PPDA, draps froissés, lettres imprimées et femme blessée. Violette et Alexis s’aiment, se détruisent, se fuient, s’aiment encore, se trompent, se quittent, et se haïssent.
Elle est jeune, belle et raffole d’Henry Miller. Il a vingt-cinq ans de plus qu’elle, il est célèbre, et écrit des livres. L’histoire commence sur les gradins de Roland-Garros, se poursuit à Bora-Bora, Venise, Palerme, Londres, le Cap Ferret ou en Corse, fait halte au Ritz et place Vendôme, s’expose sur les marches de Cannes, se noie dans les bulles de champagne et se meurt à Rio. L’héroïne fait divinement l’amour, le héros aussi – « elle se laissa glisser vers un très furtif coma qui, chez elle, signifiait qu’elle avait franchi les limites d’un simple orgasme » - elle porte des « dessous soyeux » sur des jambes qui le sont tout autant, pleure beaucoup et tente régulièrement de se suicider.
Lui aussi mais il ne réussit qu’à la fin, page 290. Surtout, Agathe Borne a retrouvé ses mots à elle dans son roman épistolaire à lui. Dans les nuages « En attendant BlogExpérience… Vivre pour écrire ou écrire pour vivre. Je suis fatigué d’entendre dire qu’il faut offrir ses textes sous prétexte qu’ils sont publiés sur un blog et qu’il faut gagner sa vie autrement.
Vous voulez donc que je ressorte la barque de mon père et que j’aille pêcher des anguilles devant chez moi ? Ou que je redevienne journaliste ? Ou que je redevienne salarié et m’agenouille devant un potentat ? Alors on me conseille d’écrire des livres, de les vendre en librairie, de vivre ainsi (ce que j’ai longtemps fait). Cette proposition sous-entend que le blog est un genre inférieur. Certains bloguent pour partager des idées (ils sont minoritaires – relayer les conneries de la presse n’est pas partager des idées). Certes mon blog est mon atelier, mais il se trouve que je préfère les œuvres d’atelier à celles qui arrivent jusqu’au musée.
Ce qui me paraît extraordinaire c’est que des lecteurs viennent me dire qu’ils ne sont pas prêts à payer ce qu’ils viennent de lire. Aujourd’hui, nous ne sommes pas dans la logique du gagnant gagnant. Auteur, c’est pas une vie « On a des choses à se dire. Non, vraiment: auteur, c’est pas une vie.
Vous savez combien ça gagne, un écrivain? Des clopinettes. Bien sûr, il y a Dan Brown. Stephen King. Harlan Coben. Vous ne me croyez pas? Etude-blogueurs-francophones.pdf (Objet application/pdf) Les blogueurs sont des fourmis. Par Juan S. 73 000 blogs américains ont été fermés par erreur par le FBI.
Soixante-dix mille, rien que ça. Sur le coup, j ’ai cru à une mauvaise blague en lisant cette brève information . Le FBI avait demandé à un hébergeur plus que modeste de lui communiquer les coordonnées de certains de ses blogueurs, au motif que certains seraient suspects d ’appel au terrorisme ou soutien d ’Al Qadai. L ’hébergeur a pris peur et fermé… l ’intégralité des blogs dans la précipitation. On ne rigole pas avec la trouille . Si vous tentez de vous connecter à l ’un de ces blogs malencontreusement fermés, vous pourrez lire un message du genre (et ce, depuis déjà 10 jours au moins !) Fichtre. Quand éteindront-ils la lumière ? J'aime ceci: Soyez le premier à aimer ceci. Rétroliens. Les 3 types de blogueurs. Tous les blogueurs sont uniques grâce à leur personnalité et leur style.
Mais on peut classer les blogueurs selon leurs catégories. Le blogueur personnel Le blogueur personnel est le plus fréquent, et en fait, tout le monde l’a été un jour et c’est ensuite qu’il a changé. Le blogueur personnel écrit sur tout ce qui l’intéresse. Il ne se préoccupe pas de la forme, ni même du fond. Le blogueur d’entreprise Très fréquent de nos jours, ce blogueur ne cadre pas dans la définition d’un vrai blogueur. il est plutôt un porte-parole de sa boite qui utilise le blog pour élargir sa communication.
Le blogueur professionnel Celui-là est passé par toutes les étapes du blogue, et il estime qu’il est devenu un expert dans la matière. Donc le gagnant est …