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La criuse revient p.2

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La crise financière européenne expliquée à Paulo. Exercice difficile : vulgariser une tempête financière profonde. Mieux… Faire de la prospective pour expliquer la suite de cette crise. Ses implications et son évolution. Paulo est loin d’être con. D’ailleurs, il a pour lui le bon sens près de chez vous qui fait tant défaut aux politiques qui le gouvernent. Petit souci toutefois, Paulo n’a jamais fait d’économie et en plus, rien que pour l’emmerder, les gens qui trempent dans ce secteur, les financiers et les politiques, ont mis en place un jargon que Paulo ne comprends pas. Mon cher Paulo, je vais te résumer en 2000 signes l’origine de la « crise de l’euro » dont tu suis l’évolution dans les pages éco du Parisien.

Les ménages s’endettent terriblement. Et voilà mon Paulo. Faillite, planche à billets et guerre civile Restons dans le registre de la vulgarisation. . - Et la Banque centrale européenne, elle ne pourrait pas le faire ? Et bien non, mon cher Paulo, elle ne peut pas. . - Mais alors, que faire ? Or à quoi assiste-t-on ? - A l’inverse ? How a New Jobless Era Will Transform America - The Atlantic (Mar. The Great Recession may be over, but this era of high joblessness is probably just beginning. Before it ends, it will likely change the life course and character of a generation of young adults. It will leave an indelible imprint on many blue-collar men. It could cripple marriage as an institution in many communities. It may already be plunging many inner cities into a despair not seen for decades. Ultimately, it is likely to warp our politics, our culture, and the character of our society for years to come. How should we characterize the economic period we have now entered?

After nearly two brutal years, the Great Recession appears to be over, at least technically. The unemployment rate hit 10 percent in October, and there are good reasons to believe that by 2011, 2012, even 2014, it will have declined only a little. All of these figures understate the magnitude of the jobs crisis. The Long Road Ahead No one knows what shape the recovery will take. New jobs will come open in the U.S. Crash fiscal : le "cauchemar américain" de Joe Stack - LeMonde.f. We must arm ourselves for a class war. Les banques exigent des mesures d'austérité à l'encontre des peu. Si l'Islande refuse de banquer... "On va faire comme les paysans français! " avait promis l'un des activistes. Las! Le camion de fumier qui devait être déchargé devant le siège de l'Islandsbanki, sur le front de mer de Reykjavik, n'est pas arrivé à temps. Les protestataires en sont réduits à klaxonner bruyamment sur le parking, sous une bourrasque de vent glacé.

"Nous voulons dire haut et fort notre refus de payer, nous simples citoyens, pour les fautes commises par les "banksters"", explique Svein, vendeur de voitures et l'un des organisateurs de la manifestation. Des traites mensuelles multipliées par sept Bankster, cette contraction des mots anglais banker (banquier) et gangster, s'impose dans le débat public depuis quinze mois. Mais, quinze mois après, comment payer la note? Les manifestants qui klaxonnent, ce jour, protestent devant l'envolée des mensualités de leurs crédits - voiture ou habitation. Un site vengeur dénonce la dolce vita des oligarques "Mais pourquoi devrions-nous être les seuls à payer l'addition? " Crise économique: le pourquoi du comment. 8 avril 2014 Le vendredi 21 mars, la ville syrienne de Kasseb, peuplée majoritairement d’Arméniens, a été attaquée par des hommes armés d’Al-Nousra, une filiale d’Al-Qaeda, et par d’autres groupes armés islamistes. Sans l’aide des autorités turques, ces groupes terroristes n’auraient pas été en mesure d’entrer dans la ville syrienne de Kasseb.

Avec ses manœuvres dans le contexte immédiat des élections municipales, le gouvernement turc entend dévier l’attention vers (...) 7 avril 2014 Nouvelles après nouvelles, les actes allant à l’encontre du bon déroulement du second sommet de la Communauté d’États latino-américains et caribéens (CELAC) à La Havane ont échoué les uns après les autres, contestés par la réalité. 5 avril 2014 4 avril 2014 Depuis quelques années nous avons vu fleurir de nombreux groupuscules se réclamant de la lutte antifasciste. 2 avril 2014 Des millions de Turcs, Arabes et Musulmans ont vu en Erdogan un héros libérateur après son show devant Shimon Peres à Davos en 2009.

SLOVAR les Nouvelles - Expressions libres. C'est Le Figaro qui nous l'apprend : " Des dirigeants de hedge funds majeurs se sont accordés lors d’un dîner discret à Manhattan pour parier gros sur la baisse de l’euro, selon le Wall Street Journal vendredi. Parmi eux, le milliardaire américain George Soros ... / ... " Mais encore ? " ... / ... Ce qui en termes courant s'appelle de la spéculation financière. La spéculation, vous savez, cette "habitude" des milieux financiers si décriée au G20, à laquelle Nicolas Sarkozy a annoncé vouloir mettre fin ? Et pourtant, le 8 octobre 2009, on pouvait lire sur le site du Gouvernement un article/communiqué portant le titre suivant : "G20 : le sommet de Pittsburgh a posé les bases d'une nouvelle gouvernance économique et financière mondiale" " ... / ... Ainsi, les activités de spéculation qui représentent un risque pour la stabilité financière seront découragées ... / ...

Et le site Boursier.com d'ajouter : " En 11 ans d'existence, l'Euro n'avait jamais connu un telle attaque spéculative... Crise financière, les six étapes d'un désastre. L’agence de notation Standard & Poor’s a dégradé, mardi 27 avril, la dette souveraine grecque au rang d’obligation douteuse, et abaissé celle du Portugal. Le lendemain, l’Espagne entrait dans le collimateur – à qui le tour ? Dans les trois cas, l’agence dit fonder son appréciation sur les perspectives macroéconomique des pays concernés : une croissance faible ne leur permettrait pas d’acquitter leurs engagements. Mais quels facteurs assombrissent ainsi leur horizon économique ? On peut facilement identifier l’un d’entre eux : les coupes budgétaires mises en œuvre sous la pression… des investisseurs et des agences de notation.

La boucle est ainsi bouclée. Première étape : en 2007 les ménages américains, dont les revenus stagnent, notamment sous l’effet de la concurrence internationale, se trouvent dans l’incapacité de rembourser des prêts immobiliers attribués sans souci de garantie par les banques saisies d’ivresse. Quatrième étape. Cinquième étape. Sixième étape. Wall Street sauvé des eaux, par Ibrahim Warde (Le Monde diplomat.

Responsable de la rubrique fusions et acquisitions du New York Times pendant dix ans, Andrew Ross Sorkin a, en bon praticien du « journalisme d’accès », longtemps cultivé ses sources à Wall Street et à Washington. Il publie aujourd’hui une chronique détaillée de la crise financière de 2007-2008 à partir de quelque deux cents entretiens avec ses principaux protagonistes, sans compter l’accès à leurs courriels, notes et autres documents personnels. L’auteur réussit la gageure de bâtir un thriller à partir d’une histoire abondamment commentée et dont l’épilogue est connu.

Taille de l’article complet : 581 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ? Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site. Accès sans abonnement. Quand les Etats-Unis se refont une santé, par Olivier Appaix (Le. La bataille politique a duré plus d’un an. Elle a failli couler la présidence de M. Barack Obama. A la fin mars 2010, enfin, la loi élargissant la couverture maladie à trente-deux millions d’Américains sur les cinquante millions dépourvus d’assurance (soit un sixième de la population) a été promulguée.

Il n’était que temps : une étude de l’université de Harvard évalue à quarante-cinq mille le nombre annuel de décès imputables à une couverture médicale insuffisante (1). Dès cette année, les enfants seront les principaux bénéficiaires des dispositions de ce texte de deux mille sept cents pages, les adultes devant attendre 2014 pour en profiter. La couverture du programme public Medicaid (qui prend en charge les plus pauvres et les handicapés) sera élargie ; les paiements pour Medicare, le programme destiné aux plus de 65 ans, seront progressivement réduits. La loi devrait provoquer une modération de la croissance des coûts. M. REGARDS. De quoi cette crise économique est-elle le nom ?

Qui sont les perdants ? Quels territoires souffrent particulièrement ? Pour répondre à ces vastes questions, il est parfois nécessaire de se plonger dans les séries chiffres et les indicateurs économiques (trop souvent épars), avant de pouvoir ensuite trier, analyser et conclure. C’est à cet exercice minutieux que s’est prêté, durant plus d’un an, le chercheur Laurent Davezies (Institut d’urbanisme de Paris, Sciences-Po), spécialisé notamment dans le développement économique et territorial. Son immense travail, commandé par l’Assemblée des communautés de France (AdCF), la Caisse des dépôts et son institut pour la recherche, a abouti à l’écriture d’un rapport intitulé sobrement « La crise et nos territoires : premiers impacts » (1). 352 000 emplois détruits Car si l’impact sur l’emploi paraît « doux » sur l’année 2008, c’est seulement en moyenne : certains secteurs ont été protégés, d’autres surexposés au choc.

Déclin industriel ?