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Les comportements addictifs liés à l'usage du numerique

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Addiction numérique. Sitographie. Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives.

Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. Définition et typologie de la cyberdépendance. Définition et typologie de la cyberdépendance Désignant, à l’origine, toute dépendance à l’ordinateur, ou plus largement à l’univers informatique, ce terme est aujourd’hui utilisé principalement pour désigner une dépendance qui s'instaure chez une personne faisant un usage distordu des moyens de communication offerts par Internet.

Définition et typologie de la cyberdépendance

Cette personne est dans la recherche constante de connexion au réseau informatique afin d’y établir une communication, d’ y trouver une information, du sexe ou du jeu virtuel. Addictions. Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool.

Addictions

Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Il existe également des addictions liées à des activités (et non à des substances), comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe ou encore les achats compulsifs. L'internet de plus en plus prisé, l'internaute de plus en plus mobile. Imprimer la page.

L'internet de plus en plus prisé, l'internaute de plus en plus mobile

76 % des Français sont connectés au Net, la plupart surfent tous les jours. L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes. A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique.

L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes

Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*. Chez les jeunes de 15 à 29 ans, ce taux grimpe à 79 % ! Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?

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Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?

Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si selon les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d'effet addictogène, l'addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l'objet en cause, liée à d'autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social...), la cyberdépendance semble prendre de l'importance. 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l'usage excessif ou dépendant du réseau informatique.

Témoignage : Jérémy, 16 ans, accro aux jeux vidéo. Dépendance/addiction numérique. Chacun ressent le désir d’être rebranché, au point où cette connexion évoque le cordon ombilical du fœtus par rapport au placenta.

Dépendance/addiction numérique

Nous l’appellerons « ombilical numérique ». Le web devient alors un ersatz du corps maternel. La croissance personnelle, la satisfaction physique et psychique passent par lui. La métaphore organique de la nature vaut aussi pour la communauté humaine, à laquelle on ressent ce besoin sécuritaire d’appartenance, et dont on ne supporte pas d’être exclu. Le succès des réseaux sociaux amplifie l’importance de cet imaginaire. Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent.

Comment devient-on accro au numérique ?

Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela. J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques.

Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela.

J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. En français, on pourrait dire “psychiatrie de bazar” Révolution numérique : apprendre et guérir autrement ? Révolution numérique : apprendre et guérir autrement ?

Révolution numérique : apprendre et guérir autrement ?

Cyberdépendance: «Le véritable danger, c'est l'isolement» La cyberdépendance est-elle la nouvelle menace venue du Web?

Cyberdépendance: «Le véritable danger, c'est l'isolement»

C'est ce que semble indiquer un rapport parlementaire rendu public ce mercredi. Elisabeth Rossé est psychologue au centre médical Marmottan, où elle prend en charge des cyberaddicts. Elle explique le phénomène pour 20minutes.fr. Internet et cyberdépendance - Développement personnel - Psychologie. Aujourd'hui environ 27 millions de Français se connectent à Internet. Le web a fait naître des addictions d'un nouveau genre, de plus en plus fréquentes. Comment prévenir ces dépendances numériques ?

La réponse avec le psychologue Jean-Charles Nayebi, auteur de « La cyberdépendance en 60 questions ». Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. "Sources Anglophones"