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Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet. Les Français n’aiment pas Internet (1). Est-ce le résultat d’une nouvelle enquête menée auprès de 85 internautes? Nan. En fait, précisons: les élites françaises n’aiment pas Internet. Enfin… les élites… Disons les gens dont on parle dans les médias. Florilège des propos anti-web classés par «métiers» publicité Les politiques Michèle Alliot-Marie, Le Figaro, le 5 septembre 2011 «A travers les blogs et les tweets, il y a une mise en cause des principes de l’information.

Patrick Ollier, à Public Sénat le 23 février 2011 «Les .fr vont chercher des infos dans le caniveau.» Nadine Morano, le 15 août 2008 «Internet, c’est comme une magnifique voiture de course. La même à Rue89, le 8 mai 2008 «Ah, Internet, je déteste, c’est le temple des rumeurs et de la caricature.» Jacques Myard, à l’Assemblée nationale en décembre 2009 «J’espère que l’on va prendre conscience de la nécessité de nationaliser ce réseau.» Rassurez-vous, à gauche aussi Ségolène Royal, le 21 septembre 2009: Les gens de la télévision Oui. 1. Est-ce que Google nous rend idiot ? Il nous a semblé important de vous proposer à la lecture Is Google Making Us Stupid ? , l'article de Nicolas Carr, publié en juin 2008 dans la revue The Atlantic.

Dans cet article, l'auteur de Big Switch et de Does IT matter ? , part d'un constat personnel sur l'impact qu'à l'internet sur sa capacité de concentration pour nous inviter à réfléchir à l'influence des technologies sur notre manière de penser et de percevoir le monde. InternetActu | • Mis à jour le | Par Nicolas Carr Il nous a semblé important de vous proposer à la lecture Is Google Making Us Stupid ? , l’article de Nicolas Carr, publié en juin 2008 dans la revue The Atlantic, et dont la traduction, réalisée par Penguin, Olivier et Don Rico, a été postée sur le FramaBlog en décembre. Dans cet article, Nicolas Carr (blog), l’auteur de Big Switch et de Does IT matter ? “Dave, arrête. Moi aussi, je le sens. Je crois savoir ce qui se passe. Je ne suis pas le seul.

Les anecdotes par elles-mêmes ne prouvent pas grand chose. Les trolls, ou le mythe de l’espace public. Les trolls, ces héros. Pour le sociologue Antonio Casilli, les fameux perturbateurs de communautés en ligne sont plus que de simples utilisateurs d'Internet aigris. Méprisés par les commentateurs autorisés, ils contribuent en effet à repenser l'espace public. Au Royaume-Uni, la Chambre des communes a récemment mis au vote un amendement du “British Defamation Bill” spécifiquement destiné à s’attaquer aux trolls sur Internet. L’amendement prévoit de contraindre les fournisseurs d’accès ou les propriétaires de sites web à révéler l’adresse IP et les informations personnelles des utilisateurs identifiés comme auteurs de “messages grossiers”. Rien que de très habituel : à chaque fois qu’une information liée aux technologies de l’information et de la communication attire l’attention du public, les législateurs britanniques sortent une loi ad hoc de leur chapeau.

De préférence, une loi qui méprise bêtement la vie privée et la liberté d’expression. Pourquoi les médias ont peur des trolls ? Bulles de Cannes – Fiat Lux. Le Web : Un peu d'histoire. Tim Berners-Lee, un informaticien du CERN inventa le World Wide Web en 1990. À l'origine, la Toile (ou le web, comme on le surnomme) fut conçue et développée pour répondre au besoin de partage d'informations entre scientifiques travaillant dans différentes universités et instituts aux quatre coins du monde. Le CERN n'est en effet pas un laboratoire isolé, mais plutôt le foyer d'une communauté d'environ 8000 scientifiques de 85 nationalités. Bien que ces scientifiques passent une part de leur temps au CERN, ils travaillent généralement dans des universités et laboratoires de leur pays d'origine.

Le maintien d'une bonne communication entre ces scientifiques est essentiel. L'idée de base du WWW était de combiner les technologies des ordinateurs personnels, des réseaux informatiques et de l'hypertexte en un système d'information mondial, puissant et facile à utiliser. Un peu d'histoire Fin 1990, une démonstration d'un logiciel pour un système de base eut lieu. Une diffusion mondiale. Histoire minimaliste de la Coupe du Monde. Football Par Dimitri Kucharczyk le 19 avr 2012 - 14:13 Grand amateur de football, le journaliste et illustrateur brésilien André Fidusi s’est attaché à résumer toutes les Coupes du monde de football de façon minimaliste. Un ou deux croquis lui suffisent ainsi pour remémorer le déroulement de l’épreuve, de la première victoire de l’Uruguay, en 1930, à celle de l’Espagne, en 2010. En passant par le triomphe de l’équipe de France. Même si son point de vue est très brésilien…

Facebook et Google nous livrent leur version « malbouffe » de l'information. Les médecins et pouvoirs publics ne cessent de nous interpeller au sujet de notre régime alimentaire : une alimentation variée et équilibrée est in-dis-pen-sable à notre santé, disent-ils en substance. Et si nous décidions d'accorder la même attention à notre régime informationnel ? Lorsque nous allons chercher de l'information en ligne, les contenus qui nous sont servis sont-il bien variés et équilibrés, ne contiennent-il pas trop d'informations grasses ou sucrées ?

La question ainsi posée par Eli Pariser dans le texte que nous vous proposons ci-dessous peut paraître étrange au premier abord, mais seulement si l'on ignore comment les grands restaurants d'information du Web que sont Google, Facebook ou Yahoo composent les assiettes qu'ils nous servent. Imaginez un restaurant qui affinerait en permanence sa carte en fonction de ce que vous avez commandé précédemment et, si vous êtes un habitué, en fonction de ce que vous commandez le plus souvent.

Extension du domaine de la statusphère. Désormais, vous pouvez étaler votre prose en long et en large sur votre mur. Pour Olivier Ertzscheid, Facebook veut "territorialiser à l’extrême – et à son seul profit – les expressions documentaires". Avec des visées commerciales, bien sûr. C’est une nouvelle presque anodine. Facebook vient d’autoriser la publication de statuts comprenant jusqu’à plus de 63 000 caractères.

Soit l’équivalent d’une vingtaine de pages d’un traitement de texte classique. Largement de quoi exprimer bien plus qu’un simple “WTF” ou autre “VDM”. Avec – comme le rappelle l’image ci-dessous – cette augmentation, cette densification récente de l’espace alloué aux “statuts”, Facebook tente d’asseoir sa base documentaire (au sens propre). Enfin, mais probablement à la marge, il s’agit de perfectionner la “connaissance” que Facebook a de chacun de ses utilisateurs, en s’offrant la possibilité de travailler non plus seulement sur des conversations mais sur d’authentiques “discours”, sur de larges espaces discursifs.

Vidéo

Manipulations - L'expérience Web – Accueil. Le SoLoMo, nouveau buzzword ou véritable tendance ? Le SoLoMo, ce serait la nouvelle tendance de l’internet post-web 2.0, une vague de fond qui va une fois de plus tout changer. Après qu’à peu près tout le monde se soit mis au web social, est-ce l’étape suivante, ou un énième concept qui n’existe que dans la tête des prophètes du marketing numérique ?

Loïc Le Meur a annoncé que le SoLoMo serait le grand thème de la conférence LeWeb 11. Mais pour ceux qui ne sont pas encore au courant, il est grand temps d’expliquer le sens de cet acronyme étrange : Social, Local, Mobile. L’avenir serait dans ces trois mots. Ces trois mots pourraient servir à définir Foursquare, un des précurseurs en la matière, et c’est ce que tentent d’intégrer tous les géants d’un domaine ou de l’autre : Google est déjà présent dans les trois domaines, Groupon et les sites de deals sont locaux, sociaux et mobiles, Facebook même a tenté le coup avec ses “lieux” et ses “deals”. Social, Local, Mobile, trois tendances pas vraiment égales Et le local dans tout ça ?