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LAGARDE

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L’heureuse fortune de l’oligarchie française (dans les institutions internationales) “Je poursuivrai cette voie, attentive aux plus faibles, attentive aux plus démunis, quelles que soient les circonstances et quels que soient les territoires géographiques, comme mon prédécesseur l’avait engagé dans le cadre des réformes qu’il avait faites” C. Lagarde 29.06.2011 Pour discréditer efficacement un syndicaliste dans l’entreprise, la technique managériale conseille de l’augmenter, le promouvoir, le faire pénétrer dans le giron des dominants, de façon à ce que symboliquement il ne puisse plus incarner ses revendications. À un niveau plus global, le management du discrédit avec promotion de l’idéologie par les symboles bat son plein. La France, ou plutôt les Français renâclent à se convertir totalement à la modernité du libre marché. Rétifs à la mise en l’encan d’un modèle social par le passé survendu, et auquel ils s’accrochent pensant échapper au naufrage.

Bien qu’il y ait une certaine frénésie entrepreneuriale, chez N. Par cette nomination à la tête du FMI, ce n’est pas C. Christine Lagarde est-elle bonne en économie ? Le Fonds monétaire international (FMI) est une institution remplie d’économistes, toujours prêts à reprendre la dernière mode en recherche et à justifier n’importe quel type de politique publique. Pour vraiment diriger l’institution et lui insuffler une direction précise, son Directeur général a intérêt à disposer d’une forte légitimité intellectuelle en matière économique. Est-ce le cas de notre ministre des Finances ? Pour Martin Woolf, l’éditorialiste économique vedette du Financial Times, la réponse est clairement non : « elle n’est pas une candidate parfaite car ses connaissances en économie sont limitées ».

Ce qui signifie soit que l’économiste en chef du FMI va pouvoir lui raconter n’importe quoi, soit que les Américains vont nommer au poste de N°2 de l’institution une pointure en économie qui sera le véritable patron intellectuel tandis que la Directrice générale ira couper des rubans et faire des beaux discours un peu partout dans le monde. Christine Lagarde au FMI: la presse britannique sceptique. Conneries et compétence… à propos du PS et de C. Lagarde. Il n’aura pas fallu longtemps pour que le Parti Socialiste revienne à ses fondamentaux, à savoir errements et cacophonie. Tout cela est bien entendu de la seule faute de DSK, un être vous manque et la débandade n’est jamais loin – nul jeu de mots – ; au final, cette non-candidature de de l’ex-patron du FMI agit comme un révélateur, le PS n’a pas changé et n’a toujours pas tiré les conséquences de ses défaites de 2002 et de 2007.

Déjà, on avait senti un réel malaise sur l’affaire en elle-même maintenant que celle-ci est en passe d’être digérée, le bal des conneries est désormais ouvert. Sans attendre et sans surprise, certains en ont appelé à la fin de la primaire avec une candidate auto-désignée au nom d’une légitimité un peu fragile – les conditions de son élection à Reims-. En somme, le PS semble avoir accéléré, bien décidé à passer la seconde de la machine à perdre. . « « . 5 novembre 2007… Challenge . Oui, Christine Lagarde est la parfaite candidate pour diriger le FMI. Oh, le forcing qu’ils nous font pour imposer la candidature de notre inénarrable ministre de l’Économie, des finances et de l’industrie réunies au poste laissé vacant par ce malheureux DSK !

Oh, le battage sur les ondes, sur les unes, sur les plateaux-télé inondés des lumières de nos “spécialistes” autoproclamés, pour balayer les dernières résistances (étrangères, forcément étrangères) et renvoyer les pays émergents à leur infantile émergence ! Des supporters toutes tendances de façade confondues Tout le gratin européen soudain réuni et soudé, toutes tendances de façade confondues, pour propulser une des leurs à ce poste de gendarmette monétaire mondialisée !

Jusqu’à notre Martine Aubry nationale, revendiquée de gauche mais qu’on sent sur ce coup plus proche des ors ministériels que de la poussière de la Puerta de Sol à Madrid ! Qu’importe que Miss Lagarde soit une des seules VIP éclairées : Qu’importe qu’elle se traîne les casseroles de plus en plus brûlantes de l’affaire Tapie. Christine Lagarde au FMI, vraiment ?

Les jeux semblent faits, au moins vu de Bruxelles: Christine Lagarde, la ministre des finances française, sera la candidate de l’Union à la direction du FMI ce qui devrait lui suffire pour succéder à un DSK démissionnaire pour cause de scandale sexuel. Les Européens n’imaginent même pas que la direction du FMI puisse leur échapper en pleine crise de la zone euro. Mais voilà, il y a un hic de taille : les pays émergents aimeraient bien mettre la main sur cette institution trustée depuis 1946 par les Européens, alors que la présidence de la Banque mondiale revient à un Américain en vertu d’un accord tacite. Surtout, « les Américains nous ont fait passer le message qu’ils ne voulaient pas d’un candidat qui traine des casseroles », prévient un diplomate européen de haut niveau, après le fiasco DSK et le départ, en cours de mandat, de ses deux prédécesseurs (l’Allemand Horst Khöler et l’Espagnol Rodrigo Rato).

La crétinisation au quotidien. Le cas Christine Lagarde. "Où nous mène la guerre ? Vers la paix c’est évident ! " C. Lagarde le 11.04.2011 sur France Inter C’est un peu ça le printemps français sous le régime. Une ministre de l’économie, C. Lagarde, qui occupe l’espace médiatique, vitupérant le Gosplan de l’encadrement des mirifiques salaires, les méfaits de la dette tout en accordant crédit à l’énergie nucléaire.

Concurrence alpha et oméga Derrière le sérieux méthodique de l’ancienne avocate d’affaires américaine, depuis quatre années ministre de la République, se niche un histrionisme en totale adéquation avec l’équipée de saltimbanques qui ont la charge des affaires du pays. La dette nucléaire Mais d’histrionisme, il en est aussi question lorsque C. Dans le large spectre des personnalités politiques, C. Vogelsong – 12 avril 2011 – Paris Like this: J'aime chargement… Lagarde mise sur la "reprise" en 2010. Madame rêve.