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Lancement du Huff

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Y’a-t-il un designer pour sauver le Huffington Post ? Hello Je découvre ce matin la version française du site américain d’information, le Huffington Post. Présentée ce lundi matin, c’est la journaliste Anne Sinclair qui prend les commandes, en tant que directrice éditoriale. Curieux de découvrir ce « nouveau site »,je suis allé y faire un tour et quelle ne fut pas ma déception visuelle lorsque j’ai découvert le design du site.

Basé sur le même design que le Huffington Post Américain, Anglais et Canadien, on se retrouve devant un site qui flirte un peu avec les sites du début des années 2000. Pour rappel, un site d’informations est fait pour être…lu. Si ça vous intéresse : Pour conclure, j’ai rarement vu le « lancement d’un nouveau site » avec un design ancien. Je ne vous cite volontairement pas le brio graphique et ergonomique d’Owni.fr mais j’y pense très fort. Hâte de voir comment tout ceci va évoluer. Anne Sinclair Takes Helm at French Huffington Post. Items that you save may be read at any time on your computer, iPad, iPhone or Android devices. Access your saved items by selecting Saved Items from the menu under your username at the top right of any page on NYTimes.com.

Le Huff Post français conspué par les blogueurs. Huffington : les blogueurs contre le travail gratuit. Huffington Post : le recours aux contributeurs non rémunérés très critiqué - Info Médias - Médias. Plus de 200 journalistes - français, italiens, britanniques ou encore grecs - ont assisté ce matin à la conférence de présentation de ce nouveau site. La foule des grands jours, donc, pour un site qui affiche pourtant des ambitions bien modestes.

Certs, il s'agt de la version française d'un site qui marche très fort aux Etats-Unis, mais il ne compte que 8 journalistes salariés. Iil y a fort à parier qu'il n'aurait pas suscité le même intérêt si sa directrice éditoriale ne s'appelait pas Anne Sinclair... L'épouse de Dominique Strauss-Kahn était au centre de toutes les attentions ce matin. Elle a notamment dû se défendre de tout conflit d'intérêt : non, dit-elle, le Huffington Post ne privilégiera pas la gauche pendant la campagne présidentielle.

Non, promet-elle, l'affaire DSK ne sera pas passée sous silence. "L'information n'est pas gratuite à produire" Mais c'est loin de convaincre tout le monde. Pourquoi j'ai refusé d'écrire pour le Huffington Post français. Alors que la version française du Huffington Post est lancée aujourd'hui sous la direction de Anne Sinclair, je tenais à développer les raisons qui m'ont fait refuser d'y contribuer. Il y a quelques semaines, j'ai reçu le message suivant : "Bonjour Christophe, J'espère que tu vas bien. Je t'envoie cet email puisque comme tu le sais probablement, Le Post se termine, et laisse la place au HuffingtonPost. Une formule différente, ouverte à un nombre de blogueur plus restreint. On souhaiterait te proposer de tenir un blog sur Le Huffington Post.

Est-ce que tu serais intéressé ? Nous on l'est ! On t'en dira plus au tout début de l'année prochaine de toute façon, sur comment ça va se passer, tout n'est pas encore complètement calé. "Pour répondre à votre question, Le Huffington Post (version française, canadienne, britannique et française) ne paye aucun de ses contributeurs... Qui est vraiment menacé par l'arrivée du HuffingtonPost.fr ? C'est donc parti.

Ce lundi 23 janvier, la version française du Huffington Post s'installe dans le paysage médiatique hexagonal et d'abord dans celui des pure-players. Un marché pourtant déjà très chargé, comme le reconnaissait implicitement Arianna Huffington la veille du lancement : Or, pas la peine de se le cacher, il semble à peu près certain que tous les acteurs aujourd'hui présents sur ce créneau ne sortiront pas en vie de la bataille de l'info en ligne qui fait désormais rage. Si 2012 devrait être une année (doublement élecotrale) permettant à chacun de trouver une audience suffisante, il y aura sûrement des morts en 2013. Jeter un oeil au HuffPo permet de répondre en partie à cette question. Qui, bien entendu, rappelle un autre pur-player lancé récemment, Le Lab d'Europe 1 : S'ils ne sont pas exactement sur le même créneau, Le Lab s'intéressant (pour le moment) exclusivement à la politique, les deux sites entrent forcément en concurrence.

A lire également : "C'est moi seule qui ai choisi Anne Sinclair" A la veille de l'annonce publique, ce lundi à 9h30, de la création du site "Le Huffington Post, en association avec le groupe Le Monde" (c'est son intitulé exact), la créatrice du premier site américain d'information, Arianna Huffington, a reçu Challenges. Le "HuffPost" français est détenu à hauteur de 51% par Huffington USA, 34% par Le Monde et 15% par Mathieu Pigasse, lui même actionnaire du quotidien, avec Xavier Niel et Pierre Bergé. Arianna Huffington, qui a récemment vendu son site à AOL pour 350 millions de dollars, tout en restant présidente et éditrice en chef, assume pleinement le choix d'Anne Sinclair pour être la directrice éditoriale du site français, qui absorbe Le Post, filiale du Monde.

Pourquoi ce choix, alors qu'Anne Sinclair n'a pas de problèmes de fin de mois et qu'elle a quitté TF1 et le journalisme il y a près de 15 ans ? - C'est moi qui ai eu l'idée de faire appel à Anne Sinclair. Ensuite, Louis Dreyfus et Mathieu Pigasse ont organisé les rencontres. . - Non. Huff Post : Arianna et Anne font crépiter les flashes - Blogs EchosMedias. Arianna Huffington: « Nous voulons donner accès au meilleur du web », Actualités. ANNE SINCLAIR. Le Huffington Post : lancement réussi. MEDIAS. Arianna Huffington et Matthieu Pigasse ne pouvaient rêver mieux : plus de 200 journalistes présents à la conférence de presse, elle même retransmise sur les chaînes d'info, une interview exclusive réservée à TF1, la Une de Elle cette semaine, le Huffington Post français a bénéficié d'une couverture médiatique sans précédent ce lundi. On n'a pas tant parlé du site que de sa rédactrice en chef, Anne Sinclair, dont l'annonce du retour sur la scène médiatique a été catalysé (bien malgré elle) par le tsunami de l'affaire DSK.

Les télés étaient là pour la journaliste franco-américaine, mais le nom de la marque y était systématiquement associé. Demandez aux responsables marketing de la concurrence, qui devaient tous ouvrir de grands yeux ronds hier : un tel buzz pour un site d'info ça n'a pas de prix. La suite de cette courbe appartient désormais à l'équipe éditoriale qui devra transformer l'essai, sur l'une des plateformes d'info les plus performantes de la place.