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Journalisme

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Mon Figaro : Comment Édith Bouvier a survécu à l'enfer de Homs. Édith Bouvier et William Daniels, les deux derniers journalistes piégés neuf jours durant à Homs, dans le quartier de Baba Amr, ont enfin pu rejoindre la France vendredi. Retour sur une folle équipée. Dans leur chambre de l'Hôtel-Dieu, le grand hôpital de Beyrouth, Édith Bouvier et William Daniels sont souriants, soulagés.

Après plus de cinq jours d'une équipée semée d'embûches et de dangers, les deux journalistes sont arrivés jeudi soir à Beyrouth, quelques heures après avoir franchi la frontière libanaise. En attendant leur évacuation vers la France, ils racontent leur périple. Édith, malgré sa blessure, montre un moral à toute épreuve. Entrés clandestinement en Syrie grâce aux réseaux de l'Armée syrienne libre, insurgée contre la dictature de Bachar el-Assad, Édith et William étaient arrivés le 21 février au soir à Baba Amr, le quartier de Homs encerclé par l'armée syrienne.

Un groupe de reporters chevronnés Dans un hôpital de fortune Le quartier de Baba Amr est assiégé. L'agression sexuelle contre les journalistes: le crime qui musèle. Publié le 7 juin 2011 NEW YORK Neuf années se sont écoulées avant que la journaliste colombienne Jineth Bedoya n'ait parlé publiquement du viol brutal qu'elle a enduré pendant qu'elle faisait des reportages sur les paramilitaires d'extrême droite en mai 2000 en Colombie.

En mission pour le quotidien El Espectador de Bogota, Mme Bedoya a été enlevée, ligotée, ses yeux bandés et emmenée dans une maison de la ville de Villavicencio au centre du pays, où elle a été sauvagement battue et violée par plusieurs assaillants. Depuis qu'elle a rompu le silence, Mme Bedoya a dit qu'elle a rencontré un certain nombre de journalistes--de la Colombie aux États-Unis ainsi qu'en Europe-- qui avaient été violés ou agressés sexuellement, mais qui ont choisi de ne pas le révéler en raison des tabous culturels et professionnels. Cependant, elle a souligné qu'en rendant son propre cas plus visible, elle espère encourager les journalistes à « dénoncer ce qui leur est arrivé et pouvoir ainsi demander justice ». Affaire DSK : le procès des journalistes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Benoît Vitkine (@benvtk) Chers internautes, pardonnez-lui d'avance mais cette semaine le web-médiateur va sortir de son rôle.

Habituellement, et comme son nom le laisse supposer, il est un intermédiaire entre un site d'information – en l'occurence Le Monde.fr – et son audience : il écoute les remarques, les critiques, répond, précise, explicite... Mais à semaine "bouleversante", selon le mot de Ségolène Royal, chronique bouleversée. Cette semaine, le web-médiateur endosse donc la robe et se fait avocat. Le "lynchage" d'un homme à terre : NON COUPABLE Extraits de nos pages Facebook, ces commentaires reflètent l'opinion de centaines d'internautes, exprimée avec plus ou moins d'indulgence.

Dès le dimanche matin et pendant toute cette semaine, nous avons massivement traité l'affaire DSK. Ce traitement massif est peu commun, c'est évident, et il peut être déroutant. Cela s'appelle-t-il lyncher un homme ? Pourquoi, dès lors, les publier ? Les billets les plus lus - Ceux qui ruinent le journalisme. Article initialement publié le 8 mai 2011 Le titre et la Une étaient accrocheurs. Placardée un peu partout dans le métro parisien en cette fin du mois d'avril, cela m'avait d'ailleurs attiré l'oeil à plusieurs reprises. Le titre d'abord, mais surtout son association avec le surtitre : Diantre, on allait enfin tout savoir sur ces profiteursqui nous saignent, nous les honnêtes contribuables qui désespérons de voir nos efforts quotidiens pour sortir la France du marasme réduits à néant par des hordes de profiteurs, tricheurs et autres planqués jusqu'ici masqués.

Bien sûr, en la regardant de plus près cette Une, une légère pointe d'inquiétude naissait en moi. Alors ? Des ports en cale sèche... comme les faits qui étayent le papier ? On ne le saura pas. Mais les dockers marseillais ne sont pas les seuls à être logés cette enseigne. Là non plus, hélas, on n'en saura pas plus. Des "parts de marché [...] supérieures à ce qu'ont concédé les opérateurs historiques dans les pays ". French newspapers: Too close to power. Jeunes journalistes: qu’est-ce qu’on attend pour ne plus suivre les règles du jeu ? » Article » OWNI, Digital Journalism. Jeune journaliste web, Morgane Tual pousse un double coup de gueule contre ses confrères. Anciens ou petits nouveaux, secouez-vous ! [Préambule de Jean-Christophe Féraud, sur le blog duquel ce billet a été publié.] Cela faisait un moment que j’avais envie de savoir comment les jeunes journalistes web-natives vivaient leur entrée dans une profession qui, dans les faits, n’a plus rien d’un rêve de gosse rose bonbon : précarité institutionnalisée en forme de stages et CDD à répétition, productivisme Shiva en guise de vadémécum, règne des petits chefs sur des rédactions web organisées pour le flux et rien que pour le flux, arrogance aveugle des “newsosaures” de l’ère imprimée face à la grande mutation numérique de l’information… La condition faite à cette génération surdiplômée et bien mieux formée que nous ne l’étions est indigne.

Et la crise de la presse n’explique pas tout. Envie d’écrire, mais manque d’inspiration. Twitter sert à tout, même à trouver de quoi bloguer. Les vieux cons. À propos d'une couverture de Politis : questions sur la photographie. Des photos pour « changer de société » ? Le hors-série n° 53 de Politis, daté octobre-novembre 2010 et titré « Changer de société », se présente ainsi. Le numéro présente donc, en couverture, une photographie d’un jeune homme, métis et souriant. Il porte des dreadlocks, une chemise blanche et un gilet de laine bleu lumineux. Il est assis dans la nature, un jardin, derrière un bureau laminé noir imitation bois sur lequel est posé une lampe rouge dont il est vraisemblable que, comme le bureau, elle soit 100 % « made in China ».

Il regarde au loin, souriant, méditatif, peut-être lui aussi porté par l’un des sous-titres de ce hors-série vers le « besoin collectif », à moins qu’il ne s’agisse de désir pour « les vraies richesses ». En page 4 (une page dont un chapeau indique : « Mode de vie »), la photographie vient, elle, de l’agence Alto. En page 5, une image d’horloges floues est créditée AFP. . … Ou des photos pour illustrer la société existante ?

La logique des « fournisseurs d’image » Ce que Sarkozy ne comprend pas avec les journalistes | Rue89. Nicolas Sarkozy face à une charrette de journalistes en Camargue, pendant la campagne 2007 (Piotr Snuss/Reuters) Indépendamment des arguties et des faux-semblants du « off », vieille embrouille du journalisme politique, le comportement de Nicolas Sarkozy lors de sa rencontre avec des journalistes, à l’occasion du sommet de l’Otan, à Lisbonne, le 19 novembre, est un nouvel exemple d’une incompréhension persistante de sa part. Le président s’obstine à rechercher, avec la presse, un genre de rapports qu’il eut avec elle dans le passé, mais qui est devenu obsolète lors de son entrée à l’Elysée en 2007.

Longtemps, Nicolas Sarkozy fut un jeune homme politique brillant et audacieux, se frayant un chemin dans un monde dominé par ses aînés. Puis il devint, en 2002, un des ministres les plus importants en même temps qu’un challenger de Jacques Chirac. Le ministre avait des intérêts communs avec les journalistes Il sut faire prospérer ces atouts et devint un interlocuteur et un sujet recherchés. La place de l'information internationale diminue dans la presse. Ca se passe en Grande-Bretagne mais on constate la même évolution en France : la couverture internationale diminue dramatiquement dans la presse, un paradoxe alors que le monde s’est globalisé comme jamais auparavant. C’est un rapport d’un centre de recherche britannique, Media Standards Trust, qui le montre avec des chiffres : au cours des 30 dernières années, la place de l’international dans les quatre principaux titres nationaux de la presse britannique a diminué de 40%.

Et la chute est même de 80% si l’on ne prend en considération que les dix premières pages des quotidiens, c’est-à-dire les sections d’actualité, et pas magazine. Les titres étudiés -Guardian, Daily Telegraph, Daily Mirror et Daily Mail- reflètent une diversité de genre -presse dite de qualité et tabloids- et d’orientations assez représentatifs de la diversité des médias britanniques. Même tendance en France. Press Club. Ce prix récompense depuis 2002, l’auteur de la phrase la plus hilarante de l’année, qu’il s’agisse indistinctement d’humour volontaire ou involontaire. 1ere SELECTION DU PRIX 2013 : Bernadette CHIRAC, Gaëtan GORCE, Gérard LONGUET, Jean-Luc ROMERO, Marisol TOURAINE – En savoir plus 2ème SELECTION DU PRIX 2013 : Stéphane RAVIER, Nicolas SARKOZY, Marisol TOURAINE, Jean-Jacques URVOAS, Christiane TAUBIRA – En savoir plus 3ème SELECTION DU PRIX 2013 – En savoir plus Lauréats du Prix 2013 : Gérard LONGUET, Jean-François COPE, Marisol TOURAINE, Jean-Jacques URVOAS, Jean-Luc ROMERO - En savoir plus LAURÉATS DU PRIX 2012 : François GOULARD, Ségolène ROYAL, Pierre CHARON, Thierry MARIANI, Thierry MANDON et Jean-Pierre RAFFARIN - En savoir plus LAURÉATS DU PRIX 2011 : Laurent FABIUS, Daniel FIDELIN, Jean-Louis BORLOO, Frédéric LEFEBVRE, François LONCLE – En savoir plus LAURÉATS DU PRIX 2010 : Éva JOLY, Georges FRECHE, Frédéric MITTERRAND, Lionnel LUCA et Claude GOASGUEN – En savoir plus.