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DM La place d'autrui

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Le "Gorgias" de Platon. Calliclès, Castoriadis et Socrate - Le blog de clementserniclay.over-blog.com. Calliclès. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Calliclès

Calliclès d’Acharnes est un personnage célèbre au sein des dialogues de Platon[1]. Il fait partie des rares interlocuteurs qui tiennent tête à Socrate sans jamais se laisser convaincre. Hostile à la philosophie, défiant envers Socrate et partisan d'une forme d'immoralisme, le personnage semble incarner l'opposition radicale à la pensée de Platon. Le personnage de Callclès[modifier | modifier le code] Les positions extrêmes de Calliclès sur la justice, le bonheur, la morale et la philosophie, en tout point contraires aux thèses défendues par Socrate dans les dialogues de Platon, viennent confirmer la thèse de l’invention. D'une part le nom en lui-même de Calliclès qui vient du grec ancien « kallistos , superlatif qui signifie « le plus beau ».

D'autre part la nature des thèses que va défendre Calliclès aurait conduit Platon à créer ce personnage. Les lois de la Nature doivent s'imposer à la Cité[modifier | modifier le code] Tout le contraire. Gorgias, Platon : fiche de lecture. ♦ L’auteur : Platon (-427 ; -347).

Gorgias, Platon : fiche de lecture

Écrit le Gorgias à un tournant de sa vie. C’est le moment où il se retire de la vie politique pour se convertir à la philosophie. Le Gorgias est un dialogue se situant à la limite entre ses œuvres de jeunesse et ses œuvres de maturité. ♦ Bibliographie sommaire : Platon aurait écrit 35 Dialogues dont l’Apologie de Socrate, l’Ion, le Ménon, le Banquet, la République, le Sophiste… ♦ L’œuvre : Le Gorgias (vers 387), trad. par Monique Canto-Sperber, éd. . ♦ Contexte historique de l’œuvre : La démocratie athénienne traverse alors une grave crise politique et morale. . ♦ Contexte philosophique de l’œuvre : philosophie antique grecque (l’âge d’or de la philosophie grecque antique).

AUTRUI : Définition de AUTRUI. » Chapitre III – Autrui. Nous ne vivons pas seuls. Sans les autres, nous ne pourrions développer nos capacités humaines (la parole par exemple) et nous ne pourrions subvenir à nos besoins. Nous vivons en société selon des règles qui sont des conventions humaines et dans un milieu œuvré par les hommes, chaque objet portant en […] Lisez l'article complet Sartre donne d’autrui la définition suivante : « C’est l’autre, c’est-à-dire le moi qui n’est pas moi ». Définition articulant des notions opposées : le même et l’autre, l’identité et l’altérité, la ressemblance et la différence, la proximité et la distance.

Lisez l'article complet La pensée est tellement chez elle dans l’élément du même que je n’ai jamais eu de peine à reconnaître en tout homme, un membre de la famille humaine. Lisez l'article complet L’intersubjectivité est constitutive de l’expérience humaine. » Qu’est-ce que je sous-entends lorsque je parle d’autrui comme de mon semblable?

Sartre donne d'autrui la définition suivante : « C'est l'autre, c'est-à-dire le moi qui n'est pas moi ».

» Qu’est-ce que je sous-entends lorsque je parle d’autrui comme de mon semblable?

Définition articulant des notions opposées : le même et l'autre, l'identité et l'altérité, la ressemblance et la différence, la proximité et la distance. D'où un certain nombre de difficultés portant soit sur le thème de l'identité, soit sur celui de l'altérité. Par exemple : Qu'est-ce que je sous-entends lorsque je parle d'autrui comme de mon semblable ? L'altérité est-elle communicable ou bien est-elle une prison nous condamnant à une solitude indépassable ? Dans ce cours je me propose de traiter la première question. Problématique : Un sous-entendu est ce qui n'est pas clairement dit mais est implicite dans ce que je dis ou fais. La question consiste à se demander sur quoi je me fonde lorsque je définis autrui comme mon semblable et quel est le type de rapport à l'autre que cette manière de saisir notre identité commune engage. La question a donc un double enjeu. Pour une éthique de la bienveillance. La responsabilité pour autrui.

Introduction : Dans la sphère affective on comprend qu’un individu ressente envers les siens une responsabilité qui lui incombe personnellement « C’est ma mère, mon Frère, mon meilleur ami, c’est mon devoir que de les aider… » Mais Lévinas étend à tout homme le devoir de responsabilité que chacun admet envers ces proches.

La responsabilité pour autrui

Qu’est ce qui justifie une telle extravagance ? Lévinas entend rester fidèle à une expérience fondamentale, celle qui nous saisit lorsque nous ressentons( ne serait-ce que fugitivement), le dénuement et l’extrême vulnérabilité d’un visage. Cette vulnérabilité nous prend en otage, malgré-nous nous nous sentons responsable. Chez Lévinas la morale ( ce qu’il appelle aussi l’éthique) est philosophie première ce qui signifie que toute sa conception du sujet et du rapport au monde dépend de cette expérience fondamentale.

Explication : Chez Lévinas rien ne précède l’éthique, elle est à l’origine même de la philosophie, de l’étonnement philosophique.