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ITALIE

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Le Vesuve

L'Etna. Le Stromboli. Séismes : Pourquoi l’Italie tremble-t-elle autant ? | méridianes géo. Pascal Bernard, physicien et sismologue à l’Institut de physique du globe de Paris, revient sur la série de séismes meurtriers dans le nord de l’Italie. Le dernier, mardi, a fait au moins 15 morts dans le centre-nord du pays. Des séismes dans le nord de l’Italie, c’est normal ou exceptionnel ? La série que l’on vient d’observer est plutôt inhabituelle. Certes, on sait, depuis des siècles, que la zone peut générer des séismes de magnitude 6, car des failles ont été identifiées sous la plaine du Pô, mais les séismes en cascade, c’est assez surprenant. Quand une faille casse, elle peut déstabiliser la faille voisine etprovoquer – au-delà des répliques -, dans les jours ou les mois suivants, un séisme de la même intensité.

Pourquoi cette région est-elle particulièrement sensible ? La plaine du Pô est une zone de contact entre différentes plaques sismiques. Cette série annonce-t-elle un séisme plus important ? L’effet « domino » est toujours envisageable. Le pays est prêt. Sciences & Avenir.fr. Séisme : pourquoi l'Italie est-elle si exposée ? La nuit dernière, à 3h36, un violent séisme de magnitude 6,2 a frappé l'Italie. Selon un bilan, encore provisoire, au moins 120 personnes auraient perdu la vie, mercredi 24 août. L'Italie est régulièrement frappée par des séismes très meurtriers.

Pourquoi le pays est-il si exposé ? "Des séismes de cette magnitude, il y en a tous les dix ans en Italie, car le pays est situé au croisement de deux plaques, la plaque eurasienne et la plaque africaine, qui s'affrontent. Une zone qui s'étend sur 1 000 km, du nord au sud de l'Italie. Le JT JT de 20h du mercredi 24 août 2016 L'intégrale Les autres sujets du JT. Tsunami un risque en Méditerranée ? .pdf. Campi Flegrei : des chercheurs localisent la chambre magmatique du "supervolcan" de Naples.

Des volcanologues italiens pensent avoir localisé la "zone chaude", emplie de magma, qui alimente les Campi Flegrei (ou Champs Phlégréens), ce supervolcan situé dans la baie de Naples dont l'activité inquiète. Prédire l'éruption d'un volcan reste à ce jour une mission impossible. C'est pourquoi les spécialistes surveillent étroitement l'activité de nombreux volcans potentiellement dangereux à la recherche d'éventuels signes avant-coureurs. Ceci consiste notamment à suivre l'activité sismique de la zone volcanique mais des études plus poussées peuvent également fournir de précieuses informations sur les risques d'une potentielle éruption. C'est ce que viennent de réaliser des volcanologues italiens au niveau des champs Phlégréens, aussi connu sous le nom italien "Campi Flegrei".

Une chambre magmatique localisée Ces dernières années, les Campi Flegrei ont fait l'objet de nouvelles études et les nouvelles sont peu rassurantes. Un volcan qui devient plus dangereux ? INTERACTIF. Les plus forts séismes survenus en Europe depuis 1980 - Le Parisien. Un séisme de magnitude 6,2 a frappé le centre de l'Italie le mercredi 24 août, provoquant le décès d'au moins 73 personnes, selon un bilan effectué dans la journée. Ce tremblement de terre n'est que le dernier d'une longue série dans cette région du centre de l'Italie.

La partie centrale des Appenins, chaîne montagneuse qui traverse la péninsule du nord au sud, a connu 11 séismes d'une magnitude supérieure à 5,5 (Mw) depuis 1928. Tout comme la Grèce ou le sud de la Turquie, l'Italie se trouve à proximité de la faille séparant les plaques continentales africaines et eurasiennes. Le risque sismique est donc plus important pour ces pays du sud de l'Europe, touchés de nombreuses fois par des séismes de magnitude élevée ces dernières décennies. 3 300 morts en Italie depuis 1980 L'épicentre du séisme du 24 août se situe dans une zone montagneuse déjà touchée de manière tragique à deux reprises depuis 1997. VIDEO. La Grèce touchée, la France épargnée Mesurer la force d'un séisme. Relief et processus alpins chez les Romains. Tremblements de terre deux mille ans de séismes dans la péninsule italienne. La Rome antique face aux risques naturels. Un colloque " Le traitement médiatique des catastrophes : entre oubli et mémoire " est prévu à Grenoble les 10 et 11 avril 2003.

L'intérêt porté ces dernières années aux questions d'environnement, à la relation homme - milieu, rendu encore plus aigu par l'actualité récente, n'est pas l'apanage des sociétés contemporaines. La notion de " risques naturels " est récurrente dans l’histoire de la ville de Rome dans l’Antiquité. Cette notion est très présente dans les sources de cette histoire, chez les historiens de l’Empire comme Tite-Live, Suétone, Tacite et Dion Cassius, même si le concept n’est alors ni analysé ni clairement défini. Aujourd’hui, ces risques sont interprétés par les spécialistes comme le produit de 2 séries causales : Ainsi, dans Juvénal, Satires, 3, 190-194 : " qui craint, qui a jamais craint l’éboulement de sa maison dans la fraîche Préneste […] Mais nous, nous habitons une ville qui n’est en grande partie étayée que sur de minces poutres.

Il nous appartiendra Conclusion : Le raz de marée du 21 juillet 365. [Du cataclysme local à la catastrophe cosmique] Une fois refusée l'hypercritique exacerbée, se révèle moins aisée quand on désire étudier non plus la perception de l'événement, le rôle et la signification qui lui sont attribués, mais la réalité du phénomène. Bien qu'ils fassent trop souvent confiance à des auteurs suspects, seuls le géographe et le séismologue peuvent faire la part du possible et de l'invraisemblable qui se côtoient chez un même auteur3 : si on est conduit à récuser la représentation de catastrophes universelles qui revient fréquemment, on doit parfois réhabiliter des renseignements que la nature de la source conduisait à écarter4.

Dans le cas du tsunami de 365, les difficultés dues à des sources inégales et foisonnantes se doublent d'un problème historiographique contemporain, car la tendance antique à rapprocher des faits différents a été exagérée par les modernes. Dès le XIXe siècle, on a réuni en une même catastrophe le tsunami de 365 et plusieurs séismes des années précédentes évoqués par Libanius5. Terra Antiqua. Sommaire de la page par hyperliens : 1. l'Etna 2. le Vésuve 3. le Mont Argée de Cappadoce 1. Situé au sommet, le cratère est la bouche de sortie des matériaux volcaniques : ponces, cendres, lave en fusion. Les auteurs antiques savent qu’il peut y avoir plusieurs cratères sur un volcan, dont des cratères mineurs, qui peuvent ne pas être sommitaux : c’est le cas de l’Etna qui, comme le dit Strabon, tantôt se concentre en un seul cratère, tantôt se divise , ce qui a pour conséquence une multiplication des orifices à la surface du sol, c’est-à-dire des cratères.

Grâce au témoignage de voyageurs qui ont gravi l’Etna, sur lequel il fonde une très bonne description, Strabon a décrit avec une grande précision les différents éléments du cratère, ainsi que ses dimensions, ce qui a permis de penser qu’il parlait de l’ancien cratère principal du volcan, appelé Piano del Trafoglietto, de 3,7 km de diamètre, à 6 km au sud-est du sommet actuel. 2. 3. Le débat sur cette interprétation reste ouvert.