background preloader

2013

Facebook Twitter

Plus de 5 millions de personnes inscrites à Pôle emploi à la recherche active d'un emploi. Nouvelle parution des chiffres de l’inscription à Pôle emploi à la fin avril 2013, nouveaux chiffres inquiétants, comme le laissait entendre le premier ministre Jean-Marc Ayrault Le seuil des 5 millions d’inscrits, en catégories A,B et C, en France entière qui était approché (voir Les inscrits à Pôle emploi en recherche active d’emploi ne sont pas 5 millions : heureusement que le mois n’avait que 28 jours ), est maintenant dépassé depuis la fin mars, et nous atteignons fin avril les 5 095 700 inscrits Pour la première fois depuis longtemps, la situation se dégrade plus pour les jeunes , + 2 %, en un (catégorie A) , que pour les seniors, 1,1 %. et une nouvelle fois la durée moyenne d’inscription augmente, d’une journée, pour atteindre 486 jours.

En un an, le nombre de jeunes inscrits en catégorie A augmente dans toutes les régions, en métropole comme outre-mer,avec un record de hausse en Bretagne , où elle atteint 19 % en un an. La stratégie de Sarkozy pour revenir en 2017365 mots. >>> Accéder au Tumblr « Sarkozy chaque semaine« Fin janvier 2012, quelques mois avant l’élection présidentielle, Nicolas Sarkozy annonçait aux médias ce qui, à l’époque, était une première : « En cas d’échec, vous n’entendrez plus jamais parler de moi. » En effet, c’était la première fois que le président évoquait clairement l’hypothèse d’une défaite, alors qu’il était au plus bas dans les sondages. Quelques mois plus tard, le 6 mai 2012, la défaite arrivant, Nicolas Sarkozy annonçait que sa carrière politique était terminée et qu’il allait désormais intervenir sous une toute autre forme. Pas une seule semaine sans présence médiatique de Sarkozy depuis sa défaite Depuis ce jour, et jusqu’à aujourd’hui, les médias continuent de parler de ce très bruyant « silence médiatique » que se serait imposé l’ancien président.

En cas d’échec, vous n’entendrez plus jamais parler de moi. Une stratégie habile pour un retour inéluctable en 2017. Vite dit. Moscovici, l’homme qui ne veut pas désespérer le Fouquet’s. Pierre Moscovici, actuel ministre de l'Economie et des Finances - Luigi Mistrulli/ Sipa Pre/SIPA Pierre Moscovici n’a pas de chance. Non seulement il porte à bout de bras l’affaire Cahuzac, non seulement il lui faut assumer une politique économique qui fabrique à la fois la récession et le chômage (ceci expliquant cela), mais en plus il doit assumer le virage qui a fait des grands patrons « ennemis » d’hier les amis d’aujourd’hui. On en aurait le tournis à moins. C’est donc désormais officiel : il n’y aura pas de loi sur l’encadrement des salaires des grands patrons. Celle-ci avait pourtant été promise dans le feu du scandale des rémunérations de nababs qui agrémente l’histoire du CAC 40.

Carlos Ghosn, PDG de Renault Nissan - Hiroshi Adachi/AP/SIPA On n’en parlera plus. « Pardon d'avoir été aussi long... » François Hollande l’a dit, il n’est « plus un président socialiste ». Nous avons donc vu, hier à la télé, « le président de la France » nous détailler le contenu de sa « boîte à outils ». Avec trois mauvaises nouvelles à la clef. Sûr de son cap, dont il a dit qu’il n’entend pas dévier – « deux ans pour redresser, trois ans pour se dépasser » (?) –, François Hollande a égrené le contenu de sa « boîte à outils » de petit gestionnaire pour « inverser la courbe du chômage à la fin de l’année » : emplois d’avenir, contrats de génération, pacte de compétitivité, réforme du marché du travail... Deux aveux de taille dans ce fatras Le chef de l’Etat reconnaît avoir devancé les désirs des marchés financiers, confirmant que « Mon ennemi c’est la finance » c’était avant...

François Hollande a bel et bien changé de costume : « Je ne suis maintenant plus un président socialiste, je suis le président de tous les Français, je suis le président de la France. » Trois mauvaises nouvelles Un rêve centriste.

Les cadeaux aux entreprises

L'impasse. L'homme de l'austerité. Du Hollande Bashing au Hollande Loving grâce à la guerre.