Jolicloud. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
À l'origine, Jolicloud était un système d'exploitation basé sur Linux et plus précisément sur les distributions Ubuntu et Debian. Jolicloud était alors destiné aux netbooks, ordinateurs à bas prix ayant des capacités limitées, et axé sur le Web 2.0 et le cloud computing (informatique en nuage). Cette distribution est actuellement en phase de développement et en version stable. Cet environnement est gratuit mais non libre (aucune source n'est mise à disposition) Aujourd'hui, Jolicloud est multiplate-forme et désigne toute une famille d'applications dans les nuages.
La version système d'exploitation[2] de l'interface Jolicloud est à présent appelée Joli OS et s'adresse à tous les ordinateurs[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Le projet est né durant l'été 2008 par une idée de Tariq Krim qui voulait créer un ordinateur portable « naturel » alliant les technologies vertes et un commerce équitable[4]. Fondateurs[modifier | modifier le code] Testing Services: Service Virtualization - Completing the Cloud Story. Organizations that have applications in production are required to have atleast 4-5 different sets of pre-production environments like System Testing, Performance Testing, User Acceptance Testing, Automated Regression Testing environments, to ensure 100% validation of the different set of requirements associated with an application.
This in all probability increases the CAPEX budget for the organization. Organizations typically consolidate, virtualize and share these infrastructures for validating applications across different Lines of Business (LoBs). But this exercise is also bound to have significant OPEX associated with it due to the costs incurred in terms of having dedicated teams/personnel to manage the environments, rental costs and infrastructure costs.
Also, even in these setups testing teams are constrained with situations like waiting for access to expensive test tool licenses/legacy systems, external/dependent systems, etc. IaaS : L'Open Source, avenir du cloud computing? Software AG: les enjeux du SOA face au ‘cloud computing’… Coup d'oeil sur le récent 'cadran magique' du cabinet Gartner autour des acteurs clés du SOA, dont Software AG.
Comment l'élargir au 'cloud'? Chez les grands éditeurs de logiciels, l’approche SOA (architecture orientée services) n’a rien perdu de sa légitimité, face à la forte médiatisation et au matracage marketing du ‘cloud computing’ qui tend à lui faire de l’ombre ces derniers mois… En concordance avec les analyses du Gartner, ces mêmes éditeurs s’accordent à dire que l’approche SOA conserve sa raison d’être - comme le confirme notre entretien récent avec Massimo Pezzini, vice-président du Gartner et Fabrice Hugues, directeur avant-vente de Software AG.
“Certes, le ‘cloud computing’ est une tendance clé mais qui n’occulte pas les fondamentaux existants, comme le concept de SOA. Car, nous ne croyons pas que le SOA soit associé à certaines technologies plutôt qu’à d’autres. SOA, ce sont plutôt des méthologies, des ‘best pratices”, souligne Massimo Pezzini. L’intégration avec SAP.
Global Managed Network, Security, Cloud Actu - Toute l'actualité du Cloud Computing. Pourquoi ce buzz sur la sécurité du cloud computing ? - [Fr] Orange Business Sécurité. Cloud Magazine. Capex vs. Opex: Most People Miss the Point About Cloud Economics CIO. CIO — You don't have to spend much time around cloud computing before you run into arguments regarding cloud economics and you will undoubtedly encounter the phrase "Capex vs.
Opex. " This refers to the fact that stocking your own data center requires capital expenditure, while using an external cloud service that offers pay-as-you-go service falls into ongoing operating expenditures: thus the contrast of "Capex vs. Opex. " The next go-round of the argument then devolves into a tussle about which alternative is cheaper. There have been many discussions comparing the cost of a 7X24 use of an Amazon EC2 instance against the cost of hosting a server within a company's data center. Free Cloud Alliance : un coup de projecteur sur un cloud 100 % libre. Mais pourquoi donc pousser les entreprises vers des éditeurs comme Salesforce, alors qu’en Europe, il existe des PME innovantes, spécialisées dans le Cloud, qui font aussi bien et, qui plus, en Open Source ?
C’est un des messages qu’adresse la Free Cloud Alliance, dont le lancement est officiel depuis hier lundi 29 mars. A la clé, un référentiel de briques technologiques, toutes entièrement libres, qui vise à offre une alternative Open Source dans le marché naissant des cloud privés. Un référentiel à partir duquel bâtir des solutions de Iaas (Infrastructure as a service), Paas (Platform as as a service) et autre Saas (Software as a service). Regroupée autour de 4 éditeurs français, Ielo, Mandriva, Nexedi et TioLive, la Free Cloud Alliance donne un coup de projecteur sur NiftyName Virtual Datacenter (NVD), Block Storage Server (BS2), Xtreem Storage Server (XS2), Neo Storage Server (NS2), SLAP Cloud Engine (SCE) et TioLive OEM Platform (TOP).
En complément : Peut-on faire confiance au cloud computing ? - Journal du Net Solutions.