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Marianne

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Maurice Szafran. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Maurice Szafran

Pour les articles homonymes, voir Szafran. Biographie[modifier | modifier le code] Journaliste, il a débuté en 1977 au service des sports (dirigé alors par Jacques Marchand) du Matin de Paris avant de passer à la section culture de l'hebdomadaire Le Point, puis directeur de L'Événement du Jeudi dirigé par Jean-François Kahn; il fonde avec ce dernier Marianne dont il prend la direction de la rédaction.

Après la démission de Jean-François Kahn du poste de président du conseil d’administration, il est élu à l’unanimité le à la tête de l'hebdomadaire[2]. En février 2010, il condamne l'attitude du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et de son président Richard Prasquier lors du procès du gang des barbares[3]. Bibliographie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de la presse écrite. Justice au singulier. Je ne me lasse pas du plaisir de ces interminables petits déjeuners de vacances où on refait le monde et où la politique devient presque inéluctablement le sujet principal, comme si la quotidienneté oisive avait décidé de s'accorder à mes intérêts limités.

Justice au singulier

En même temps, durant cette période, comme l'actualité brute et factuelle est moins chargée, le citoyen passionné peut se nourrir de la substance d'entretiens ou de contributions d'un plus haut niveau que celui qu'en général les médias nous offrent. Ainsi Nicolas Sarkozy, Alain Juppé ou Emmanuel Macron apparaissent-ils non pas sous un jour nouveau mais comme des personnalités soucieuses d'enrichir notre connaissance d'elles ou d'amplifier nos interrogations. L'ancien président, candidat explicite à la primaire LR dans quelques jours, vise à être une réponse. Il n'y a pas de sujet sur lequel il ne tranche pas. Fi des nuances et des tiédeurs ! Les Français ne veulent plus revoir le combat de 2012. La grâce de ne plus être ministre. En lisant Le Monde, il y a parfois d'excellentes surprises.

La grâce de ne plus être ministre

L'entretien de Patrick Devedjian, président UMP du conseil général des Hauts-de-Seine avec Arnaud Leparmentier et Vanessa Schneider, en est une. "La situation exige un grand projet de société, je ne le vois nulle part" ou "Sarkozy a gagné en 2007 sur le message du petit français au sang mêlé. Croire qu'on peut gagner en 2012 sur la thématique inverse est illusoire" : deux des réponses et des analyses qu'il a proposées. Qu'on apprécie ou non leur pertinence, elles sont honorables sur le plan intellectuel, décentes dans leur formulation et ne tombent pas dans la politique de caniveau. Il me semble que l'ensemble de ce qu'affirme Patrick Devedjian peut être sinon approuvé du moins accepté par une droite intelligente et accueilli avec intérêt par une gauche non étrangère à l'écoute et au dialogue républicain.

La grâce de ne plus être ministre. Jacques Julliard. Retraite : le pourquoi de l'impasse. Woerth : Bettencourt, Dray, deux poids, deux mesures ? Les responsables d’administration et les élus ont toujours deux attitudes possibles vis-à-vis de la masse des dossiers qui sont traités par leurs services.

Woerth : Bettencourt, Dray, deux poids, deux mesures ?

La première attitude, que l’on qualifiera d’interventionniste, consiste à se mêler de tout, ou à prétendre qu’on se mêle de tout, et à clamer que « pas un dossier » n’échappe à sa vigilance ou à celle de ses proches collaborateurs. C’est une posture valorisée quand tout va bien, et qui donne aux électeurs et aux administrés le sentiment d’un responsable actif, compétent, et capable d’accélérer les supposées lourdeurs propres à toute grosse machine – collectivité territoriale, ministère. C’est notamment le profil soigneusement construit et mis en scène par Nicolas Sarkozy dès le début de son mandat élyséen : un président qui monte personnellement au front (sur tous les fronts), qui a son mot à dire sur chaque projet, et qui ne s’en laisse pas compter par l’appareil d’État et les « blocages bureaucratiques ». Du même auteur. L'univers de Marianne. Marianne (magazine) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Marianne (magazine)

Marianne est un magazine d'information hebdomadaire français créé par Jean-François Kahn et Maurice Szafran en 1997. Il est refondu et rebaptisé Le Nouveau Marianne à partir du [2]. Marianne se définit comme un journal républicain, qui combat à la fois ce qu'il nomme le gauchisme soixante-huitard, ainsi que la mondialisation néolibérale[4]. Il soutient la liberté d'entreprendre et le marché mais rejette le dogmatisme économique qu'il attache au monétarisme et au néolibéralisme. Il soutient en revanche un libéralisme régulé[réf. nécessaire], des monopoles d’État dans des secteurs clés où il pense que le service public doit primer.

Lors de la campagne pour le référendum sur le projet de constitution européenne de 2005, Marianne se targue d'être le seul grand média national à ne pas faire exclusivement campagne pour le oui, mais à organiser un débat réellement contradictoire.