Le syndrome 2004 - Intox2007.info. Au secours: On se croirait en septembre 2007. Posted by Rva in Hollandie L’ami Sarkofrance est devenu blogueur d’opposition. Il a une dent qui a poussé subitement contre Valls. Il n’en reste pas moins quelqu’un de bien (sarkofrance hein..) , personnellement je suis dans l’opposition constructive à cette chose politique molle, que j’ai appelé un jour “Mollchevik“. (more…) l’odieux rapport sur la santé Un odieux rapport sur la santé circule et fait du bruit.
(more…) Lamy du petit déjeuner. Pascal Lamy (encarté PS) est l’ancien directeur général de l’organisation mondiale du commerce. (more…) RTT : la semaine de 4 jours Vu que les courbes attirent la fine fleur de STOOOP BASSSHIIIINGGUEEEEEUUU, passons aux vidéos : (more…) la croisssssaaaaaanceeeueuuuu est laaaaaaaaaaaa Voilà le cri de certains militants que j’apprécie. (more…) Mais quel UMP dénonce les dossiers de Sarkozy ? (more…) BFMTV envahie par le FN à l’insu de son plein gré Petite agitation dans les réseaux sociaux dans la soirée, la nuit etc.
Sortir du recyclage. C’est (très mal) parti pour 2012 ! Bon, ben voilà, l’UMP a pris sa branlée ! Et même si l’Alsace leur a permis d’éviter d’aller embrasser Fanny, le constat est clair et net : le touillage des remugles de “l’identité nationale” et la campagne misérable sur “l’insécurité” ont lamentablement foiré, réveillant l’inévitable Le Pen, sans arriver à cacher le seul vrai enseignement de ce scrutin : la France ne veut plus de Sarkozy et de sa cohorte de minus nuisibles. Point. A la ligne. …mais au fait, quelle ligne ? Car en même temps que les visages déconfits des Bertand et autre Chatel et leurs explications à deux balles nous réjouissaient forcément, bon nombre de “détails” empêchent d’exulter totalement. Le traitement médiatique de la soirée a été scandaleux : un défilé de perroquets d’élevage de l’UMP, alternant avec les has-been du P”S”. Pour ces gens-là, la politique se résume à un quarteron de politiciens “accrédités”. Quelques minables lampistes vont sans doute faire les frais du désastre.
Les électeurs sont désorientés. Epilogue des régionales 2010: douche froide à tous les étages - Le second tour des régionales est terminé. Celui-ci nous laisse une France quasi-inchangée sur le plan politique au niveau régional. Il faut dire qu'Il n'y avait guère de suspense. Bien entendu le sourire affiché, hier soir, par Martine Aubry faisait plaisir à voir, mais celui-ci cachait déjà les vicissitudes à venir au sujet de 2012. Ségolène Royal largement élue à 61 % ressort également comme la grande gagnante de ce match dans le match.
L'abstention et le chiffre du FN étaient, à mes yeux, les seuls chiffres qui méritaient d'être observés. La participation / l'abstention La participation avait été respectivement de 60% et de 65 % au premier tour et au second tour en 2004. Il y' a donc 13 % de français qui votaient habituellement qui ne se sont pas rendus aux urnes. La communication gouvernementale est devenue une véritable source d'inquiétude, puisque la manipulation de l'information est devenue une routine. Le Front National l'UMP Aujourd'hui, on rira volontiers avec la une du Figaro: L'UMP et ses mauvaises langues. Le 14 mars, cela sautait aux oreilles: ministres ou responsables UMP, tous avaient les mêmes mots pour commenter - réfuter - la défaite. A l'origine, une note de trois pages, "Argumentaire premier tour des élections régionales". Elaborée à l'Elysée, validée par le secrétaire général, Claude Guéant, elle a été distribuée aux porte-voix de l'UMP.
Rédigée, la veille, sur la foi des sondages - "La majorité reste (certainement) la première force politique française", peut-on lire ! - elle propose des réponses prêtes à l'emploi, en trois catégories: "Enseignements du premier tour", "Campagne du second", "Eléments de riposte". Ainsi, Nathalie Kosciusko-Morizet déclara sur France 3: "Le grand gagnant, c'est l'abstention. Cela détruit l'argument de la gauche, qui a voulu faire de ces élections un référendum anti-Sarkozy. " La note disait: "L'abstention sera probablement très élevée. Le dimanche suivant, la droite a tiré la leçon: il n'y a plus d'éléments de langage écrits.