêt total" de leur coopération énergétique avec Rome.
Elles ont affirmé qu'aucun accord ne serait signé à l'avenir avec le géant pétrolier Eni en raison de la participation italienne aux frappes de l'OTAN. Chine/Etats-Unis : la guerre du pétrole a déjà commencé. “Je veux déclarer la guerre à la Chine”, a déclaré un candidat à la présidentielle américaine à la télévision il y a quelques jours.
Certes, nous prenons cette déclaration quelque peu hors de son contexte. L’ancien sénateur Rick Santorum a déclaré : “Je ne veux pas entrer dans une guerre commerciale [...] Je veux battre la Chine. De l'énergie solaire bon marché grâce à des nanocristaux > Solaire. Un jour viendra où il n’y aura plus de pétrole.
Ce jour-là, si nous avons sous la main des panneaux solaires performants et pas trop chers, il faudra peut-être dire merci à Dongling Ma, professeure au Centre Énergie Matériaux Télécommunications de l’INRS (Québec). Dans son laboratoire, elle fabrique des nanomatériaux qui pourraient rendre l’énergie solaire accessible à tous. Les panneaux solaires actuels, faits de silicium, sont onéreux. En plus, ils ont un gros défaut : ils ne transforment en électricité que la lumière visible du Soleil, pas les rayons infrarouges.
Comment répondre au troisième choc pétrolier. En dépit du niveau élevé des prix et de la crise économique, la demande pétrolière reste forte, tirée par la croissance des pays émergents.
Nous connaissons, par ailleurs, depuis un an, une tension géopolitique persistante au Moyen-Orient. Le marché pétrolier devrait donc rester tendu en 2012, sauf si les pays émergents étaient fortement affectés par la crise des pays de l'OCDE. Les Etats-Unis échappent à ce choc grâce au redressement du dollar et à l'exploitation de pétroles non conventionnels et de gaz de schiste : ils bénéficient d'une baisse de leurs importations d'énergie et d'un prix du gaz trois fois plus faible qu'en Europe. En Europe, la baisse de la parité euro-dollar en 2011 a renforcé l'impact du choc pétrolier sur l'économie. En janvier 2012, le prix du pétrole exprimé en euros a atteint le niveau record de 88 euros par baril, soit 0,55 euro le litre, supérieur de 46 % au prix moyen de 2011.