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Religion, cultes, communautés

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Judaïsme, communauté juive

Histoires alternatives des grandes religions. Pratiques et croyances exotiques. Christianisme. La grande crispation religieuse. Qu’a dit exactement André Malraux sur le retour du religieux au XXIe siècle? Dès l’année 1955, il avait déclaré, dans une interview restée célèbre: «Le problème capital de la fin de siècle sera le problème religieux.» Plus tard, invité à préciser son propos, il a ajouté: «On m’a fait dire que le XXIe siècle sera religieux. Je n’ai jamais dit cela bien entendu, car je n’en sais rien. Ce que je dis est plus incertain, mais je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire.»

André Malraux n’avait pas tort. Et comment aurait-on pu, à l’époque, leur donner tort? La revanche de Dieu Mais les mêmes qui avaient observé cette montée massive de l’individualisme, de la sécularisation, de l’indifférence religieuse, confessaient, quelques décennies plus tard, qu’une «revanche de Dieu» était à l’œuvre. Tout ce qui s’est passé depuis, sur la scène française (pour s’en tenir à elle), confirme cette intuition. En trente ans aussi, les Eglises chrétiennes ont changé. Yézidisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le yézidisme est un courant religieux[1] qui est présenté par ses pratiquants (les Yézidis ou Yazidis - Êzidîtî ou Êzidî en kurde -) comme plongeant ses racines dans l'Iran antique. On retrouve de nombreuses similitudes entre le yézidisme actuel et les religions de l'Iran ancien. Ainsi le yézidisme est considérée comme une survivance du mithraïsme iranien qui s'est adapté à un environnement hostile en absorbant des éléments exogènes[2],[3],[4],[5],[6],[7].

Cependant d'autres études (européennes ou celles de théologiens musulmans) le considèrent comme un mouvement hétérodoxe de l'islam sunnite apparu au XIIe siècle et sur lequel des éléments pré-islamiques ont par la suite été greffés[8],[9], en utilisant des pratiques anté-islamiques conservées dans le Kurdistan[10]notamment postérieurement à Cheikh Adi[3]. Généralités[modifier | modifier le code] Histoire du yézidisme[modifier | modifier le code] L'archange yezidi Taous Malek.

Lesley Hazleton: Lesley Hazleton : Le doute essentiel à la foi. Les grandes religions sont-elles nées avec les épidémies? Selon certains biologistes, la religion et les épidémies ont beaucoup de choses en commun. En façonnant les réactions collectives face à certaines maladies, la religion joue un rôle important dans l’évolution d’une épidémie, d’après ce que rapporte le magazine américain Sciencemag. C’est ce que David Hughes, biologiste de l’évolution de l’université de Pennsylvanie, a affirmé au 13e congrès de la Société Européenne de biologie évolutive.

Hughes s’intéresse depuis longtemps aux personnes qui, au nom de la religion, font des choses qu’ils ne feront pas naturellement, comme se sacrifier pour lutter contre des maladies infectueuses. Avec deux de ses collègues, il s’est penché sur l’histoire des civilisations. Ils montrent ainsi qu’entre 800 et 200 avant J-C, les premières grandes cités se sont développées, que des épidémies sont apparues et qu’en même temps les premières religions modernes sont nées. Publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur. The Origins of Human Beings According to Ancient Sumerian Texts. Sumer, or the ‘land of civilized kings’, flourished in Mesopotamia, now modern-day Iraq, around 4500 BC. Sumerians created an advanced civilization with its own system of elaborate language and writing, architecture and arts, astronomy and mathematics. Their religious system was a complex one comprised of hundreds of gods, rites and cosmology.

According to the ancient texts, each Sumerian city was guarded by its own god; and while humans and gods used to live together, the humans were servants to the gods. The Sumerian creation myth can be found on a tablet in Nippur, an ancient Mesopotamian city founded in approximately 5000 BC. The creation of Earth (Enuma Elish) according to the Sumerian tablets begins like this: It is interesting here to note that no one god is responsible for creation, as even gods are themselves part of the creation.

Sumerian mythology claims that, in the beginning, human-like beings of extra-terrestrial origin ruled over Earth. Le cerveau de ceux qui croient en Dieu ne fonctionne pas comme celui des athées. Croire en dieu(x) est une affaire de neurologie, affirment des chercheurs de l'université d'Auburn, Alabama en collaboration avec l'Institut national de la santé américain, explique le blog Al.com. Les résultats de l'étude ont été publiés dans le journal Brain Connectivity le 15 janvier 2014. Il s'agissait d'étudier les cerveaux de volontaires, classés selon qu'ils se disaient athées ou religieux grâce à l'IRM fonctionnelle (IRMf). publicité Dans une précédente étude parue en 2009, la même équipe menée par Dimitrios Kapogiannis avait établi que la croyance individuelle se définit selon trois critères: la perception du niveau d'implication de Dieu dans la vie du sujetla perception des émotions de Dieu par le sujetla doctrine personnelle du sujet et sa connaissance de la religion Ces trois données activent trois zones différentes du cerveau, et ce sont les flux d'information entre ces zones qui ont été étudiés cette fois-ci, précise le résumé de l'étude.

À lire aussi sur Slate.fr. La religion ne rend pas plus généreux. Non, malgré les messages d’amour du type «aimez-vous les uns les autres», la religion ne rend pas forcément les gens plus généreux avec leur prochain. Une étude menée par la University Business School de Nottingham, et financée par le gouvernement britannique, sur le rôle de la religion dans la vie publique, démontre que «être religieux semble rendre les gens plus coopératifs ou plus altruistes uniquement lorsqu'ils ont affaire à d'autres personnes de la même foi», résume le Telegraph, qui reprend les conclusions de l’étude. Les chercheurs ont demandé à des Malaisiens de croyances différentes (chrétiens, hindous, musulmans, bouddhistes ainsi que des personnes non-religieuses) de prendre part à une série d’expériences.

Par exemple, les participants devaient attribuer une somme d'argent imaginaire à d’autres participants, et décider eux-mêmes du montant. Le Dr Robert Hoffmann, co-auteur du rapport, explique: publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur. Abd Al Malik : “L’islam est méconnu, par les musulmans eux-mêmes et par les autres” Un mois après les attentats parisiens, le chanteur publie un plaidoyer passionné. Pour que l’islam ne soit plus source de malentendu. Pour que la République prenne soin de tous ses enfants. A la veille de ses 40 ans – en mars –, Abd Al Malik vibre autant de colère que d'espoir. Impliqué de longue date dans le débat sociétal, le musicien, écrivain et cinéaste adresse à la France une supplique intitulée Place de la République, pour une spiritualité laïque.

Un mois après les attentats parisiens de janvier, ce texte bref et percutant, publié le 18 février aux éditions Indigène – celles de l'Indignez-vous de Stéphane Hessel –, accuse la République de ne pas traiter tous ses enfants de la même manière. « Nous, on aime la France, mais elle ne nous aime pas », disait un « grand frère » dans Qu'Allah bénisse la France, le fim qu'Abd Al Malik a adapté de son autobiographie (nommé au césar du meilleur premier film). Bande-annonce de Qu'Allah bénisse la France. C’est l’école qui vous a sauvé ? J’ai discuté avec un salafiste: il n’avait rien d’un terroriste. Tous les terroristes djihadistes se disent salafi mais tous les salafistes ne sont pas terroristes.

Rencontre. Il faudrait être sourd et aveugle pour ne pas l’avoir compris. «Ils veulent qu’on tue des musulmans» chez nous, expliquait encore et encore l’historien et arabisant Jean-Pierre Filiu sur France inter au lendemain des attentats du 13 novembre 2015. L’objectif essentiel de Daech, c’est que nous commettions «des représailles» sur «nos» musulmans (citoyens français, immigrés non naturalisés, réfugiés…). Les mots sont aussi crus que la vérité l’est. C’est cet engrenage infernal qui nous pend au nez. Et depuis vendredi 13, j’ai peur, aussi, pour un homme. Pantalon au-dessus des chevilles, forte carrure, vêtements amples et barbe qui va avec, il se tient le 5 novembre devant le coffre grand ouvert de sa voiture parquée à la station de l’aérogare 2 Charles-de-Gaulle. «Chic, le chauffeur de taxi est salafi, la conversation va sans doute être intéressante…» me suis-je dit in petto.