Sullivan Herriberry
Trump transition team signals more Cabinet nominations. Job seekers, advisers and would-be allies paraded through Trump National Golf Club in Bedminster, New Jersey, over the weekend as President-elect Donald Trump worked on filling his Cabinet.
By Sunday, Marine Gen. James Mattis had emerged as a leading contender for secretary of Defense. Members of the Trump team took to the Sunday talk shows. Vice President-elect Mike Pence, who heads Trump’s transition, and the incoming chief of staff, Reince Priebus, defended Trump’s Cabinet picks so far and elaborated on Trump’s more controversial campaign promises, including the reinstatement of waterboarding and a ban on Muslims entering the country. Trump, who met Saturday with Mattis, called him “the real deal” and a “brilliant, wonderful man.” Now a fellow at Stanford University’s Hoover Institution, Mattis has publicly criticized President Obama’s defense and national security policies.
Sen. Priebus was asked on another Sunday television show about a tweet in February by retired Lt. But Sen. (20+) Quatre nominations clés dans l'équipe de Donald Trump. Quatre nominations clés dans l'équipe de Donald Trump Mk Pmp, drctr d l C : n dr rnsgnmnt S l Snt pprv s nmntn, l rprsntnt d Knss l Chmbr prndr l têt d l pssnt gnc d rnsgnmnt mrcn.
Mk Pmp d’brd stn l sntr d Flrd Mrc Rb, vnt d s trnr vrs Trmp - mêm s’l vt qlf d’«hrrbls, ffnsnts t ndfndbls», ss prps dns l vd dtrr pr l Wshngtn Pst dns lqll Trmp s vnt d pvr fr c q’l vt vc ls fmms. pps l frmtr d Gntánm, Mk Pmp vt dclr, près vr vst l prsn n 2013, q crtns dtns n grèv d l fm smblnt vr prs d pds. l vt ss t ccs d’slmphb pr ds rmrqs près l’ttntt d mrthn d Bstn n 2013, dsgnnt ls chfs rlgx mslmns cmm ptntllmnt cmplcs. «Qnd ls ttqs trrrsts ls pls dvsttrcs crs ds vngt drnèrs nns n mrq vnnnt n mjrt d prsnns d’n mêm f, t snt fts nm d ctt f, n blgtn prtclèr ncmb cx q snt ls ldrs d ctt f», vt-l dclr. Nominations, promesses et menaces, Trump souffle le chaud et le froid. PARTAGER Nominations, promesses et menaces, Trump souffle le chaud et le froid Parallèlement à ces nominations, le milliardaire s’efforce de concrétiser sa promesse de rapatrier des milliers d’emplois partis dans des pays où la main d’oeuvre est bon marché.
Il a ainsi évoqué mercredi une discussion avec Apple pour construire une « très grande usine » aux Etats-Unis. Depuis des mois, Donald Trump s’en prend régulièrement à la Chine, l’accusant notamment de concurrence déloyale dans le domaine commercial. Il a aussi rompu la semaine dernière avec 40 ans de tradition diplomatique en parlant au téléphone avec la présidente de Taïwan. Les Etats-Unis, pour ne pas froisser Pékin, n’entretiennent aucune relation diplomatique avec l’île. La diplomatie chinoise a salué M. Soutien de Trump de la première heure, Terry Brandstad connaît effectivement le président chinois Xi Jinping depuis des années: les deux hommes se sont rencontrés lors d’un précédent mandat de M. . – Investir aux Etats-Unis – Les nominations de Trump soulèvent des inquiétudes. La nomination par Donald Trump d’un homme à la réputation controversée à un poste-clé doit-elle nous inspirer les pires craintes?
«Stephen Bannon a vu la lumière et a adopté toutes les thèses de la droite. On l’accuse d’être un antisémite: sa femme a écrit dans leurs procédures de divorce que l’une des choses qu’elle lui reprochait était d’avoir empêché un de leurs enfants d’aller dans une école privée parce qu’il y avait trop de juifs. Bref, c’est un gars très controversé qui donne des sueurs dans le dos à bien des membres des partis républicain et démocrate», explique Luc Lavoie, à l'émission «La Joute». Donald Trump a donné une indication quant à la direction qu’il entend donner à sa nouvelle administration en procédant, cette fin de semaine, à deux importantes nominations. D’abord, il a nommé le secrétaire de la Maison-Blanche, c’est-à-dire son chef de cabinet, Reince Priebus, puis il a fait de Stephen Bannon son haut conseiller et chef de la stratégie.
M. Trump prouve son hostilité à la neutralité du net avec deux nominations controversées - Politique. Donald Trump avait critiqué la neutralité du net en 2014.
En 2016, deux nominations dans son équipe de transition révèlent davantage son hostilité à ce principe. La neutralité du net aux États-Unis n’a qu’à bien se tenir : Donald Trump va lui mener la vie dure au cours des quatre prochaines années que durera son mandat. En effet, il a été découvert que le président-élu a fait appel à deux personnalités farouchement hostiles à ce principe dans son équipe chargée d’assurer la transition du pouvoir avec l’administration Obama. Il s’agit de Jeff Eisenach et de Mark Jamison. Le premier est un économiste qui a travaillé un temps avec la commission fédérale des communications (FCC) mais aussi auprès de l’opérateur américain Verizon — dont l’opposition à la neutralité du net est connue — en tant que consultant.