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Les arnaques à la carte SIM n'épargnent pas les opérateurs US. Des chercheurs ont démontré que les opérateurs mobiles américains sont très vulnérables aux attaques dites de « swap SIM » ou changement de cartes.

Les arnaques à la carte SIM n'épargnent pas les opérateurs US

Une méthode faiblement technique mais qui peut s'avérer dévastatrice. Une équipe de chercheurs de l’Université de Princeton a démontré que plusieurs opérateurs américains (AT&T, Verizon, Tracfon, US Mobile et T-Mobile) sont vulnérables à un type d’attaques visant les cartes SIM. Baptisée « swap SIM » ou transfert de cartes SIM, elle permet aux attaquants de contacter l’opérateur, de se faire passer pour les victimes et transférer le service de la victime sur leur propre carte SIM. Comme cela, ils peuvent intercepter les codes de vérification par SMS et accéder aux comptes des victimes sur des sites web. Vol de données personnelles chez Yahoo Mail. Crédit Photo: D.R Le service de messagerie de Yahoo a été victime d'un piratage.

Vol de données personnelles chez Yahoo Mail

Les attaquants ont dérobé plusieurs identifiants et mot de passe de comptes. Yahoo a reconnu que des pirates sont entrés en possession d'un nombre indéterminé d'identifiants et de mots de passe de son service de messagerie. Jay Rossiter, vice-président en charge des plateformes et des produits de personnalisation de Yahoo a indiqué sur un blog que « les attaquants avaient probablement piraté une base de données tierce externe ». Il ajoute « nous regrettons ce qui s'est passé et nous voulons assurer à nos utilisateurs que nous prenons la sécurité de leurs données très aux sérieux ». Yahoo ne donne pas de chiffres sur le nombre de comptes compromis, ni sur la date de l'attaque.

Jay Rossiter rappelle une règle simple en matière de sécurité, « les utilisateurs ne doivent jamais utiliser le même mot de passe sur plusieurs sites ou service ». Plus d'un milliard d'images médicales exposées. D'après une étude menée par l'éditeur en sécurité allemand Greenbone Networks, près d'1,2 milliards d'images médicales comprenant des scanners et des IRM sont conservées sur des systèmes de stockage pas suffisamment sécurisées.

Plus d'un milliard d'images médicales exposées

Une situation loin de s'arranger malgré les dernières alertes. Les données médicales font certainement parti de celles les plus sensibles et personnelles. Pour autant, ce sont loin d'être les plus sécurisées et à l'abri des cyberpirates, d'après une étude de l'éditeur en solutions de sécurité allemand Greenbone. Il a ainsi constaté entre septembre et novembre 2019 une hausse considérable (60%) du nombre d'images médicales issues d'examens de santé (IRM, scanner...) exposées sur des serveurs insuffisamment sécurisés. Dans le même temps, le nombre de personnes potentiellement concernées par ce risque est passé de 24 à 35 millions pour un total d'1,19 milliard d'images exposées, dont environ la moitié rien qu'aux Etats-Unis. Dossiers de patients sur le Net : le secret médical pris en défaut.

E-réputation : limites à la liberté d'expression des consommateurs par leurs avis sur internet. Introduction Le 7 juillet 2011, la Cour d'appel de Montpellier a précisé les limites à la liberté d'expression des consommateurs quant aux avis ou commentaires diffusés sur internet en condamnant un client au titre de ses propos diffamatoires laissés sur ses blogs (Cour d'appel de Montpellier 2ème chambre B Arrêt du 07 juillet 2011, ALC Villas, Alexandre A. / Jean-Luc G.)

Présentation des faits En l'espèce, la société BCA Constructions, dont l'objet était la maçonnerie générale, la rénovation, l'activité de marchand de biens, a été immatriculée en 2001 au registre du commerce et des sociétés de Montpellier. Son gérant était M. Erick G. et M. Les époux G. lui ont confié la réalisation de leur maison d'habitation sur le terrain leur appartenant à Sète. Puis, la société ALC Villas, dont l'activité est la maçonnerie générale et le gérant M.

En janvier 2011, M. Dans ce contexte, la société ALC Villas et M. S'agissant des propos diffamatoires "M. M. En effet, le préjudice dont M. Par Anthony Bem. Données personnelles Acadomia. 9 géants du web accusés d'avoir renseigné la NSA et le FBI. La NSA et le FBI surveilleraient l'activité de nombreux internautes étrangers sur les serveurs des plus grands services en ligne parmi lesquels Microsoft, Google et Facebook.

9 géants du web accusés d'avoir renseigné la NSA et le FBI

Crédit D.R. Selon le Washington Post et le Guardian, l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) et le FBI auraient eu accès aux données privées de neuf géants américains du Net, parmi lesquels Microsoft, Yahoo, Google et Facebook, pour y surveiller les activités d'étrangers. Voici une affaire qui va encore faire du bruit en matière de violation de la vie privée. La NSA, l'agence nationale de sécurité américaine et le FBI auraient eu accès aux serveurs de Google, de Facebook et d'autres acteurs importants du web pour consulter des fichiers audio et vidéo, des courriers électroniques et d'autres contenus, ont révélé hier le Washington Post et le Guardian.

Hébergeur et données personnelles. Droit à l'oubli. DONNEES PERSONNELLES : la FNAC épinglée par la CNIL. Les données bancaires communiquées par des clients lors d'un achat sur Internet sont des données dont la nature justifie des conditions de conservation strictes, entourées de mesures de sécurité élevées.

DONNEES PERSONNELLES : la FNAC épinglée par la CNIL

La collecte et la conservation de telles données sont soumises au respect des prescriptions de la loi "informatique et libertés". Au-delà de la transaction, la conservation de ces données est ainsi subordonnée au consentement des clients et ne peut intervenir que pour une durée limitée. Afin de s'assurer du respect de ces exigences, la CNIL a mené, en février 2012, plusieurs contrôles dans les locaux de la société FNAC DIRECT, qui exploite le site fnac.com. La formation restreinte a rappelé que les données ainsi collectées ne devaient être conservées que pendant une durée limitée, et dans des conditions de sécurité renforcées. Si, en l'espèce, les conditions de sécurité retenues n'ont pas porté préjudice aux clients, elles étaient insuffisantes au regard de la sensibilité des données.