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Mal Logement

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Mal-logement : "On ne peut pas ne pas trouver de solution" - Interview. L'APU Moulins dénonce la loi Dalo. Publié le mercredi 12 octobre 2011 à 06h00 L'Atelier populaire d'urbanisme (APU) a profité de l'audience au tribunal administratif de trois familles adhérentes, hier, pour dénoncer les insuffisances de la loi Dalo et le manque de logements sociaux. JULIEN GILMAN> julien.gilman@nordeclair.fr Trois affaires en audience le même jour, l'occasion d'une tribune était trop belle pour la laisser passer. « La finalité, pour ces familles, ce n'est pas de se retrouver au tribunal, mais d'obtenir un logement », assure néanmoins la directrice de l'APU Lille-Moulins, Caroline Boy. Deux d'entre elles ont pourtant reçu une proposition de relogement depuis qu'elles ont déposé leur recours contentieux, en juillet dernier. « On se réjouit, on ne va pas cracher dans la soupe, affiche Caroline Boy.

L'APU dénonce ainsi l'effet pervers d'une loi qui institue une obligation de résultat dans l'attribution de logements, mais qui, dans les faits, rallonge le délai d'attente des familles. Ils se battent pour le droit au logement - Tarn-et-Garonne. Ils étaient une bonne quarantaine, tous regroupés sous la bannière unitaire de RESF 82 (Réseau éducation sans frontières), à manifester juste devant l'école Hugues-Panassié dans le quartier de Sapiac, hier en fin d'après-midi.

Une manif pour que le droit au logement pour tous devienne réalité. Myriam Nacef, porte-parole du collectif, relevait : « C'est symboliquement que nous manifestons devant cette école car il y a plusieurs logements de fonction qui sont inoccupés depuis plusieurs semaines. Dans un département où près d'une vingtaine de familles et 160 personnes sont sans toit, ce genre de situation ne doit pas exister. Nous avons décidé d'interpeller les élus locaux et les pouvoirs publics afin qu'ils réagissent pour faire évoluer la situation.

Son fils tombe malade dans le logement insalubre. Dans ce T3 de l’Impasse de Lignan à Béziers, le fils de Stéphan est tombé malade. La faute, selon le locataire des lieux, à une trop grande exposition à l’humidité, aux moisissures et peut-être au plomb contenu dans les peintures. Pour ce dernier point, des analyses sont en cours. "Nous avons passé un an et demi dans cet appartement car nous ne trouvions rien de mieux. Mais en attendant, le propriétaire - injoignable - perçoit un loyer de 500 € par mois. 445 lui sont donnés par la Caf qui continue à lui payer son dû malgré tout ce que nous avons dénoncé. Nous ne comprenons pas que cet organisme loue de tels logements", insiste ce père de famille. Samedi dernier, toute la famille a quitté les lieux pour se retrouver dans un appartement digne de ce nom et où surtout, il n’y avait pas de trace d’une quelconque anomalie. "Nous pensions être enfin tranquilles.

Pour toutes ces raisons, Stéphan a fait appel à un avocat pour poursuivre ce loueur indélicat. Près de 3 millions de mal-logés en France, est-ce que cela intéresse un candidat à la présidentielle ? Pour faire bouger les choses, il faut parfois pointer du doigt la zone sensible. Près de 3 millions de personnes sont actuellement en attente d’un logement… Autant d’électeurs potentiels pour un candidat à la présidentielle qui prendrait ce problème national à bras le corps ! Fini le cliché du SDF à la rue. Les mal-logés aujourd’hui, sont monsieur et madame tout le monde.

Ils sont chômeurs, retraités, femmes avec enfants, divorcés, employés ou travailleurs pauvres comme on les appelle politiquement parlant. Aujourd’hui, plus personne ne conteste le manque criant de logements : il faudrait en construire 900 000 pour répondre à la demande. Jeunes, familles monoparentales, personnes âgées… la crise du logement n’épargne personne. Pour rappel, le logement est le premier poste de dépense des ménages.

Combien de personnes aujourd’hui se retrouvent à la rue ou à deux doigts de l’être par impossibilité de pouvoir se loger ? Des situations dramatiques, nous n’en connaissons que trop. Mon Blog ICI. A Toulouse, un centre d’urgence réquisitionné en toute illégalité. Logement : Le cri d'alarme du Nouvel Observateur. Les travailleurs sociaux sont débordés. Lundi matin, en entrant dans leurs locaux, les salariés du Service intégré d'accueil et d'orientation (SIAO), rue de Belle-Fontaine, ont été surpris. Trois familles albanaises dormaient à l'intérieur du bâtiment. Elles y ont passé tout le week-end. Le personnel avait oublié de fermer une des portes. « Quand nous sommes arrivés, les enfants dormaient par terre, sur les tapis », témoigne Sophie Guyvarch, employée du SIAO. « Désengorger les services à Rennes » Pourquoi et comment ces familles sont-elles arrivées là ?

Depuis le 11 juillet dernier, à la suite des directives nationales, leur mission a changé. « Aujourd'hui, on nous demande de gérer des dossiers de demande d'asile mais, à la base, ce n'est pas notre travail, explique Sophie Guyvarch. . « Une situation inadmissible » Loïc Tandé, délégué du personnel, voit dans cette nouvelle mission une façon de « désengorger les services à Rennes et diffuser le problème sur toute la Bretagne. . « Cette situation est intenable. Manifestation pour l’hébergement. Quand Benoist Apparu minimise les manques de l'hébergement d'urgence. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Eric Nunès "Il est hors de question qu'une seule famille se retrouve à la rue.

Un enfant ne dort pas dehors, en France, en 2011" déclarait au Monde.fr, le 20 juillet, Benoist Apparu, secrétaire d'Etat chargé du logement. Ce même jour, l'observatoire de la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (Fnars) procédait à une enquête sur les réponses données aux personnes à la recherche d'un hébergement d'urgence. Les conclusions de cette étude, publiée mardi 26 juillet, révèlent que les trois quarts des parents avec enfants qui sollicitent le 115 reçoivent une réponse négative à leur demande, laissant sans hébergement plusieurs centaines d'enfants. L'enquête de la Fnars a été réalisée à la suite du coup de gueule – accompagné de sa démission – du fondateur du Samu social, Xavier Emanuelli. Interrogé sur le nombre croissant de familles qui se retrouvent à la rue, Benoist Apparu minimise considérablement la situation.

"Il faut mettre en place un plan d'urgence pour soutenir les sans abri en Ile-de-France" Mal logement: la justice châtie un marchand de sommeil. Quatre ans de prison ferme assorti d'un mandat d'arrêt pour le prévenu principal. Cinq mois fermes pour son frère. Une amende de 34000 euros en faveur de la ville, pour préjudice moral, financier et matériel. 500 euros d'indemnités pour les locataires qui se sont portés partie civile.

Vendredi soir, le tribunal de grande instance de Bobigny a eu la main lourde contre un marchand de sommeil. Une décision en forme de jurisprudence qui change la donne pour tous ces propriétaires de taudis qui profitent de la misère pour louer au prix fort leurs logements aux plus faibles. (à lire: 8 millions de mal logés en France) C'est exactement ce que faisait M. M'Bodj de ses 21 chambres à Clichy-sous-bois, toutes insalubres et transformées pour être louées à prix d’or à des familles en situation de grande précarité. Un marchand de sommeil en fuite Une affaire de famille M. 480 euros par mois le réduits miteux L'action de la ville de Clichy-sous-bois. 15.000 logements au bord du scandale. À Marseille, 15.000 logements sont menacés par de multiples pratiques douteuses.

Un rapport officiel, très discret, en fait un inventaire alarmant. Pour l'heure, la ville tente d'éviter le scandale. C’est désormais prouvé : la ville de Marseille gère ses HLM en multipliant irrégularités, embrouilles, et mauvaises manières. Un rapport de la Mission Interministérielle d’Inspection du Logement Social (Miilos), diffusé en petit comité, dresse un bilan accablant des activités de Habitat Marseille Provence (HMP), l’un des plus gros bailleurs sociaux de la ville. 15.000 logements sur l’ensemble du territoire marseillais. Le rapport, achevé en janvier dernier, a été remis à quelques décideurs. Mais sans provoquer de réel changement dans la gestion de HMP, un office public dirigé par la municipalité. OWNI a décidé de mettre en ligne ce document, dans son intégralité (voir ci-dessous).

HMP précise qu’il « prend acte des constats de la mission et qu’il poursuit » ses efforts. Levallois: les mal logés chez les Balkany - 05/05/2011. «Non aux vrais-faux logements HLM!» C'est derrière ce mot d'ordre accusateur qu'une centaine de mal logés ont pris d'assaut le hall de l'hôtel de ville de Levallois ce jeudi en fin de matinée. Les militants du Collectif des mal-logés reprochent à la municipalité gérée par Patrick Balkany de favoriser la constrution de «logements sociaux en trompe-l'oeil». Des appartements achetés par des investisseurs puis confiés à Logirep avec l'assurance de les récupérer dans le domaine privé dans quinze ans. Ce dispositif baptisé «usufruit locatif social» permet à la ville de compléter ses quotas de logements sociaux dans le cadre de la loi SRU. L'humiliation d'une recherche de logement, humilié par mon salaire de smic, humilié par les demandes de cautions parentales à 30 ans - clavie sur LePost.fr (07:41)

Je suis toujours dans ma studette de 11 mètres carrés. Et pourtant j'ai cherché à quitter ma studette. Je parle au passé car faire une recherche de logement est assez épuisant, fatiguant, prenant du temps pour finir décevant.. Toujours les mêmes problèmes. Des loyers excessifs, des demandes de justificatif complétement hallucinant sans parler que beaucoup demande une caution parentale. Pour ma studette le propriétaire m'avait aussi demandé une caution parentale. A chaque visite de petit appartement c'est la honte, l'humiliation en règle. Humiliation d'avoir un petit salaire, humiliation quant on me demande à 30 ans une caution parentale. Je n'en peux plus de vivre ça chaque jeudi soir, samedi matin lors des visites de logement. J'ai abandonné les recherches, marre d'être dévisager, des fois envisager par le "maitre des lieux" qui se prend pour un tout puissant. J'ai visité des apparements en banlieue.

Certains demandent des justificatifs hors la loi. Voici comment ça se passe. 15,69 % des logements sont inoccupés en ville. Es volets fermés, des murs délabrés et des maisons murées… La rue de Bordeaux donne une piètre image de la cité des Valois. Elle n'est pas la seule. Ici et là, les « verrues » sont nombreuses. « Environ 1 000 locaux sont classés en catégorie 7 et 8, soit très médiocre et mauvaise. Cela représente 3,6 % des logements et des locaux à usage professionnels », nous apprend un rapport de l'Observatoire fiscal de la Ville d'Angoulême (lire ci-contre). Ce document de 22 pages - présenté lors de la dernière réunion du Conseil municipal - fait un constat plus inquiétant encore : la part très élevée de logements vacants (15,69 %), deux à trois fois plus importante que la moyenne nationale (6,36 %).

Un fichier de la Direction départementale des finances publiques recense 1 253 maisons et 3 018 appartements non occupés et vides de meuble le 1er janvier 2010. Soit un total de 4 271 logements vacants. « Pour une ville comme la nôtre, c'est énorme », reconnaît Philippe Lavaud, le maire.