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Racisme v2

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Minorités. Raté. Un Marocain aux Pays-Bas, entre le moment où il arrive et celui où il meurt, coûte 43.000 euros à la collectivité. C’est le chiffre auquel est arrivé Jan van de Beek dans la thèse de doctorat qu’il vient de soutenir à l’Université d’Amsterdam. Mais il ne s’arrête pas à un chiffre, et c’est là que l’extrême droite et la droite libérale va être gênée aux entournures. Et c’est à partir de maintenant que je m’amuse, car il est effectivement temps de parler du coût de l’immigration, mais aussi du pourquoi et du comment. Et du qui aussi. Importer pour ne pas moderniser La thèse de van de Beek répondait à deux questions: quelles sont les conséquences économiques de l’immigration de masse commencée pendant les années 1960 aux Pays-Bas, et pourquoi est-ce un tel tabou.

Van de Beek l’explique bien: c’est pour ne pas avoir à augmenter les salaires et ne pas avoir à investir pour moderniser l’économie que l’élite économique néerlandaise a fait venir des paysans illettrés. L'arme xénophobe. Racisme en France, l'inquiétant "revirement de tendance" Débat Le Pen/Besson: Peillon pose un lapin à Arlette Chabot - Le. V. Peillon abandonne les valets de la haine en rase campagne « P. Pur crime de lèse-majesté. V. Peillon snobe un rendez-vous télévisuel concocté par A. Chabot. Le député socialiste invité en deuxième partie de débat après E. Besson et M. Fin septembre 2009 à New York, A. Un président insatisfait de la teneur des émissions politiques des chaînes publiques ?

La ficelle est grosse. Nombre d’appels ont été signés par la gauche et des républicains pour ne pas participer à ce débat. Ce comportement déviant face aux canons de la médiasphère pourrait être incompris. Le parti socialiste est souvent taxé à juste titre de l’indolence sur les sujets graves. V. Vogelsong – 15 janvier 2010 – Paris Like this: J'aime chargement… Isaac Asimov, Elie Wiesel et l'antisémitisme - Les blogs du Dipl. Mon père était fier de dire qu’il n’y avait jamais eu de pogrom dans sa petite ville natale, où juifs et gentils cohabitaient sans problème. En fait, lui-même avait pour ami un fils de gentils à qui il donnait un coup de main pour ses devoirs du soir. Après la Révolution [de 1917], il s’avéra que l’ami d’enfance était devenu fonctionnaire local du Parti ; à son tour, il aida mon père à réunir les papiers nécessaires pour émigrer aux Etats-Unis. Ce détail a son importance, car j’ai souvent lu sous la plume de romantiques échevelés que ma famille avait fui la Russie pour échapper aux persécutions.

D’après eux, c’est tout juste si, pour quitter le pays, nous n’avions pas traversé le Dniepr en sautant de bloc de glace en bloc de glace, avec sur les talons une meute de chiens assoiffés de sang et la totalité de l’Armée rouge. Evidemment, il n’en est rien. Je n’ai pas non plus d’histoires horribles à raconter sur ma vie aux Etats-Unis. . — Ecoutez, m’a-t-elle rétorqué. Brave patrie / racisme.