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Future of work

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(EXTREMELY) LAST MINUTE DIY HALLOWEEN COSTUME IDEAS. Carrière et bien-être: le nouveau duo gagnant. “ Entre 1983 et 2009, les niveaux de stress ont grimpé de manière vertigineuse, passant de 10 à 30% dans toutes les couches de la population américaine. ” « Le 6 Avril 2007 au matin, j’étais allongée sur le sol de mon bureau, chez moi, dans une mare de sang. » Huit ans plus tard, Arianna Huffington se souvient avec précision de cette chute survenue dans son bureau. « Je m’étais effondrée, victime de la fatigue et du sommeil.

Carrière et bien-être: le nouveau duo gagnant

Nous avions fondé le Huffington Post en 2005 et, deux ans plus tard (…) j’avais été sélectionnée parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde », relate l’Américaine dans les premières pages de son dernier livre S’épanouir : réussir sans défaillir (Fayard). « Il a pourtant fallu que je m’interroge, poursuit-elle, était-ce là le vrai visage de la réussite ? Etait-ce la vie dont j’avais rêvé ? Comment trouver le Job de ses Rêves - Cours.

Si j'avais pu...

Comment trouver le Job de ses Rêves - Cours

Si j'avais su... Si j'avais fait d'autres études... La destruction créatrice, facteur d'incertitude. La notion de destruction créatrice est due à l'économiste autrichien Joseph Schumpeter (1883-1950), qui l'introduit dans la pensée économique en 1927.

La destruction créatrice, facteur d'incertitude

L'idée de Schumpeter est que l'économie capitaliste est plongée dans un mouvement permanent, mais irrégulier, de création d'activités nouvelles et de destruction d'activités anciennes, un mouvement impulsé par le progrès technique. Par rapport à la conception très statique de l'économie, professée à l'époque par Alfred Marshall (1842-1924) et les néoclassiques, cette idée est révolutionnaire. Panique à Schumpeterville. Avec la politesse qui le caractérise toujours, notre rédacteur-relecteur d’AlterEcoPlus regrettait que ma chronique du mois dernier s’achevât au moment où elle abordait (enfin !

Panique à Schumpeterville

Laissait-il entendre) « les inégalités face au numérique dans le travail ». J’aimerais bien le satisfaire cette fois-ci, mais il devient compliqué de savoir ce que l’on décrit aujourd’hui par le mot « travail » ; et si nous sommes inégaux face au travail, nous le sommes sans doute plus encore face à sa dé/recomposition. Il y a d’abord ce doute : la machine schumpeterienne de « destruction créative », qui a jusqu’ici constamment créé plus d’activité et d’emplois qu’elle n’en détruisait, aurait-elle des ratés ?

Au-delà de la question quantitative (y aura-t-il besoin d’autant de travail demain qu’aujourd’hui ?) , un autre doute émerge sur la nature des métiers menacés.