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Simonepjtours

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Revue de presse Catalogne. DIRECT. Agriculteurs en colère : les manifestations s'étendent à toute la France. Retrouvez ici l'intégralité de notre live 16h47 : Je suis médecin à la campagne. Peu ou pas d'étude épidémiologique faite sur le sujet, mais dans notre coin, quelques cas de cancer chez certains viticulteurs qui jettent le trouble sur le discours officiel sanitaire.

Merci de faire avancer ainsi les choses avec ce genre d'enquête. 16h46 : De toute façon, on va en parler ce soir, demain et peut-être après-demain. Et après ? Rien. 16h46 : Maintenant, je crois que c'est plus sain d'habiter en ville, plutôt qu'à la campagne... d'ailleurs, les abeilles qu'on réintroduit en ville vivent très bien, même au centre de Paris, c'est bien la preuve. 16h44 : Certains d'entre vous nous ont fait remarquer l'absence des départements d'outre-mer dans notre carte sur les pesticides. 16h38 : Inquiets depuis les attaques, des proviseurs réclament que les élèves fument dans la cour plutôt que dans la rue. 16h26 : "Alors cette médaille récompense quoi au juste ?

16h15 : 16h00 : C'est le jour de la marmotte ! Alim'agri. Crise agricole. 25 000 dossiers d'exploitations en difficulté. Le monde agricole essuie de nombreuses crises depuis le début de l'année. « 25 000 dossiers ont été déposés », « avec des situations de difficultés différentes », a indiqué le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, qui a rappelé que ce chiffre était proche de celui des 10 % d'élevages en difficulté qu'il avait donné avant l'été. Pour ceux qui ont déposé leur dossier avant le 30 septembre, « les aides seront payées avant la fin de l'année, et ça commence aujourd'hui » a-t-il assuré.

Par contre, concernant la possibilité de demander une « année blanche » - c'est-à-dire un report total des annuités bancaires de 2015 - M. Le Foll a souligné que les banques n'étaient pas des « plus allantes ». Par ailleurs, sur les 25.000 dossiers d'éleveurs en difficulté, 300 concernent des exploitations qui sont en procédure de liquidation, de sauvegarde ou de redressement judiciaire. 100 millions d'euros d'allègement des charges. Crise agricole : « Nous vivons un drame social ; les éleveurs sont exsangues » Alors que des éleveurs manifestent près de Lorient et de La Rochelle, le président de la FRSEA Bretagne, Thierry Coué, dénonce un double discours sur l’agriculture. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Perrine Mouterde La mobilisation ne faiblit pas.

Depuis le 20 janvier, des agriculteurs bretons, mais aussi de la Sarthe ou de Charente-Maritime, manifestent pour protester contre les cours très bas, inférieurs aux coûts de production, auxquels le porc, le lait et la viande bovine sont achetés par les industriels de la transformation. Thierry Coué, éleveur de porc, président de la Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles (FRSEA) de Bretagne et vice-président de la Fédération départementale (FDSEA) du Morbihan, dénonce une concurrence inéquitable entre producteurs européens et un déséquilibre entre agriculteurs, transformateurs et grandes surfaces. Lire aussi Comprendre les raisons de la crise des éleveurs Un plan de soutien à l’élevage a été annoncé en juillet.

Crise de l’élevage : comprendre la fixation des prix, des marges et des subventions. Barrages routiers, manifestation devant les préfectures, « bonnets roses » : les éleveurs laitiers et porcins de l’Ouest de la France multiplient depuis le 20 janvier les actions pour alerter sur leurs difficultés financières. Ils demandent aux pouvoirs publics d’agir contre les cours très bas auxquels sont achetées leurs productions, et les marges des intermédiaires, qu’ils jugent abusives.

La colère des agriculteurs, qui avait enflé en juillet, avait abouti en septembre à l’annonce d’un plan d’urgence de 700 millions d’euros pour l’élevage, qui n’a pas résolu les problèmes de fonds. Les producteurs de porc s’étaient ainsi mobilisés tout l’été pour demander un prix plancher de 1,40 euro le kilo au marché de Plérin – or il se négociait jeudi à 1,09 euro. Lire aussi Le gouvernement face aux multiples crises de l’élevage en France 1. Que dénoncent les agriculteurs ? 2. Le système est assez complexe et dépend du type de produit : Porc : une bourse en Bretagne Bœuf : un prix moyen et libre 3. Eleveurs : les raisons d’un malaise. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Laurence Girard Depuis la mi-janvier, des éleveurs français font à nouveau entendre leur mécontentement. De la Bretagne à la Normandie, de la Sarthe au Tarn-et-Garonne, en passant par les Landes, producteurs laitiers, porcins, bovins mais aussi de canards multiplient les manifestations.

Opérations escargots, blocages de route, feux de pneus ou de bottes de paille font la « une » de l’actualité. De quoi faire pression sur le gouvernement. La guerre des prix menée par la grande distribution Le retour des manifestants dans les rues, après les démonstrations de force de cet été, est lié à une période cruciale. Le partage des marges est au cœur des discussions. « A chaque fois, on nous demande des efforts de productivité mais la marge part vers l’aval », martèle Jean-Pierre Fleury, président de la Fédération nationale bovine (FNB).