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Extraterrestres

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Les petits hommes verts ne sont peut-être pas si «verts» que ça. Et cela nous aidera peut-être à les trouver. La recherche d'une vie extraterrestre est entrée dans la modernité: on traque désormais les indices de pollution industrielle. Les humains modifient les systèmes terrestres à une échelle globale. Les polluants industriels s’accumulent dans notre atmosphère et sont susceptibles d'altérer à long terme le climat et la biodiversité de toute la planète. C'est une histoire tristement célèbre. Mais il y a une nouvelle conséquence à ajouter à celles, imprévisibles, du changement climatique anthropique. Dans un futur lointain, la pollution industrielle –un signe manifeste d'activité technologique– pourrait être détectée à des centaines d'années-lumière.

Peut-être faut-il chercher d'autres signes d'activité Traditionnellement, la recherche d'une vie extraterrestre, plus connue sous l'acronyme SETI, s'est attelée à détecter les signes d'une activité technologique en scrutant les cieux pour y trouver des rayonnements électromagnétiques, comme des ondes radio. A moins qu'ils soient encore plus verts? Sommes nous seuls dans l’univers? Si des civilisations très développées technologiquement existent dans l'univers, pourquoi n'avons nous aucun contact avec elles? Nous éprouvons tous un sentiment particulier quand dans une nuit profonde et noire, nous contemplons un ciel constellé d’étoiles.

L’immensité de l’univers donne le vertige et souvent la même question se pose: sommes-nous seuls? Une question éternelle que se pose à son tour le Huffington Post américain. Mais si nous ne sommes pas seuls, «Où sont-ils?» S'interrogeait déjà il y 70 ans Enrico Fermi l'un des plus grands physiciens de l'histoire et l'un des inventeurs de la bombe atomique. Il est l’auteur du paradoxe qui porte son nom, le paradoxe de Fermi, sur la vie extraterrestre. Statistiquement, le raisonnement de Enrico Fermi est imparable. Pour donner encore un peu plus le vertige.

Poussons le raisonnement statistique de Fermi jusqu’au bout. Il y a deux types de réponses à leur absence. L’autre grande catégorie d’explications est plus concrète. Voisins du troisième type: quels sont les premier et deuxième types? - Photo du film Voisins du troisième type, Twentieth Century Fox France - Les affiches du nouveau film Voisins du troisième type, sorti le 12 septembre, ont envahi les sucettes depuis quelques semaines. Mais si en disant «troisième type», on pense extraterrestres, à quoi correspondent les premiers et deuxièmes types?

Le terme de «troisième type» est devenu célèbre grâce au film de Steven Spielberg avec François Truffaut, Rencontre du troisième type, sorti en 1978. Mais ces différents «types» nous viennent en réalité d’un astronome américain, Josef Allen Hynek, qui a été embauché dans les années 1950 par l’US Air Force pour étudier les ovnis. Mais le chercheur y croit de plus en plus et décide de s’écarter du gouvernement. Publicité Un alien qui n’est plus là mais qui a laissé des traces matérielles sur le sol rentre dans le deuxième type (RR2). Dans une rencontre du troisième type (RR3), l’alien ou l’ovni est en face de vous. Légitimation de l'ufologie Fanny Arlandis Devenez fan sur. Pourquoi les militaires se désintéressent de plus en plus des ovnis. «J’en suis persuadé, ils ne lâchent que ce qui les arrangent.» «Je ne suis pas étonné, ils nous mentent déjà sur beaucoup de choses.» «Nos élites nous prennent pour des truffes!» «La moitié des moutons qui constituent notre population vont gober ça!»

Désinformation. Complot organisé entre gouvernants, militaires et médias. Ce sont quelques-uns des propos qui ont faite suite à la diffusion fin juin des dernières archives du bureau ovni du Département de la Défense britannique. Définitivement fermé en novembre 2009, ce service était baptisé «X-files britanniques». Publicité Londres tourne la page des ovnis en diffusant les raisons de cette décision ainsi que les derniers 209 dossiers ouverts. 52.000 pages de démarches administratives et de témoignages qui n’ont jamais donné lieu à de vraies enquêtes.

Plus que les extraterrestres, ce sont les tabloïds et les biais de la perception sensorielle qui sont à l’origine de cette vague d’ovnis. Les ovnis ne sont plus une menace pour la Défense... Why Habitable Exoplanets Might Mean Humanity Is Doomed. Last week, scientists announced the discovery of Kepler-186f, a planet 492 light years away in the Cygnus constellation. Kepler-186f is special because it marks the first planet almost exactly the same size as Earth orbiting in the “habitable zone” – the distance from a star in which we might expect liquid water, and perhaps life. What did not make the news, however, is that this discovery also slightly increases how much credence we give to the possibility of near-term human extinction. This because of a concept known as the Great Filter. The Great Filter is an argument that attempts to resolve the Fermi Paradox: why have we not found aliens, despite the existence of hundreds of billions of solar systems in our galactic neighbourhood in which life might evolve?

As the namesake physicist Enrico Fermi noted, it seems rather extraordinary that not a single extraterrestrial signal or engineering project has been detected (UFO conspiracy theorists notwithstanding). Are we alone? The Fermi Paradox - Wait But Why. PDF: We made a fancy PDF of this post for printing and offline viewing.

Buy it here. (Or see a preview.) Everyone feels something when they’re in a really good starry place on a really good starry night and they look up and see this: Some people stick with the traditional, feeling struck by the epic beauty or blown away by the insane scale of the universe. Physicist Enrico Fermi felt something too—”Where is everybody?” A really starry sky seems vast—but all we’re looking at is our very local neighborhood. Galaxy image: Nick Risinger When confronted with the topic of stars and galaxies, a question that tantalizes most humans is, “Is there other intelligent life out there?” As many stars as there are in our galaxy (100 – 400 billion), there are roughly an equal number of galaxies in the observable universe—so for every star in the colossal Milky Way, there’s a whole galaxy out there. So there are 100 Earth-like planets for every grain of sand in the world.

But it hasn’t. Where is everybody?