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Open Data

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Module 2 doctorants 022013. Web Open-Source et modulable à Montpellier – We make data porn : Les données sont toujours fausses. L’Open-Data, c’est avant tout des données. Dans un monde parfait, ces données seraient toujours à jour, vérifiées et croisées avec les autres jeux de données, seulement voilà : nous ne vivons pas dans un monde parfait ! En tant que développeur devant utiliser des jeux de données issus de l’Open-Data, comment s’en sortir avec des données probablement fausses, incomplètes ou non unifiées ? Pourquoi les données doivent être considérées comme «toujours fausses» ? Pour quelles raisons le sont-elles presque toujours ?

Ce premier article de la série «We make data porn» va tenter de répondre à ces questions. Pourquoi les données sont fausses ? Je ne dis pas que les gestionnaires de jeux de données sont incompétents, mais qu’il relève du tour de force d’obtenir des données cohérentes avec les processus de publication couramment utilisés.

Les collectivités n’ouvrent pas des données en claquant des doigts. Déterminer les jeux de données de base qui seront communs aux autres jeux de données. Open Data : Où en est-on. Claire Gallon de LiberTIC, l'association nantaise de promotion de l'ouverture des données publiques (@LiberTIC), et Charles Nepote du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) (@CharlesNepote, @la_fing), principaux coorganisateurs de la Semaine européenne de l'Open Data qui avait lieu à Nantes du 21 au 26 mai 2012, ont commencé par poser un état des lieux assez complet du mouvement de réutilisation des données publiques.

Ce que l'Open Data a réalisé Le mouvement pour la réutilisation des données publiques est un mouvement mondial né début 2009 et qui a connu une forte accélération en 2010-2011, estime Charles Nepote. Image : la carte de France de l'Open Data maintenue par LiberTIC, version 4, mise à jour janvier 2012. Pourtant "si le mouvement commence à se structurer, force est de reconnaître que nous en sommes encore au temps des pionniers", souligne Charles Nepote.

Les défis à venir de l'Open Data En effet. Hubert Guillaud. Comment appliquer l’Open data à la Culture ? Une rencontre culture, patrimoine, open data et open content s’est déroulée jeudi 19 avril à la Cantine Numérique. Une trentaine de personnes étaient présentes, réunis autour de représentants de quatre acteurs culturels rennais (les Archives municipales, la Bibliothèque Rennes Métropole, la Criée et Transmusicales). L’occasion était donnée d’entamé des réflexions collectives autour des données et contenus ouverts, mais aussi des utilisations possibles dans l’avenir. Lire le compte-rendu de la rencontre par @Exirel et @Auregann : Nous avons commencé par rappeler rapidement les concepts d’open data (données ouvertes) et open content (contenus ouverts) qui se basent sur trois critères principaux afin que ces données et contenus soient accessibles et réutilisables : – l’accès en ligne à ces données / contenus – des formats ouverts, réutilisables, interopérables – une licence libre qui autorise le plus possible les réutilisations When should I visit ?

Ces groupes avaient deux objectifs : Au fait, qui sera le prochain ministre de la Culture ? XEnvoyer cet article par e-mail Au fait, qui sera le prochain ministre de la Culture ? Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Fermer Culture Peu importe son nom, seule sa marge de manoeuvre importe. Qui sera le prochain ministre de la Culture ? Peu importe son nom, seule sa marge de manoeuvre importe. Depuis combien de temps lobbies et immobilisme budgétaire ont-ils réduit le ministère de la Culture au rang de gestionnaire des affaires courantes ? Sous Jospin, déjà, Catherine Tasca et Catherine Trautmann ne parvinrent pas à faire oublier Jack Lang, qui a “tué le job” comme dit Nicolas Sarkozy à propos de lui-même et du ministère de l’Intérieur. Ces lignes sont écrites une semaine avant le premier tour et sauf coup de théâtre, la droite semble éli-minée.

Qui parmi les noms dont on parle est capable d’insuffler un élan Rue de Valois ? Recul Sous Sarkozy 1, la culture française a reculé. Marie-Christine Blandin Une vraie possibilité. L'"open data", un outil pour la transparence des administrations. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Léchenet "Bien informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés ils deviennent des sujets" La phrase d'Alfred Sauvy, démographe français du XXe siècle, résume dans l'esprit le sujet de l'accès aux données.

En donnant la capacité aux citoyens d'être informés sur la vie de la cité, notamment par la lecture et la manipulation des données publiques, leur compréhension est améliorée. L'"open data", une mise à disposition des données publiques. Les données recouvrent aujourd'hui de larges champs, des détails sur la fiscalité au nombre de lampadaires dans une ville. La proposition de Nathalie Kosciusko-Morizet annoncée le 17 novembre s'inscrit dans ce cadre. Quelques collectivités montrent l'exemple. Data.gouv.fr, un projet de plateforme "open data". Surtout que le développement de la plateforme devient une dépense accessoire. Dans ses missions figure la mise à disposition des données des collectivités locales qui le souhaitent.

Open Data : L’avenir de la réutilisation des données publiques. Alors que le 6 décembre 2011 devrait enfin ouvrir le portail de données publiques de l'Etat français (plus de 2 ans après l'initiative américaine Data.gov), nous vous proposons de faire un rapide point sur "l'open data", ce mouvement d'ouverture des données publiques, qui vise à rendre accessible, dans un format lisible tant par les humains que les machines, des ensembles de données publiques. A quoi cela sert-il ? Qui cela sert-il ? A l'heure où de nombreuses collectivités territoriales françaises ont commencé à développer des portails d'informations et à libérer des jeux de données, il est temps de revenir sur les enjeux de la réutilisation des données publiques tant pour l'action publique que pour le simple citoyen.

En préfiguration de Lift (en juillet 2011) avait lieu l'Open Data Garage, une journée d'ateliers et de conférences qui a permis de faire le point sur les initiatives open data françaises. Un monde de données réutilisables Les données sont partout. Quel impact économique ? Open Data : j'ai tout compris ! Quelle identité numérique pour une institution publique ? J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes Les enjeux de l’identité numérique des individus sont de mieux en mieux compris, analysés et outillés, comme en témoigne le document de référence publié sur cette question : « cultivez votre identité numérique« . Pourtant, il me semble que le sujet n’est jamais abordé sous l’angle de l’institution.

Il y a là un sujet vraiment essentiel. En réalité, je pense que cette question du rapport entre dissémination et « logique portail » ne peut se résoudre de manière satisfaisante qu’en posant au préalable celle de l’identité numérique qu’une bibliothèque doit adopter en tant qu’institution. Bien sûr il y a DES réponses à ces questions. 1. Les bibliothèques ont tendance à pratiquer ce qui semble le plus évident : l’identité numérique de la bibliothèque = le logo de l’institution. 2. 4. 10 bonnes raisons pour que les communicants publics s’intéressent (enfin) à l’open data. Open data, ouverture des données publiques, libération des données… Autant de mots qui commencent à fleurir dans le champ sémantique des collectivités. Et pourtant, chaque fois que j’aborde le sujet avec un communicant public, j’obtiens peu ou prou toujours la même réponse, de l’ordre du “Heiiiiin ????”

[soupir…] L’open data, késako ? Je n’ai pas vocation dans cet article à vous faire un exposé complet sur les tenants et aboutissants, les leviers et les freins de la libération des données publiques ; d’autres l’ont fait mieux que moi. Je me contenterai simplement de vous renvoyer à cette petite vidéo ou encore à ce schéma très pédagogique, tous deux réalisés par un acteur clé du mouvement open data en France, l’association LiberTIC. Voilà quelques bonnes raisons, qui, j’ose l’espérer, vous convaincront de l’intérêt et de la nécessité de s’emparer du sujet “open data”. BONNE RAISON N°1 : parce que c’est une obligation légale.