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France-2030-scenarios-croissance. Décennie 2020-2030 Bienvenue dans le monde d’après… les babyboomers ! par Franck Biancheri. Google Timelapse vous montre à quel point la Terre a changé en plus d’un quart de siècle. Développé par les autorités américaine, le Time et Google, le projet Timelapse vous permet de voir l’évolution de la surface de la Terre grâce à 30 ans d’images prises par satellites. D’incroyables images qui vous permettront de voir concrètement l’évolution de notre planète. Ce projet permet d’observer la déforestation en Amazonie, la fonte des glaciers ou encore l’extension de Las Vegas ou des côtes de Dubaï. Ce projet Timelapse a été développé par Google, le magazine Time et l’institut géologique américain. Il vous permet de visionner les grands phénomènes qui ont changé la surface de la Terre de 1984 à 2012. Ce procédé de « timelapse » consiste à faire défiler en accéléré des images prises à intervalle régulier à échelle planétaire est devenu réalité grâce à des millions d’images satellites prises au cours de ces trente dernières années, comme l’explique Google dans un article sur leur blog, du jeudi 9 mai.

Pour utiliser l’outil Timelapse de Google, c’est ici. Petit lexique de contre-propagande. « Winston laissa tomber ses bras et remplit lentement d’air ses poumons. Son esprit s’échappa vers le labyrinthe de la doublepensée. Connaître et ne pas connaître. En pleine conscience et avec une absolue bonne foi, émettre des mensonges soigneusement agencés. Retenir simultanément deux opinions qui s’annulent alors qu’on les sait contradictoires et croire à toutes deux. La langue française est probablement l'une des plus difficiles à maîtriser. La tendance semble s’être inversée depuis lors. La télévision et le cinéma de masse, de plus en plus vulgaires, propagent un langage de plus en plus ordurier, obscène et vide de sens.

En vérité, par rapport à il y a seulement dix années, tout semble aller de plus en plus mal ; par ailleurs, nous n'avons jamais été en démocratie, en dépit des assurances constantes et contraires à ce sujet des politiques, des journalistes et des intellectuels. Le phénomène n’est pas inoffensif, non plus qu’il n’est nouveau dans l’histoire. A. B. A. B. C. D. A. Droit naturel. LaTraverse3_Bolobolo.html. Imaginer et préparer une sortie du capitalisme Par Les Renseignements Généreux Depuis la crise financière de 2008, les critiques du capitalisme se multiplient. Chaque semaine ou presque sort un nouveau livre expliquant combien ce système mène l'humanité au désastre par le creusement des inégalités sociales, le renforcement des oligarchies, l'approfondissement des crises économiques, des catastrophes industrielles et environnementales... Parmi ces ouvrages, très peu proposent de nouvelles visions positives de la société, des alternatives possibles au capitalisme.

Publié en 1983 par l'écrivain suisse P.M., le livre bolo'bolo fait partie des rares ouvrages osant aborder toutes ces questions de front. Automne 2010, souvenons-nous. Puis, en quelques semaines, le reflux des luttes, l'enterrement médiatique, l'arrogance gouvernementale. Nous avons besoin de visions positives Qu'aurait-il fallu pour que ce gouvernement plie ? La proposition bolo'bolo Une fédération de petites communes 1. 2. 3. 4. Distinguer bien commun et bien(s) commun(s) Bien commun et bien(s) commun(s) C’est à Thomas d’Aquin que l’on doit la notion philosophique de bien commun, bonum communis. L’évolution de cette notion demande un rappel historique, et philosophique, pour mieux comprendre la nécessaire distinction entre « Bien commun » et « biens communs ». Ce court texte, cette fiche même, réunit quelques remarques, écrites trop rapidement, que j’espère utiles s’agissant d’une notion extrêmement ancienne, et même chargée historiquement, mais qui n’est utilisée que depuis peu dans notre secteur [1].

La note tourne autour de la distinction nécessaire entre « Bien commun » et « biens communs ». Un peu d’étymologie Non seulement les notions, mais le vocabulaire lui-même proviennent des romains. Commun vient de communis, adjectif = commun, accessible. Les romains connaissent le(s) bien(s) public(s) : bonum publicum. Le(s) bien(s) commun(s) On utilise ici les notions de base du droit romain, telles qu’elles ont rebondi avec le Code civil (Napoléon). Biens Communs. Commons - Biens Communs - Bens comuns - Bienes comunes. Collectifs.Net. Groupe Béna. Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ?

La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides. Je pense notamment à la machine à vapeur, qui n’a pas été inventée pour des motivations de vitesse mais pour servir l’industrie des chemins de fer, lesquels sont eux-mêmes devenus de plus en plus rapides. Tout cela est corrélatif par le fait de la multiplication des activités et rend les gens de plus en plus pressés. Cela est-il donc si nouveau ? Cette quête de vitesse n’est-elle pas une illusion ?

En quelque sorte si. Pourquoi ? Le cri d’une femme, d’une mère : Il nous faut désobéir, c'est urgent ! Désobéir comme un mode de vie tranquille, sincère. Une révolution en douceur. Nul besoin de violence, juste une morale et une saine détermination qui prennent un sens total. La planète ne survivra pas à cette consommation effrénée qui aliène l'homme et détruit tout bonheur de vivre. C'est simple pourtant ! Que mes fils me voient indignée et méfiante à l'égard de tous les grands de ce monde qui ne parviennent plus à stopper cette machine destructrice lancée à vive allure tel un tombereau sur nos vies. Je veux parler de ce capitalisme débridé, cette inconscience ambiante. On nous a trop dit qu'on ne pouvait rien changer, que c'était ainsi : la mondialisation, les banques, le chômage inévitable, les délocalisations indispensables à la bonne marche des entreprises.

Mais qui peut encore croire tout cela ? Ecrit à la suite de la Journée de la désobéissance, 8 octobre 2011, Grigny (69), organisé par la ville de Grigny (69) et le journal « Le Sarkophage ». Source. Global Partage - out by capa press closed rights. Changer de paradigme. Action pour la Paix.

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