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Actors & Initiatives

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Coursera. Aquarius satellite launches today, will measure ocean salinity from space. Climate Change as a Business Problem - G. Truett Tate. Exit from comment view mode. Click to hide this space LONDON – Some political problems can be solved overnight; others take years to tackle. But, in the distant future, when the financial crisis and the euro’s troubles are long forgotten, we will still be facing the consequences of climate change. A challenge of this scale and depth demands an unprecedented level of cooperation – between countries, between political parties, and between government, business, and citizens. When the United Kingdom’s coalition government was formed last year, we were encouraged by Prime Minister David Cameron’s pledge to make this the “greenest government ever.” But making a promise legally binding is only the first step towards fulfilling it, and in this respect there is still much work to be done.

If businesses are to make the necessary investments, they will require a consistent and predictable set of policies. Nonetheless, there have been many achievements. GreenNurture. The Dirtiest Dozen | geekfeed: join the movement  画. Comptes de l’environnement, l’économie verte résiste à la crise. La Commission des comptes et de l’économie de l’environnement a dévoilé, vendredi 24 juin, son rapport annuel 2011.

Un document qui présente les « grandes tendances » des comptes de l’environnement pour l’année 2009 et les premiers résultats partiels pour 2010. Les éco-activités en excédent commercial en 2009 Le rapport permet notamment d’apprendre qu’« en 2009 en France, la dépense nationale consacrée à la protection de l’environnement s’élevait à 45 milliards d’euros, en hausse de 1,2 % par rapport à 2008 ». Autre information clé, selon la commission, la crise aurait relativement épargné l’économie verte. « Les éco-activités [ont généré] en 2009 un excédent commercial de 750 millions d’euros, malgré la baisse de la production économique d’ensemble.

En cette année de crise, l’emploi environnemental a légèrement progressé (+ 0,7 %). » 2010, année du rebond Pour l’année 2010, la commission note un rebond des éco-activités. Télécharger : Rapport 2011 - Comptes annuels de l’environnement. Greenpeace épingle Nike Adidas, pollueurs en Chine. Nike, Adidas, Lacoste, H&M, Puma, Converse ou encore Calvin Klein sont dans le collimateur de Greenpeace. Après avoir épinglé intelligemment Volkswagen en parodiant sa publicité, Greenpeace fait de même avec les grandes marques sportives du textile, qui, selon l’organisation, polluent les eaux chinoises en relâchant des produits chimiques. Nike vs. adidas Detox challenge par Greenpeace La musique est un remix du dernier single de Justice Civilization. Le reportage « Detox » de Greenpeace : Plus en détails sur Greenpeace Detox. RMI TV. Google is on a Roll with Renewable Energy. Since the beginning of 2010, we’ve watched Google turn into an increasingly regular investor in renewable energy technologies.

This month alone, the search giant has had three major announcements that will lead to more clean megawatts on the grid. We regularly evaluate the renewable energy investments of Google and other IT brands on the Cool IT Leaderboard. Google was a leader in this scoring area at the time of our last assessment (December 2010), and it looks like the company is putting forward plenty of examples to keep up the lead in 2011.

Google may be the most consistent of its IT peers, but it is not the only company to invest directly in clean energy. Microsoft announced a contract in February to buy wind power for a 22.2 megawatt capacity data center in Dublin, and Intel scored points on our last Leaderboard for its investments in cleantech firms, such as solar manufacturing. Here’s a quick look at Google’s investments of the past two years, starting with the most recent: Les salariés du WWF demandent la tête de leur patron Serge Orru. Serge Orru, directeur général du WWF France (WWF) « Ces lignes sont un cri d’exaspération que nous vous demandons solennellement d’entendre. » Dans une lettre que Rue89 a obtenue, les salariés français du World Wildlife Fund (WWF) dénoncent les pratiques de leur directeur général, Serge Orru.

La démarche est assez inhabituelle pour mériter attention. La crise chez « Panda », comme est surnommé le WWF, ça fait des mois qu’on en parle dans le petit milieu des ONG environnementales, où l’on pointe de plus en plus de partenariats avec les entreprises, une complaisance avec le gouvernement depuis le Grenelle, des départs nombreux... Mais cette fois, par un courrier signé « 57 salariés du WWF France » (sur 93 en tout, mais 60 approchés) et envoyé le 17 juin d’une boite mail anonyme, il est demandé au conseil d’administration « la démission de M. Orru ». Peu de chance qu’ils obtiennent satisfaction. La présidente Isabelle Autissier a répliqué dans un courrier « C’est le cauchemar.