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Cloud computing

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Amazon perdrait de l’argent dans le cloud computing. Amazon Web Services, le bras armé d’Amazon dans le cloud computing, a beau dominer le marché, il peine toujours à gagner de l’argent.

Amazon perdrait de l’argent dans le cloud computing

C’est du moins ce que révèle une analyse de Citi Research dont les éléments sont repris notamment par le journal en ligne Business Insider UK. Amazon ne détaille pas ses résultats financiers par activité (e-commerce, cloud computing…). Du moins jusqu’à maintenant. Mais les analystes de Citi Research se sont employés à décomposer ses revenus et ses résultats sur cinq années de 2012 à 2016. Leurs estimations ont de quoi surprendre. Alors que le chiffre d’affaires d’Amazon Web Services aurait bondi de 43 % en 2014 pour atteindre 4,5 milliards de dollars, l’activité demeure dans le rouge avec une perte de 128 millions de dollars. Une situation paradoxale Cette situation pour le moins paradoxale, Citi Research l’explique par l’obsession d’Amazon Web Services de privilégier la croissance au détriment de la rentabilité.

Fin de l’opacité des comptes Ridha Loukil. VMware est attaqué en justice car il s'approprierait du code libre. Depuis plusieurs années, VMware est dans le collimateur de quelques contributeurs au développement du noyau Linux, parce qu'il violerait les termes de la licence GPL.

VMware est attaqué en justice car il s'approprierait du code libre

L'un d'eux a décidé de porter plainte. Christoph Hellwig, contributeur très actif au développement du noyau Linux, a porté plainte contre VMware en Allemagne. Le développeur accuse l'américain, leader mondial de la virtualisation, d'utiliser dans son hyperviseur ESXi (une plateforme qui permet à plusieurs systèmes d'exploitation de travailler sur une même machine physique en même temps) des parties du code qu'il a lui-même écrites, et sous licence GPL v2. VMware est accusé de s'accaparer du code libre dans son hyperviseur ESXi - Crédit : VMware. Giga, le petit français du partage de fichiers dans le cloud qui fait mieux que Mega.

01net. le 08/05/15 à 10h24 Giga plus fort que Mega ?

Giga, le petit français du partage de fichiers dans le cloud qui fait mieux que Mega

Mathématiquement oui, mais dans les faits que vaut Giga, le nouveau service en ligne de Gigatribe, qui propose déjà une service de partage de fichiers entre amis ? Giga combine, lui, stockage sécurisé de fichiers dans le cloud et partage de contenus entre amis. Il se situe quelque part entre Dropbox, Facebook et… Mega. © Josep Baijet - CC Attrition Generic 2.0 - Modified Comment ça marche ? Une fois inscrit, l’utilisateur envoie ses images, vidéos, livres numériques ou tout autres documents sur son espace personnel, qu’il gère à sa guise. Cisco renforce sa communication dans le cloud. Cisco vient d’annoncer l’acquisition de Tropo.

Cisco renforce sa communication dans le cloud

Cette société californienne créée il y a 6 ans et basée à Menlo Park propose une plate-forme-as-a-service de développement pour mettre en œuvre facilement des applications de communication. Selon la société, la solution permet d’installer simplement des fonctionnalités de téléphonie, messagerie, conférence avec retranscription des échanges, enregistrements vocaux, etc., en s’appuyant sur leurs API. Pas moins de 200 000 développeurs s’appuieraient sur ses services. Outsourcing : l'externalisation IT fléchit en Europe au T1 2015. Cloud : les news, dossiers et analyses.

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Cloud : les news, dossiers et analyses

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Cloud Computing : pas de croissance sans confiance !

Mais sa mise en œuvre implique une relation de confiance avec les prestataires. Un enjeu dans lequel l'Europe a un rôle à jouer. Le Cloud Computing est devenu en quelques années l’un des principaux moteurs de la numérisation de l’économie. D’après l’édition 2014 du Cloud Index PAC, ce sont ainsi 29% des entreprises françaises qui utilisent aujourd’hui l’informatique « en nuage ». Et ce marché, qui atteignait déjà 5 milliards d’euros à la fin 2014 en France, devrait poursuivre sa progression pour atteindre 7 milliards d’euros en 2018. Pourtant, le développement du Cloud Computing est freiné par les inquiétudes légitimes qu’il suscite en matière de maitrise des données : pour 48% des personnes interrogées, la sécurité constitue la première raison de se tenir à l’écart de ces technologies.

Au fait, où en sont les deux "champions" du cloud à la française ? Cloudwatt s'est d'abord égaré dans sa stratégie, pour se ressaisir à l'été 2014, après avoir changé de PDG.

Au fait, où en sont les deux "champions" du cloud à la française ?

Sa « sœur », Numergy, a mieux réussi. Mais les deux clouds souverains restent loin des objectifs. L'État français a allumé la mèche du cloud français à l'automne 2012 en y injectant 150 millions d'euros, au nez et à la barbe d'acteurs existants et bien établis tels qu'OVH et Ikoula. Deux ans plus tard, le pétard mouillé a en partie explosé en vol : Orange est entré en négociations pour reprendre 100% du capital de Cloudwatt, dont il possède déjà 44,4% - aux côtés de Thalès (22,2%) et de la Caisse des Dépôts (33,3%).