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ECONOMIE

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Le "flex office" se généralise, les outils numériques pour le gérer aussi. Tout le monde connaît désormais les petites lumières vertes qui désignent une place libre dans un parking. Le système existe aussi pour les bureaux. Il était réservé à quelques grandes banques de Wall Street, à New York. Voici qu'il vient d'être adopté par deux banques françaises, la Société Générale et le groupe BPCE.

Elles viennent de doter leurs bureaux de capteurs, placés en dessous de la table de travail, qui permettent de signaler si un poste est occupé ou non pour la journée. L'information remonte dans une application mobile réservée à cet effet. Le nombre d'applications pour gérer en entreprise le "flex office", littéralement le "bureau flexible", est en train d'exploser. Au lieu d'un poste par personne, selon la société de conseil en immobilier d'entreprise JLL, c'est 0,67 poste par personne qu'il faut compter désormais.

D'autant que les entreprises déménagent vers les centres des villes. Les pistes d’économistes pour faire baisser le chômage. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Béatrice Madeline Le président de la République doit présenter, lundi 18 janvier, de nouvelles mesures pour, enfin, « inverser la courbe du chômage », comme il s’y était engagé. Une fois de plus, pourrait-on dire, tant les plans se succèdent depuis plusieurs décennies pour lutter contre ce fléau : politiques de relance de la demande par la dépense, augmentation du niveau d’études, emplois aidés, emplois jeunes, aides aux entreprises sous la forme d’une diminution des charges, formation des chômeurs, développement de l’apprentissage… Et pourtant, malgré ce déploiement considérable de moyens, avec 10,6 % de sa population active sans emploi en janvier, la France ne parvient pas à résorber le chômage.

Parmi les grands pays occidentaux, c’est aujourd’hui l’un des seuls à ne pas avoir réussi à le faire baisser durablement. Lire aussi Emploi : les patrons réclament un « électrochoc » Abaisser le coût du travail Mieux cibler la formation. L’économie collaborative : un nouveau modèle socio-économique ? - L’économie collaborative : un nouveau modèle socio-économique ? - Dossier d'actualité.

©fotolia.com L’économie collaborative recouvre, à la fois, des plateformes d’échanges de biens et de services entre particuliers sans recherche de profit et des plateformes d’offres commerciales. En plein essor, l’économie collaborative tend à faire évoluer le modèle socio-économique et concurrence les activités traditionnelles. Les pouvoirs publics sont confrontés à de nouveaux défis : accompagner le dynamisme de ce secteur de l’économie tout en protégeant les travailleurs des comportements abusifs et en garantissant une fiscalité équitable. Qu’est-ce que l’économie collaborative ? L’économie collaborative est une économie de pair à pair. L’économie collaborative se développe dans tous les secteurs d’activité : Les technologies numériques ont eu un impact déterminant dans l’essor de l’économie collaborative.

L’économie collaborative se développe selon deux stratégies face à l’offre conventionnelle : L’émergence de nouvelles formes d’emploi Quelle fiscalité pour l’économie collaborative ? Les sources de financement des entreprises. Pilot, bienvenue dans l’usine de pointe du Toyota du stylo ! Dans quelques jours à peine, il faudra préparer la rentrée scolaire. Oui, celle de septembre! Car nous sommes ici chez Pilot, le fabricant des célèbres FriXion, ces stylos à encre thermosensible effaçable que les écoliers et collégiens s'arrachent. Depuis que l'industriel nippon a créé ce modèle, en 2006, il en a écoulé 1,5 milliard d'exemplaires dans le monde. Dès ce mois de février, comme chaque année, une trentaine de personnes embauchées en contrat à durée déterminée vont venir prêter main forte aux 250 collaborateurs permanents de l'usine d'Allonzier-la-Caille, à une dizaine de kilomètres au nord d'Annecy.

C'est ici, dans la Haute-Savoie, que la deuxième marque mondiale d'"instruments d'écriture" produit chaque année 45 millions de stylos... Dont 40% seront vendus lors de la rentrée scolaire. Marmite conceptuelle Il y a, par exemple, la reproduction de cette marmite de bronze à trois pieds qui trône sur le bureau d'Hugues Chatelain, le directeur général de Pilot Pen France. Les 4 parties de l'Atelier. L’arrivée d’entreprises innovantes et disruptives comme Uber oblige les acteurs traditionnels des secteurs concernés à se réinventer. L’ubérisation de l’économie est-elle une menace ou une opportunité ? Pour répondre à cette question, Bruno Teboul (Keyrus) détaille les effets économiques et sociétaux de cette révolution. Stéphane Séguin (Total) et Romain Roulleau (AccorHotels) expliquent la stratégie adoptée par leur entreprise pour s’adapter aux nouveaux codes d’une économie « on demand » dont innovation et disruption sont la signature.

Un Atelier de la Performance Client proposé par La Poste et animé par Maryse Mougin, Directeur de la Relation Clients à La Poste. > Retour au sommaire navigation contenu Les effets de l’ubérisation : une économie déchirée ? Fioulmarket.fr : la réponse de Total aux enjeux de l’économie « on demand » Alors que Total est leader de la vente de fioul, un concurrent pure player apparaît en mars 2012. L’intégralité des interviews en vidéo. Entreprises - Auto-entrepreneurs immatriculés en 2010 : trois ans après, 30 % sont encore actifs. Imprimer la page Damien Richet, pôle Démographie des entreprises et des établissements, Sylvie Rousseau et Henri Mariotte, division Infrastructures et répertoire statistiques, Insee Résumé Trois ans après leur immatriculation, seuls 30 % des auto-entrepreneurs inscrits au premier semestre 2010 sont toujours actifs sous ce régime.

Parmi les 62 % qui ont réellement démarré une activité, 49 % sont pérennes à trois ans, soit beaucoup moins que les créateurs d’entreprises individuelles classiques de la même génération (62 %). Les auto-entrepreneurs ayant démarré en activité principale sont davantage pérennes à trois ans (52 %) que ceux ayant débuté en activité de complément (45 %). Toutefois, pour près d’un tiers des premiers, l’activité principale au démarrage devient une simple source de revenu d’appoint quelques années plus tard. Comme pour les créateurs individuels classiques, la pérennité dépend beaucoup du secteur d’activité.

Sommaire Encadré Publication Retour au sommaire Encadré. Insee en bref chomage. Les moyens de réduire l’intensité concurrentielle - Réseau National de Ressources Pédagogiques.