background preloader

Mediapart

Facebook Twitter

Telerama

Corcuff. Plenel. Edwy Plenel dénonce l'espionnage dont Mediapart est victime (interview ... Fabrice Lhomme, de Mediapart : "Claire Thibout est en panique" Fabrice Lhomme, le journaliste de Mediapart qui a recueilli les propos de Claire Thibout, explique à Rue89 qu’il maintient « l’intégralité de l’article » où elle racontait la remise d’enveloppes d’argent liquide à Nicolas Sarkozy. Il revient sur les conditions de ses échanges avec l’ancienne comptable de Liliane Bettencourt et commente ses rétractations : « Face à la pression, Claire Thibout est en panique, ce qui est totalement compréhensible », estime-t-il.

D’après Le Monde, qui la décrit aussi comme « paniquée », l’ancienne comptable avait trouvé refuge auprès de sa famille, dans le sud de la France, où les policiers l’ont finalement retrouvée mercredi. Dans quelles circonstances avez-vous interviewé Claire Thibout ? Je l’ai d’abord rencontrée en face-à-face, en présence d’un témoin, pour préparer l’entretien à venir. Je l’ai alors interviewée par téléphone, en présence d’un autre témoin, en mettant le haut-parleur. Avez-vous enregistré ses propos ? Qui sont vos témoins ? Le blog de Pierre Cornu. Un point de vue américain sur l'affaire Woerth-Bettencourt. Imagine that an important U.S. cabinet member is also the treasurer and chief fund raiser for the Republican Party. Now imagine that this same pubic servant has a wife who is a financial advisor for a firm that manages the fortune of the wealthiest woman in America.

Now imagine that this wealthy woman's butler secretly records telephone conservations between her and her financial advisers indicating that they are involved in massive tax evasion, and that she is discovered to have $100 million stashed away in tax-sheltered Swiss banks accounts. Finally, imagine that this same cabinet member is the key player in pushing through a controversial pension reform that will require his countrymen to tighten their belts and work two years longer before they can retire. How long after these revelations would an American President allow this cabinet member to keep his job? My guess: 24 hours. Here are the facts in the French case: Mediapart. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mediapart (à prononcer « à l'anglaise ») est un site web d'information et d'opinion créé en 2008 par François Bonnet, Gérard Desportes, Laurent Mauduit et Edwy Plenel[1]. Un abonnement payant est nécessaire pour lire les articles du site. L'équilibre financier aurait été atteint à l'automne 2010[2]. Mediapart héberge à la fois les articles rédigés par ses équipes propres (« le journal ») et ceux de ses utilisateurs (« le club »). Le site a joué un rôle clé dans la révélation de l'affaire Woerth-Bettencourt en 2010[3] et de l'affaire Cahuzac en 2012-2013[4]. Soutiens au projet de Mediapart en 2007[modifier | modifier le code] Mediapart a reçu pendant sa campagne d’abonnements initiale de nombreux soutiens[5] qui se sont manifestés par une série de vidéos publiées sur le pré-site. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Le nom « Mediapart »[modifier | modifier le code] Projet économique et éditorial[modifier | modifier le code] Bettencourt-Woerth : les éditeurs en ligne ne sont pas "irresponsables"

C’est un vrai ras-le-bol : les éditeurs de services en ligne, rassemblés depuis 1987 au sein du Geste, ont publié jeudi un communiqué dans lequel ils s’indignent des attaques portées contre eux, et plus généralement contre Internet, par « de nombreuses personnalités politiques ». Rue89 (qui fait partie du Geste) le notait mercredi dans un article sur Mediapart (qui n’est pas membre du Geste). Nous publions l’intégralité du communiqué du Geste, qui regroupe 123 membres aussi divers que Radio France, Paypal, PMU, Le Figaro... Depuis quelques jours, les éditeurs de presse en ligne, et Internet d’une manière générale, font, dans le cadre de l’affaire Woerth-Bettencourt, l’objet de violentes attaques de la part de nombreuses personnalités politiques.

Ces agressions tendent à décrédibiliser notre profession en nous faisant passer pour des irresponsables, colporteurs de ragots, bien loin de la réalité d’une profession organisée et parfaitement responsable.