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Créativité partagée

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Kohop Creative Kids HD. Tendances - Le cinéma hollywoodien devient participatif. Publié le 26 août 2012 Le placement de produit n’est désormais plus le seul moyen pour une marque d’être présente dans un film. Le Brand Content s’affirme dans l’industrie du cinéma comme une valeur sure. Les marques s’acoquinent sans complexe avec le septième art pour s’offrir un contenu hollywoodien. Avec « The Beauty Inside » Intel et Toshiba pérennisent carrément le film participatif...

Un film pour tailler son costume marketing dans les apparats magiques du cinéma à gros budget, c’est bien. Une super production permettant aux consommateurs de devenir acteur pour incarner le personnage principal, c’est encore mieux. Lancé mondialement le 16 août dernier sur Facebook, « The Beauty Inside » est la suite du déjà réussi « The Inside Experience », sorti durant l’été 2011 et présenté alors comme le premier film social d’Hollywood.

Trailer "The Beauty Inside" Benjamin Adler " The Beauty Inside " Ep 1 : Hello my name is Alex Rejoignez-nous et recevez chaque semaine le meilleur d'INFLUENCIA. Photos du mur. L’intelligence collective à petite échelle. Qu’entend-on généralement par « intelligence collective » ? Pour le monde du web, la messe est dite : c’est le produit émergent de l’interaction entre plusieurs milliers, voire millions d’individus, certains ne partageant avec les autres qu’une quantité minimale de leur réflexion (c’est la théorie du surplus cognitif chère à Clay Shirky, comme il l’a développe dans on livre éponyme ou chez TED). Et bien entendu, c’est le web lui-même qui est le média de choix de cette intelligence collective. Cette définition repose sur certains postulats, pas toujours explicites : Plus on est de fous, plus on rit.

Autrement dit, l’intelligence collective n’apparait qu’avec un très grand nombre d’interactions entre des multitudes d’agents. Pourtant, il existe une autre approche de l’intelligence collective, bien plus ancienne que le net ou le web : la « fusion » entre quelques esprits, le plus souvent seulement deux, pouvant aboutir à une explosion inattendue de créativité. Répondre à l’injonction d’innover. Pas facile de comprendre ce qu’est l’innovation dans un monde mouvant et complexe.

C’était pourtant l’un des défis de la session introductive de l’édition 2011 de la conférence Lift qui se tenait la semaine dernière à Genève. « Jusqu’à présent, les révolutions avaient toujours une structure, une organisation, des figures intellectuelles à leurs têtes… L’Egypte ou la Tunisie nous montrent un autre type de révolution, les “WikiRévolutions” », explique le célèbre Don Tapscott, professeur de management à l’université de Toronto, président du think tank Moxie Insight et surtout auteur (avec Anthony D.

Williams) du bestseller mondial Wikinomics et de sa suite, Macrowikinomics qui vient de paraître. Grâce aux médias sociaux, le coût de transaction de la collaboration a changé et ces médias ont bouleversé la façon dont les gens collaborent. En Tunisie, les gens par exemple prenaient des photos des snippers pour les dénoncer à l’armée qui les soutenait… Cette transformation semble positive. La créativité expliquée. Peut-on vraiment « manager », « améliorer la créativité, par des moyens précis ? J’avoue personnellement avoir toujours été assez sceptique sur le sujet, en partant du principe que si on innove à partir d’une méthode connue et éprouvée, alors ce n’est plus de l’innovation, par définition.

Et les étagères des librairies consacrées au développement personnel, au management, voire au New Age, abondent en techniques infaillibles d’amélioration de la créativité, du jeu de rôle au mindmapping en passant par la programmation neurolinguistique, le brainstorming ou le sacrifice de boucs (la méthode la plus efficace à mon avis). Mais Anthony McCaffrey, dont les travaux ont été présentés ces jours-ci dans Science Daily, semble relancer le débat. Il est vrai que le bonhomme suscite l’intérêt puisqu’il a reçu un don de 170 000 $ de la National Science Foundation pour développer sa théorie et surtout mettre au point une technologie qui permettrait de lui donner une application pratique. Rémi Sussan. Sac/wp-content/uploads/2011/10/McCaff_Spect_AhaNets_SAC.pdf.

Marketing Press | Return on Interactivity: The Impact of Online Agents on Newcomer Adjustment. Clemens F. Köhler, Andrew J. Rohm, Ko de Ruyter, Martin Wetzels (2011). Return on Interactivity: The Impact of Online Agents on Newcomer Adjustment. Journal of Marketing: Vol. 75, No. 2, pp. 93-108. Clemens F . 1 Postdoctoral researcher, Faculty of Economics and Business Administration, Department of Marketing and Supply Chain Management, Maastricht University. c.kohler@maastrichtuniversity.nl Andrew J . 2 Associate Professor of Marketing, Department of Marketing, College of Business Administration, Northeastern University. a.rohm@neu.edu Ko de Ruyter , 3 3 Professor of Marketing, Faculty of Economics and Business Administration, Department of Marketing and Supply Chain Management, Maastricht University. k.deruyter@maastrichtuniversity.nl Martin Wetzels 4 4 Professor of Supply Chain and Marketing Research, Faculty of Economics and Business Administration, Department of Marketing and Supply Chain Management, Maastricht University. m.wetzels@maastrichtuniversity.nl Abstract Andreas M.

Créativité partagée, plaisir assuré ! - Grain de CEL. Cet article inaugure une nouvelle catégorie chez Grain de CEL ! "Avec les p'tits grains" te présentera des réalisations à faire avec les enfants ! Aller, c'est parti ! Pour Noël, Léo et moi avons l'habitude de préparer quelques petits cadeaux "home-made" pour les papys et mamys et les parrains et marraines. D'habitude, on fabrique des boules de noël, à partir de ces boules à garnir, en plastique transparent, qu'on trouve dans tous les bons magasins de loisirs créatifs, tu vois quoi ? On les rempli de plumes, confettis, petites décos de Noël ET bonbons et chocolats, évidemment !

Cà fait plaisir à Léo de fabriquer quelque chose, çà fait plaisir aux destinataires de recevoir un truc fabriqué avec amour par un petit loulou, et çà fait plaisir à leurs papilles aussi ! Lol Cette année, Léo grandissant et étant maintenant capable de faire un peu plus que de remplir des boules, j'avais envie de changer.... Alors après m'être un peu inspirée sur le net, on s'est mis au travail ! - Paillettes Garnir ! Les défis de la créativité partagée. Résumé L’histoire de Kalisto‚ fulgurante réussite entrepreneuriale‚ est celle d’une entreprise qui est née avec l’essor des jeux vidéo‚ s’est appuyée sur la créativité débridée de jeunes passionnés‚ et a su gérer le passage à la profession-nalisation et à un univers économique très exigeant.

Enjeux économiques énormes‚ demande imprévisible et volatile‚ technologies en évolution permanente‚ budgets de développement colossaux dessinent le contexte d’un studio de création. Manager les équipes‚ dans ces conditions‚ impose de comprendre la nature profonde du jeu vidéo. La réussite de Kalisto a reposé sur la reconnaissance de l’importance de l’alchimie entre technologie et création‚ et sur le développement d’un système de management axé sur l’équipe et la création collective.

Le jeu vidéo s’affirme ainsi comme un laboratoire pour des questions nouvelles de management. Le texte complet est paru dans le journal de l'École de Paris N° 55.