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Psychanalyse

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Donald Winnicott. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Son œuvre est devenue populaire parmi les spécialistes, psychiatres psychologues, pédiatres et éducateurs, mais certains de ses concepts ont également atteint le grand public. Ses thèses se révèlent exigeantes, et ses notions d'« aire », d'« espace » et d'objet transitionnel ont souvent donné lieu à des simplifications. Aujourd'hui Winnicott est souvent cité. On lui reproche aussi d'avoir réduit la femme à son rôle de mère (« suffisamment bonne »[1]) en y négligeant celui de la femme-« amante »[2] . On lui doit la prise en compte de l'importance du facteur de l'environnement, et par conséquent de la personnalité réelle de la mère, parfois dépressive ou imprévisible, dans la pathologie de l'enfant puis de l'adulte. Les perturbations psychiques induites par le faux-self demandent à être traitées dans des consultations thérapeutiques, car ces patients ont moins besoin de guérir de leur symptômes que de pouvoir se sentir exister vraiment.

D. D. Google et les psys. Par Brigitte Axelrad - SPS n° 291, juillet 2010 Un article de Victor Delatour, paru dans Le Cercle Psy du 2 mai 2010, intitulé « Quand des psys googlisent sur leurs patients… », nous informe d’une nouvelle pratique des psychiatres états-uniens consistant à chercher sur Google des informations sur leurs clients, telles que connaître leurs réseaux d’amis, leurs goûts, leur mode de vie, etc.

Google et les psys

Cette activité s’appelle communément le googling. D’après un article paru le 3 avril 2010, dans la Harvard Review of Psychiatry1, des psychiatres états-uniens peuvent en effet maintenant chercher des informations sur leurs patients en passant par Google. Lorsqu’ils estiment que leurs patients ne leur ont pas donné suffisamment de renseignements sur eux-mêmes, ils visitent les blogs, ou les réseaux Facebook, Myspace, Twitter et glanent tous les compléments d’information qu’ils jugent utiles. Le Washington Post rapporte des exemples de ce nouvel usage d’Internet. Qui a peur de Michel Onfray ?, par Serge Tisseron. Une exégèse du corps freudien - Idées. Michel ONFRAY et la psychanalyse. Les arguments des détracteurs du « Livre noir de la psychanalyse » Par Jean-Paul Krivine - SPS n° 271, mars 2006 En septembre 2005 était publié aux éditions les Arènes le Livre noir de la psychanalyse (voir SPS n° 269).

Les arguments des détracteurs du « Livre noir de la psychanalyse »

Les réactions seront très virulentes et passionnelles : « Catalogue de détestation antifreudienne », « Une nouvelle chasse aux sorcières », « Nos vies valent plus que leurs profits »... La passion, les anathèmes, les procès d’intention, voire les invectives, n’invalident cependant pas nécessairement l’ensemble du propos. Et les arguments, quand ils existent, méritent qu’on les considère. C’est ce que nous avons voulu faire ici. Une bataille pour des parts de marché ? Bon nombre de critiques ont voulu voir dans la controverse une bataille pour des « parts de marché » de la santé mentale. « Autant dire que l’enjeu du livre est ailleurs, dans la bataille qui oppose les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) à la psychanalyse, et qui a éclaté en plein jour il y a deux ans.

Guérisons imaginaires et données trafiquées Excommunication ?