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Parcours de santé (/du combattant)

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HD Reportage, De la Drogue dans nos Assiètes, Comprendre l'addiction alimentaire. OGM: de faux témoins utilisés pour tester la toxicité de produits | Corinne Lepage. SANTÉ - La publication par l'équipe du Professeur Séralini dans la revue Plos One, après quelques tergiversations, d'un article remettant en cause la manière dont sont menées les études sur les rats pour évaluer la toxicité des produits, qu'il s'agisse de pesticides, de produits chimiques ou des médicaments, est un véritable coup de tonnerre dans le monde bien rodé des protocoles mis au point par l'industrie chimique et acceptés par les différents organes d'expertise dans le monde.

De quoi s'agit-il? De la preuve que les populations témoins utilisées pour tester la toxicité de produits sont en réalité de faux témoins. Pourquoi? Tout simplement parce que ces rats de laboratoires sont eux-mêmes nourris avec des croquettes contenant des cocktails de pesticides et de produits chimiques, tels qu'ils sont présents dans la nourriture de base depuis les débuts de l'agriculture intensive. Ainsi deux problèmes sont soulevés: Cette découverte est lourde de conséquences. Close Shutterstock. Les serviettes hygiéniques lèvent le voile. La moitié de l’humanité se coltine chaque mois une semaine plus désagréable que les autres. Oui messieurs, madame est irritable, mais madame a de quoi. Les règles, ça énerve. Et la serviette hygiénique, c’est cauchemardesque. Il suffit de se hasarder sur les blogs féminins pour s’en convaincre. Pâte à papier Mais, au-delà des composants, « c’est le principe même de la serviette qui pose problème, car elle crée une nonoxygénation », tranche la docteure Sylvie Pennec.

Chez Plim, dans les Deux-Sèvres, Capucine Mercier a lancé, il y a cinq ans, la serviette lavable. Pour éviter que les femmes ne se dézinguent l’entrejambe – et ne se retournent l’estomac –, les « Plimettes » misent sur les solutions naturelles. 4,8 milliards de serviettes par an Pour les réticentes au lavage, certaines marques, comme Natracare, commercialisent des serviettes jetables en cellulose végétale, garanties sans paraben, sans chlore et sans parfum. Mooncup, la solution à la coupe ? Grande distribution, grande arnaque. Des poursuites judiciaires ont été engagées lundi 2 février 2015 contre les quatre plus grands distributeurs de compléments nutritionnels aux Etats-Unis : Walmart, Walgreen, Target, qui sont des chaînes de supermarchés, et GNC, une chaîne spécialisée dans la distribution de produits nutritionnels.

Ces quatre chaînes sont accusées de fraude et de tromperie des consommateurs. En effet, les autorités ont testé leurs compléments nutritionnels les plus vendus. Elles se sont aperçues que 4 produits sur 5 ne contenaient pas la moindre trace des plantes médicinales ou nutriments indiqués sur leur étiquette [1]. Dans la plupart des cas, pilules et gélules ne contenaient que de la poudre de riz et de légumes (carotte, petits pois, etc.) De plus, certains produits prétendaient ne contenir ni blé ni gluten, alors qu’elles contenaient du blé et du gluten. Pire, certaines contenaient des toxines pouvant causer des problèmes de foie et de rein graves, et potentiellement fatals. L’ampleur de l’arnaque. L’industrie pharmaceutique a offert aux médecins 244 millions d’euros de cadeaux. 244 millions d’euros : c’est ce qu’ont dépensé les laboratoires pharmaceutiques en cadeaux, voyages, repas et nuits d’hôtels pour les professionnels de santé français – médecins en tête – entre janvier 2012 et juin 2014.

Ces liens troublants entre fabricants de médicaments et prescripteurs ont été révélés par l’association Regards citoyens, qui a collecté pendant près de deux ans les données publiées sur les sites des Ordres de médecins et sur celui du ministère de la Santé. Mis en place suite au scandale du Médiator, sur une proposition du ministre de la santé de l’époque Xavier Bertrand (UMP), le site du ministère répertorie l’ensemble des cadeaux et contrats accordés à des praticiens de santé (médecins, dentistes, infirmiers, sages-femmes, pharmaciens, étudiants) par les laboratoires pharmaceutiques. On peut ainsi, en rentrant le nom de son médecin, connaître les avantages qu’il a perçus.