background preloader

Shea2rch

Facebook Twitter

Ecologie, Economie, Entrepreunariat, Politique. Ecologie, Economie, Entrepreunariat, Politique.

Internet, informatique et numérique

Culture. Brico de Récup' Manipulations - L'expérience Web – Accueil. TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision. Les monnaies sociales et complémentaires, solution à la crise ? Pendant la crise, beaucoup (re)découvrent l’entraide entre voisins et la vie de quartier.

Les monnaies sociales et complémentaires, solution à la crise ?

D’autres vont plus loin en créant des monnaies locales ou des clubs de troc. Pour soutenir ces initiatives, l’association TAOA (There Are Other Alternatives) a vu le jour il y a 2 ans. Le but : aider au développement de ces nouvelles monnaies, mais aussi peser dans le système économique moderne. Pour en savoir plus, nous avons rencontré Matthieu Vachez, cofondateur de l’association. Peut-on vivre sans argent ? Je ne pense pas que la question se pose comme ça. Quelles sont les autres options ? Quels sont les avantages de ces systèmes, selon vous ?

Ils sont multiples. Les monnaies locales sont pourtant très liées à l’euro et au système classique… Oui, sauf qu’on ne peut pas les épargner ou spéculer dessus. En page suivante, la suite de l’interview. Page 1 page 2 Article(s) sur le même sujet. De A à Z, on se paye la tête du payant. A comme Autoréduction Robin des bois est andalou.

De A à Z, on se paye la tête du payant

Le 7 août dernier, près de Séville, en Espagne, des militants remplissent une vingtaine de chariots d’aliments de base, partent sans payer, et redistribuent leurs « courses » à des indigents. « Ce n’est pas un vol », justifie alors leur leader, Juan Manuel Sánchez Gordillo, maire de Marinaleda et membre du Syndicat andalou des travailleurs. « Un vol, c’est ce que font les banques qui achètent de la dette à la Banque centrale européenne à 0,7 % et la vendent à l’Espagne à 7 %, déclare-t-il au Monde, le 29 août. Ce que nous avons fait est un acte d’insoumission pour dénoncer le fait qu’il existe des familles qui ne peuvent pas se payer de quoi manger. » Ces mouvements d’« autoréduction » se multiplient dans l’Europe en crise, comme à Rennes (Ille-et-Vilaine), aux Galeries Lafayette, en 2008. B comme Biens communs « La tragédie des communs », ce n’est pas une pièce de Shakespeare, mais un article signé Garrett Hardin, en 1968.

D comme Data. Vive la gratuité !, par Jean-Louis Sagot-Duvauroux. Journaux « gratuits », « 20 % de produit gratuit en plus »...

Vive la gratuité !, par Jean-Louis Sagot-Duvauroux

On a le sentiment que le mot « gratuit » est partout et la réalité nulle part. Profanée par le marketing qui l’enrôle pour stimuler la demande, la gratuité a, en réalité, quasiment disparu de l’offre politique. Elle subsiste dans quelques appellations institutionnelles, comme « école gratuite », expression consacrée par un siècle de liturgie républicaine et qu’on n’ose rectifier en « école coûteuse ». Mais, quand le débat n’est pas inhibé par l’indulgence et le respect qu’inspirent les vieilles dames, la plupart des responsables de la chose publique réprouvent le terme gratuité. Déresponsabilisant. Le boniment publicitaire fait ses choux gras du gratuit ; pris dans la grosse déprime du politique, les représentants du bien commun, qui autrefois s’enorgueillissaient de proposer des services publics fièrement déclarés gratuits, n’en veulent plus. Taille de l’article complet : 1 556 mots. Vous êtes abonné(e) ? Ce que ça fait d'être riche - Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, article Sociologie.

La richesse offre la possibilité de libérer son temps et son esprit de toute une série de problèmes matériels qui empoisonnent la vie de la plupart des gens.

Ce que ça fait d'être riche - Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, article Sociologie

Mais la richesse, ce n’est pas qu’un niveau de revenu, c’est aussi une façon d’être, une assurance, une aisance, une façon de parler, de se tenir en société, qui marque l’incorporation physique des privilèges. Au début de La Raison du plus faible, un film de Lucas Belvaux, la motocyclette de Carole, une jeune ouvrière, tombe en panne : elle s’avère irréparable. La remplacer est financièrement impossible. Prendre le bus pour aller au travail, c’est une heure de transport en plus. Dans une situation de crise sociale, cet incident banal conduit au drame en enclenchant un engrenage funeste. Sociologues, directeurs de recherche au CNRS (équipe Cultures et sociétés urbaines), auteurs de nombreux ouvrages sur les familles fortunées, dont Châteaux et châtelains.Les siècles passent, le symbole demeure, éd.

2008-demo-part-03.jpg (Image JPEG, 2566x1750 pixels) - Redimensionnée (51%)