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Politique Sarko

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Logement étudiant, des promesses à revendre. Toute la chaîne de l’habitat est en crise, des HLM à l’immobilier résidentiel, et le logement étudiant n’échappe pas à cette réalité. Il est même l’un des principaux révélateurs des difficultés qu’éprouvent les gens à trouver un toit à des prix abordables pour leur budget. Les étudiants sont les premiers à se heurter aux loyers excessifs dus à à la pénurie locative, en dépit d’un début de rattrapage dans la construction de résidences universitaires, à partir de 2006. Mais c’est encore très insuffisant. Il y a «un besoin toujours plus urgent en logement étudiant», a reconnu Valérie Pécresse lors d’une conférence nationale consacrée, hier, à cette question au centre Pompidou, à Paris. Dans la foulée, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a annoncé vouloir «doubler», «d’ici 2020», le nombre de logements réservés aux étudiants.

«Nous avons aujourd’hui 340 000 logements spécialement dédiés aux étudiants. Qu’est ce qui a déjà été fait ? Tonino SERAFINI. Quand les logements empoisonnent leurs occupants. L’environnement intérieur d’un logement devenu insalubre peut rapidement impacter la santé de ses habitants. À tel point que des Conseillers Médicaux en Environnement Intérieur (CMEI) peuvent être dépêchés au domicile de personnes allergiques, asthmatiques ou souffrant de problèmes. Moisissures, champignons… Il ne fait pas bon vivre à proximité de ces organismes qui se développent préférentiellement dans les espaces humides. D'autant que certains sont toxiques et peuvent entraîner des pathologies pulmonaires. L'habitat en cause Depuis plusieurs années, sur prescription médicale, un Conseiller Médical en Environnement Intérieur (CMEI) peut venir investiguer au domicile du patient.

Analyse scientifique Une fois prélevées par le conseiller, les moisissures sont identifiées par des labos compétents à l'instar du Laboratoire d'Hygiène de la Ville de Paris (LHVP) en pointe en la matière. Le PTZ+ bénéficie surtout aux riches. La seconde mouture du Prêt à Taux Zéro a eu plus de succès que la première : le 100.000ème PTZ+ a été signé lundi et la ministre du Logement, Nathalie Kosciusko-Morizet, espère atteindre dès la fin de l'année les 380.000 dossiers. Pourtant, contrairement à son objectif initial, les ménages les plus modestes ne représentent qu'une faible part des bénéficiaires. Le PTZ+ n'est en effet désormais plus soumis à des conditions de ressources. Les premiers résultats "démontrent que ce sont les classes moyennes qui bénéficient pleinement du PTZ+", affirme Benoist Apparu, secrétaire d'Etat au Logement.

Pourtant de nombreux prêts ont été accordés aux ménages des tranches supérieures de revenus. La moitié des PTZ+ sont accordés à des foyers qui auraient eu les moyens d'acheter autrement mais qui ont trouvé là un moyen d'alléger un peu leur facture. Les ménages les plus modestes (tranches de revenus de un à trois) représentent eux seulement 20% des bénéficiaires du PTZ+. Le Sénat adopte à son tour la proposition de loi sur l'habitat informel dans les DOM. Moins d'aides de l'État pour le logement social. Désengagement de l'État En 2011, l'État accorde à Rennes Métropole une enveloppe de 2 635 601 € en faveur du logement social, en régression de 42,5 % sur l'enveloppe 2010.

Dans le même temps, il met en place une nouvelle taxe censée rapporter 245 millions d'euros, sur le plan national, dès 2011. Ce qui revient à 58 € par logement HLM. « La baisse de notre dotation, et c'est valable pour toute la Bretagne, est de plus du double de celle observée au niveau national », analyse Guy Potin, vice-président de Rennes Métropole délégué à l'habitat. Basée sur un double constat : les marchés de l'immobilier y sont moins tendus et elle offre une bonne réponse aux relogements sociaux prioritaires. « On avance parce qu'on pédale, mais si on nous enlève les moyens de pédaler... », déplore Guy Potin. Plan local de l'habitat (PLH) Mis en place en 2005, le PLH de Rennes Métropole prévoit « la production massive et diversifiée de logements sur le territoire ».

La nouvelle demande reste forte. Le 1% logement financera - aussi - le logement des jeunes. Nouvelles-hausses-de-loyer-en-vue-11217. L'IRL aligne une cinquième hausse consécutive (©© jerome DELAHAYE - Fotolia.com) L'IRL a progressé de 1,6 % au premier trimestre. Cette hausse, la plus forte depuis deux ans, autorise, sous certaines conditions, les propriétaires bailleurs à relever les loyers qu’acquittent leurs locataires. (LaVieImmo.com) - Mauvaise nouvelle pour les locataires. L’indice de référence des loyers (IRL) de l’Insee, qui fixe les variations des loyers dans le secteur privé, s’est établi à 119,69 au premier trimestre 2011, en croissance de 1,6 % par rapport aux 117,81 des trois premiers mois de l’année dernière. Cette hausse, la cinquième consécutive, est aussi la plus forte depuis le premier trimestre 2009. Rien de bien surprenant dans cette évolution : depuis le premier trimestre 2008 l’IRL est indexé sur l’inflation.

Il faut savoir que l’IRL n’impose rien. La publication de ce matin concerne les baux prévoyant une révision du loyer entre le 15 avril et le 15 juillet. Vente de logements sociaux : les élus en colère , Cuverville 13/05/2011. Loi SRU – Montant des amendes. En 2010, les prélèvements bruts ont représenté une somme de 76 M€ de laquelle ont été déduites les dépenses dites déductibles, exposées par les communes pour la réalisation de logements sociaux. Ainsi, l’année passée, les prélèvements nets réellement effectués se sont élevés à 31 M€. Près des deux tiers des prélèvements ont été reversés aux établissements publics de coopération intercommunale dotés d’un programme local de l’habitat afin de financer des acquisitions foncières et immobilières en vue de la réalisation de logements locatifs sociaux.

À défaut, ils sont reversés aux établissements publics fonciers ou aux fonds d’aménagement urbains régionaux. En aucun cas, ces prélèvements ne viennent abonder le budget de l’État. Concernant le renforcement des sanctions à l’égard des communes ne participant pas à l’effort de rattrapage en matière d’offre locative sociale, les outils existent déjà pour les inciter à davantage de mobilisation. The # logement Daily. Encore une proposition pour modifier le calcul des 20% de logements sociaux.

Nouvelle attaque de l'UMP contre la loi SRU. Après la vive attaque contre les minimas sociaux qui, selon M.Wauquiez et quelques autres de la « droite sociale » (on appréciera au passage cet oxymore amusant), devraient être réduits dans leur montant et soumis à une condition d’activité obligatoire non rémunérée, voici que l’UMP veut de nouveau réduire le pourcentage obligatoire de création de logements sociaux dans les communes. Une proposition de loi déposée par une cinquantaine de députés de la majorité vise en effet à modifier le calcul des 20% de logements sociaux contenu dans l’article 55 de la loi SRU.

La manœuvre a pour but de faire inclure dans le quota des 20 % l’accession sociale à la propriété les logements acquis au moyen du « PTZ+ » qui est pourtant un dispositif universel bénéficiant à l’ensemble des ménages (même si son montant tient compte des revenus du foyer) et qui n’est donc pas un moyen d’accession sociale.