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Actualités : Espagne: deux mois plus tard, les "indignés" de retour à la Puerta del Sol. Deux mois après leurs premières manifestations, les "indignés" reprennent possession pour deux jours de la place de la Puerta del Sol à Madrid, point de départ symbolique du mouvement où convergeaient samedi six caravanes venues de toute l'Espagne Depuis un mois, de petits groupes équipés de sacs de couchage et matériel de camping ont parcouru des centaines de kilomètres depuis Barcelone, Malaga, Valence, Bilbao, la Galice ou l'Estrémadure, organisant des assemblées populaires dans chaque village.

actualités : Espagne: deux mois plus tard, les "indignés" de retour à la Puerta del Sol

Direction Madrid, où les "indignés" se sont donné rendez-vous samedi et dimanche pour dénoncer une nouvelle fois le chômage record qui frappe l'Espagne (21,29%), les excès du capitalisme, la corruption, les hommes politiques accusés de ne pas représenter les citoyens. Armés de marteaux, de planches et de ficelle, ils étaient quelques uns à achever samedi les préparatifs pour accueillir les marcheurs. "Nous préparons le campement pour accueillir les marches venues de province. Comprendre la révolution espagnole. Alors que l'Espagne fait sa révolution sous nos yeux, Enrique Dans, professeur et blogueur reconnu, nous donne les clefs pour comprendre ce soulèvement massif du peuple espagnol.

Comprendre la révolution espagnole

[tous les liens de ce billet sont en espagnol, sauf mention contraire] Enrique Dans est professeur des systèmes de l’information à la IE Business School et blogueur reconnu en Espagne. Il s’intéresse notamment aux effets des nouvelles technologies sur les populations et les entreprises. Dans ce billet publié sur son blog le 18 mai, il explique en sept points les causes de ce soulèvement. Vous entendez toutes sortes de bêtises sur les mobilisations à Sol et dans de nombreuses villes d’Espagne : des théories conspirationistes absurdes [émission de radio] de ceux qui voient des ombres derrière toutes choses, jusqu’à la simplification grossière de ceux qui mettent l’étiquette “anti-système” alors même qu’ils ont la réponse sous les yeux.

Voici les clefs du mouvement que nous sommes en train de vivre : Un printemps social né sur Internet gagne l'Espagne. Lancé à Madrid le 15 mai, un mouvement de protestation sociale surprend un pays en pleine campagne électorale.

Un printemps social né sur Internet gagne l'Espagne

Le comité électoral a interdit jeudi soir toutes les manifestations prévues samedi et dimanche car elles coïncident avec la « journée de réflexion » et celle du scrutin. Des milliers de personnes ont passé « une nuit tranquille » selon El Pais puerta del Sol, dans le centre de Madrid. Le ras-le bol après trois ans de crise est bien réel. Et c’est en ligne, comme lors des révolutions tunisienne et égyptienne, que les jeunes Espagnols ont commencé à se rassembler. Le mouvement du « 15 M » (parce qu’il a démarré le 15 mai) prend le pays de court alors que se tiennent le 22 mai les élections municipales et régionales. ► Lundi 16 mai. 15 heures. Ils sont une petite trentaine de jeunes rassemblés autour de quelques pancartes, d’une table montée sur des tréteaux et d’une poignée de chaises sous un soleil de plomb. ► Mercredi 18 mai. 15 heures.

Seidik Abba et la presse au Niger - Réveil-FM. Le Niger demeure un des rares pays de l'Afrique de l'Ouest à ne pas disposer de quotidien privé.

Seidik Abba et la presse au Niger - Réveil-FM

La diffusion des journaux y est encore loin de celle des pays comme le Sénégal et la Côte-d'Ivoire. L'ouvrage étudie les relations entre le pouvoir politique et les journalistes, faites de féroce répression et de séduction. Si la presse nigérienne a été dans les années 1990 un des fers de lance du multipartisme, elle apparaît aujourd'hui comme le parent pauvre de l'expérience démocratique nationale. Depuis juillet 2001, Seidik Abba est l’Adjoint au Chef du Bureau pour l'Europe et correspondant permanent en France de l’Agence panafricaine d’information (PANAPRESS), basée à Dakar.

Il est aussi un collaborateur de France 24, BFM radio, Paris-Capitale, Afrique-Presse (TV5/RFI) et chargé de mission auprès du Président de l'Association de la presse panafricaine (APPA). Seidik ABBA est journaliste, spécialiste des questions sociales et de développement.