“Ecrire pour Google” : une chance pour la publicité, un risque p. La suite de la présentation et l’essentielle de la discussion qui a suivi, a tourné autour du rôle prépondérant de Google. Acteur majeur du marché, il inquiète les éditeurs et les agences de pub tant sa puissance chamboule la chaîne traditionnelle qui peine déjà à s’adapter à l’Internet. Les régies craignent de devoir s’effacer devant l’acteur commercial prédominant (Google) et les médias hésitent à confier leurs ressources à un acteur unique dont les pratiques sont mal comprises.
Google pourrait d’ailleurs être auditionné, dans une forme qui reste encore à définir, a expliqué Bruno Patino. Dans ce contexte, les publicitaires s’inquiètent de l’absence de concurrence face à Google. Pour Guillaume Multrier, PDG de Isobar, la profusion d’offre d’information sur Internet n’est pas en faveur des médias traditionnels qui ne parviennent pas à « faire la différence » par rapport à ses concurrents « pure players ». Cette logique impacte notamment l’écriture et les contenus. Like this: Dynamisation_editoriale_EDemaziere.pdf (Objet application/pdf) Les titres qui font cliquer - Plume Interactive. 24 juin 2008 Les titres qui font cliquer Durant 6 ans, le spécialiste du contenu Gerry McGovern a conduit un test sur plusieurs intitulés. Il a demandé à 3000 personnes dans 14 pays de scanner 31 titres et 18 chapôs et de choisir rapidemment ceux qui se distinguaient pour eux.
Les sujets étaient :Le lancement de iTunesLa sortie du dernier Harry PotterUne alerte sur de la nourriture pour animaux Les meilleurs scores : "Tons of tunes" (20%) - Des tonnes de mélodies"Flying off the shelves" (31%)- Envolée depuis les rayons "Poison found in pet food " (30%) - Du poison trouvé dans des croquettes pour animaux Le pire (0%) : Les meilleurs chapôs étaient les suivants : "99 cents per download, no restrictions. Les pires (0%): The music industry owes a lot to technology. Conclusion : les accroches qui fonctionnent le mieux sur le web ont une caractéristique commune, elles sont centrées sur les besoins des consommateurs. Lire l'interview exclusive de Gerry McGovern sur ce blog. Commentaires. Comment les internautes lisent-ils en ligne ? - Plume Interactiv. L'étude Eyetrack07 : points clés Sur Internet, les gens ne lisent pas comme sur le papier. Pour vous adapter aux habitudes de lecture online, je vous conseille les études Eyetrack et surtout Eyetrack07 qui compare lecture en ligne/papier.
Le mieux c'est de l'acheter mais pour les plus pressés, voici un résumé de ce qu'il faut savoir. L'étude EyeTrack III menée en 2003 avait révélé trois points importants: - Contrairement à l'édition papier, les internautes entrent dans une page via le texte et non les photos. - Les lecteurs en ligne sont impatients. - Les lecteurs scannent le contenu mais deviennent particulièrement méthodiques et attentifs lorsqu'ils lisent un article qui les intéresse. L'étude EyeTrack07, menée en 2007 avec 605 personnes sur les sites www.sptimes.com et www.startribune.com, nous apprend les éléments suivants : - Les internautes scannent le texte à 53% - Le deuxième coup d'oeil des internautes sur la page web va : 1- aux titres des articles 2- aux publicités.
Christian Fauré — Bonnes et mauvaises pratiques de l’écriture hy. Le respect des standards du web pour une meilleure accessibilité passe aussi par une meilleure pratique des liens que nous faisons tous les jours. A ce titre, les choix que nous faisons dans les mots et les expressions qui servent de base à un lien hypertexte sont importants. Je vais tout de suite donner un exemple de « ce qu’il ne faut pas faire » avec un extrait du dernier billet d’Olivier Ertzscheid, intitulé « Le politique et son reflet motorisé : jusqu’ici … tout va bien « (désolé Olivier mais c’est de ta faute : tu es trop bien placé dans mon fils RSS). Voici donc comment commence son texte : Vous souvenez-vous du débat télévisé entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy ?
Vous souvenez-vous, dans ce débat, de l’épisode sur l’EPR de 3ème génération ? Dans cet extrait, l’expression « rafraîchir la mémoire ici » sert de support au lien qui va pointer vers un article évoquant le débat télévisé et cette « tentative de redocumentarisation déviante ». Pourquoi cela ne va pas ?