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La galère pour louer

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Une carte interactive pour dénicher les loyers les moins chers de Paris. Comment comparer les loyers parisiens facilement ? La société Smartloc a mis au point une carte interactive de la capitale où l’on peut comparer les prix selon différents critères. Nos estimations se fondent sur plus de 55.000 références de marché datant de moins de 12 mois, soit pas loin de la moitié des appartements mis en location sur un an Smartloc est un site qui se présente comme une plateforme censée simplifier les démarches de recherche de location.

Le site a récemment mis en ligne une carte interactive qui se révèlera très utile aux potentiels nouveaux locataires. Ludique et facile d’utilisation, celle-ci sera mise à jour tous les mois et va vous permettre de vous faire une idée précise de la valeur d’un appartement en vous appuyant sur différents facteurs (rue, quartier, surface, proximité d’une station de métro, …). TAGS Paris. A Paris, un tiers des studios se loueraient plus de 40 euros le mètre carré. Lutter avec efficacité : une recherche d’appartement à Paris. Que celui qui n’a jamais cherché à se loger sur Paris ouvre grand les yeux : ce qui va suivre s’apparente à un effarement devant la médiocrité de l’offre et la bataille psychologique que représente la recherche d’un bien à louer.

TOUS les biens à louer, de la cave à la place de parking en passant par le simple 3 pièces tant convoité. Ceci est un mashup – pour ma maman, un mashup est un mix’ de choses qu’on regroupe en une seule – de tous les appartements visités sur Paris en 4 ans (deux types de recherche : un studio et un 3 pièces non trouvé à ce jour). D’abord, fébrilement, on choisit le quartier, le métro, l’arrondissement pour éplucher les différentes possibilités qui s’offrent à nous pauvres locataires.

En cherchant à deux ça peut parfois donner des conversations pour le moins surréalistes, vous verrez par la suite pourquoi : Ah oui pourquoi pas je suis à dix minutes du bureau comme ça ! Ou Mais très rapidement, la première évidence. Donc le quartier vous a choisi.   Aucun souci ! Se loger à Paris, chronique banale d'une quête impossible. Lettre à Cécile Duflot. Madame la Ministre du Logement « Je vous fais une lettre que vous lirez peut-être si vous avez le temps ».

Je n'attendais que trois lettres magiques pour enfin bien me loger dans la capitale à l'heure où les contrats courts, le sous-emploi et le chômage sont la norme : C.D.I. ; contrat à durée indéterminée. Je ne vous cache pas que je me faisais une joie que ce précieux sésame survienne au 1er octobre, deux mois après l'entrée en vigueur de la promesse-phare de notre président François Hollande durant la campagne électorale : l'encadrement des loyers des logements privés, lors d'une relocation ou du renouvellement du bail, dans trente-huit agglomérations dont Paris, la folle, la dingue aux loyers prohibitifs.

Promesse d'embauche en main, je me suis mise en quête d'un pas allègre d'un toit à durée indéterminée dans Paris intra muros, rien de mégalo, pas de dernier étage plein sud avec terrasse ou balcon filant rive gauche, mais un petit studio ou deux pièces vide, rive droite. Pauvre petit propriétaire. Bastien loue depuis 4 ans un studio à Paris qu'il partage avec femme et enfants. 4 dans 24m2. Autant dire une surface conséquente pour cette espèce parisienne en voie disparition: la famille stupidement salariée ayant de surcroît la bêtise économique d'avoir moins de 40 ans. Le propriétaire de petite surface parisienne est, en général, de mauvaise humeur lorsque sa pompe à fric, surnommé locataire trentenaire, lui annonce une prochaine anicroche dans le versement de la thune.

Mais pas de ça avec Mr Centuri. L'homme de 68 ans n’est pas le genre à se formaliser pour si peu. La moitié des revenus de Bastien constituant le loyer versé à Monsieur Centuri ne représente au fond que de l’argent de poche pour ce dernier. Et puis, le baby-boomer retraité a d’autres studios dans la capitale dont il a récemment hérité de maman sans avoir déboursé un centime (elle a eu la bonne idée de mourir après 2007) et dont la valeur prend 10% l'an depuis dix ans. 10 minutes après. Mais bon. Share photos on Twitter. Logement social : 406.000 demandeurs en IdF - IDF, logement social. D'après les chiffres de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme (IAU) publiés mardi, il y avait en Ile-de-France au 1er juillet 2010 406.000 demandeurs d'un logement social, alors que le parc disponible atteint un niveau "historiquement bas", de l'ordre de 75.000 appartements.

Ce nombre de 406.000 demandeurs ressort d'une enquête menée par l'IAU auprès des communes et préfectures d'Ile-de-France à l'occasion des 3èmes Assises régionales du logement.Paris concentre 29% des demandeurs d'Ile-de-France, soit 117.000 ménages, la "petite couronne" 41% et la "grande couronne" 30% alors que le parc de logements sociaux (1.208.000 logements sociaux en IDF au 1er janvier 2009) est réparti différemment : celui de Paris n'est que de 19% du total francilien, celui de la petite couronne est de 47% du total et celui de la grande couronne de 35%.En près de 40 ans, le nombre des ménages demandeurs de logements sociaux a augmenté de 142.000, passant de 264.000 en 1973 a 406.000 en 2010. Pour obtenir un logement, j'ai payé 6 mois de loyer. J’ai commencé à chercher un logement en avril 2011.

J’étais dans une studette dont mes parents étaient propriétaires. J’ai décidé de déménager lorsque j’ai pu avoir un salaire qui me permettait de trouver un appartement : je cherchais un studio ou un deux pièces dans l’ouest parisien. Lorsque j’ai obtenu mon premier CDI, je gagnais 2000 euros et, à ce niveau de salaire, les agences font visiter des studios ou des studettes en très mauvais état, dont le loyer tourne autour de 600 euros. Les agences n’ont pas honte. Un immeuble à Paris en avril 2010 - FlickR cc besopha J’ai fait beaucoup de visites, une quinzaine. Après un certain nombre de visites, j’étais un peu désabusée, j’ai alors arrêté de chercher pendant un moment.

Un CDI ne suffit pas J’avais deux garants solides : mes parents sont propriétaires. Si je n’étais pas en CDI, je n’aurais pas pu trouver de logement. Je ne suis passé que par des agences, car cela me semblait plus sérieux. Visite guidée d’une studette parisienne » Article. Les prix de l'immobilier ne cessent de grimper. Récit d'une visite d'un deux-pièces des beaux quartiers de « 50m2 au sol », qui n'offre en fait que 22m2 habitables. Et dire que des gens se bousculent pour ça... À l’abondante rubrique du WTF de l’immobilier parisien, où la démence spéculative côtoie en toute quiétude le scandale sanitaire, ma dernière expédition dans un deux-pièces des beaux quartiers mérite son entrée au Top 5 des plus belles escroqueries visitées.

On ne remplace pas dix ans d’expérience. Ayant rendez-vous à 18 heures, j’arrive à 18h15. Rien ne sert de se presser pour louer. Face au candidat locataire, l’agent immobilier débarque systématiquement un quart d’heure en retard avec comme seule excuse sa nonchalance overbookée qu’il accompagne dans les grands jours d’empathie d’un « hi, hi, la circulation vous savez ce que c’est ».

Ils sont vingt-cinq alignés en rang d’oignon contre le mur ombragé de la jolie rue sans vie de l’arrondissement à la pierre précieuse. 18h20. Homophobie immobilière. Nooz et moi avons repris les recherches d’appartement. Et c’est un coup de coeur trouvé sur PAP qu’il m’envoie par mail. « 50m² à Vincennes, refait à neuf, calme, proche métro »… Chouette ! Parfait. J’appelle illico le propriétaire. La dame me pose tout un paquet de questions et me donne le numéro de portable de son mari parti faire visiter. Je suis en bas de l’immeuble. La visite se passe bien. Le monsieur ponctue la visite avec beaucoup d’humour. . - « Alors, monsieur… - Zep, Pierre Zep. - Monsieur Zep, êtes vous intéressé par cet appartement ? - Bien sûr ! - Ah, c’est bien. . - Chargé de communication en mairie, fonctionnaire. - Parfait ! - Infirmier, à l’APHP. - ( ) Infirmière ? - Non non, infirmier. - Ah… Vous auriez dû en parler à ma femme au téléphone. - Elle le sait et ça ne semblait pas la gêner. - Non… je vous préviens, du coup, c’est loin d’être assuré pour vous. - Pardon ?

- ( ) Je ne veux aucun problème… vous n’êtes pas des gens fiables. - Pa…pardon ? - Désolé. Je suis interdit. Epuisé ! La vie (à Paris) mode d'emploi. Dans ces cas, X lui déclare qu'il prendra le temps de lire ce règlement lorsqu’il y aura un concierge attitré à l’immeuble et non plus un sous-traitant en charge de la maintenance d’une dizaine de bâtiments similaires dans le quartier. Elle a du en voir tourner du petit con, en quarante ans de surplace dans son immeuble coquet. Probablement qu'elle en dénonçait déjà, par PCV au commissariat de quartier, qui se planquaient dans son hall attitré pour échapper aux charges de CRS en mai 68. Ce n'est pas une jeune merde trentenaire, même pas propriétaire, qui pourra jouer au Spartacus des arrières cours avec la sèche ! X la quitte alors sous les invectives, tête baissée et poussette en bandoulière, pour le niveau supérieur.

Dans ces vieux immeubles, construits à l'artisanal, pas de place pour un ascenseur. Le héros X passe devant la belle porte laquée à gros blindage. NANCY MAC BOTOX- Ça fouit chez moi ! NANCY MAC BOTOX- No mais c’est impossibeul. NANCY MAC BOTOX - Mais venez voir chez moi. "Pour obtenir un logement, j'ai dû tricher" ADM : 2 pièces cuisine à Paris - Seb Musset's Posterous. L'immobilier à Paris - excellent - une vidéo Comédie et Humour.