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E-marketing

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[Etude] Comment les interactions online/offline influencent le parcours d’achat. L’étude « Online shopper intelligence » récemment publiée par Kantar Media Compete met en lumière à quel point les interactions entre le online et le offline sont multiples et variées dans le parcours d’achat du consommateur. Selon l’enquête, la pratique la plus répandue est de rechercher le produit sur internet avant de l’acheter en magasin. Baptisée Ropo (pour research online, purchase offline) cette tendance concernerait plus de 9 cyberacheteurs sur 10. En effet, la quasi-majorité des sondés déclare être encline à rechercher au moins un type de produit en ligne avant de l’acheter en magasin.

Ce comportement concerne davantage les achats high-tech et électroménager (32% et 27% des acheteurs), dont le prix d’achat est globalement plus élevé. Si le web génère incontestablement de l’activité en magasin, l’inverse est également vrai. L’enquête réalise d’ailleurs un focus sur le profil des cyber-acheteurs. Retrouvez le rapport complet. [Bilan Fevad] L’e-commerce bondit de 22% en 2011. Les ventes online ont enregistré une progression de 22% pour atteindre un CA de 37,7 milliards € en 2011. Voilà l’une des principales informations dévoilées par la Fevad, qui présentait ce matin le bilan annuel du e-commerce.

Cette hausse des ventes s’expliquerait notamment par l’activité des 3M de cyber-consommateurs supplémentaires enregistrés cette année (+11%). Ainsi, en 2011, plus de 30M de Français, soit près de 60% des internautes, ont réalisé au moins un achat en ligne. Si les acheteurs online sont donc toujours plus nombreux, ceux-ci réalisent également des achats plus fréquents mais moins onéreux. Parmi les autres informations clefs de ce bilan : Ce bilan était également l’occasion pour la Fevad de rappeler la forte poussée du m-commerce en France. La Fevad souligne enfin que le cap des 100 000 sites marchands a été dépassé pour la première fois cette année. La révolution ce n’est pas Facebook, c’est la digitalisation de l’entreprise. Facebook est un accélérateur et un facteur de changement.

Nous l’avons vu en début d’année lors des révolutions du printemps arabe. Mais il n’est qu’un facteur ; d’autres conditions de changements devant être réunies : culturelles, économiques, sociétales, sociologiques, logistiques. Réduire les révolutions arabes à Facebook est une erreur (on peut dire la même chose des émeutes plus récentes en Angleterre). Lire certains experts digitaux interpréter le monde et ses changements au travers de ce qu’il voit tous les jours (Internet et en l’occurrence Facebook) est une erreur. Nous aimons dire au sein The Persuaders que les changements, si je passe maintenant à une vision plus économique en lien avec l’entreprise, sont liés à 4 facteurs, séparés entre les facteurs internes et les facteurs externes. Culturel et organisationnelStratégiqueConcurrentielAttentes des cibles visées L’enjeu Web pour les entreprises aujourd’hui : leur digitalisation Comment s’y prendre ?

Pourquoi mesure-t-on la notoriété sur le web mais rarement la réputation. Notoriété, réputation, popularité, visibilité, autorité… Un ensemble de termes utilisés chaque jour pour qualifier la présence d’informations sur le web. Un ensemble de termes que l’industrie de la (e)réputation emploie et essaye de quantifier. Seulement voilà : s’il est pertinent de parler de mesure de la notoriété, l’état actuel des technologies et méthodologies fait qu’il est rare de voir des outils ou agences mesurer réellement la réputation. L’e-réputation reste à construire là ou l’e-notoriété est déjà clairement balisée ? Il y a deux ans j’ai essayé de définir la réputation, la notoriété et l’image de marque, mais il ne parait pas inutile de revenir rapidement sur quelques « définitions » de ces concepts appliqués au web. Au-delà d’une simple remarque lexicologique il parait intéressant de souligner qu’évaluer la notoriété sur le web n’emprunte pas les mêmes mécanismes que l’évaluation de la réputation.

Notoriété et termes voisions : petites définitions appliquées au web Au final… Vers de nouvelles expériences d’achat et de consultation. Voilà près de 15 ans que le web est disponible auprès du grand public. En 15 ans il s’est passé beaucoup de choses, mais pas tant que ça finalement. Regardez par exemple des sites comme Amazon ou Ebay, sont-ils véritablement différents de ce qu’ils étaient il y a 15 ans ? Certes, il y a bien eu des refontes (cf. Amazon et Ebay changent ENFIN de sites web), mais la logique de navigation et la présentation des offres est quasiment la même. La mise en page de ces deux sites est en effet directement héritée de ce qu’était le web à ses débuts : un média essentiellement textuel. Nous sommes maintenant en 2011 (bientôt 2012), et le point de saturation est atteint depuis longtemps, aussi bien en terme de volume de contenus que de nombre de fonctionnalités. Pour moi tout à commencé avec cet article publié sur le Smashing Magazine où m’auteur dénonçait le manque d’originalité dans la mise en page dans blogs : The Death of the Boring Blog Post.

Etude de cas : Eram, il faudrait être fou pour communiquer plus ? Cet article a été publié il y a 2 ans 6 mois 17 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Ces temps-ci, on aurait pu penser que la mode de la chasse aux bad buzz 2.0 s’en était un peu allée. Mais penser que cette mode était terminée revient un peu à croire au Père Noël. Et comme le dit si bien l’adage, “chassez le naturel, il revient au galop”. Ainsi, après des articles sur Petit Bateau et Orangina, j’ai donc succombé au petit buzz d’hier : Eram, et à son prétendu bad buzz. A part avoir vécu sur une île déserte, ou être complétement hermétique à la publicité, vous n’avez pas pu échapper à une campagne de communication d’Eram. Déjà à cette époque, la marque assumait un parti pris créatif et un territoire de communication “particulier”. Ce temps est aujourd’hui révolu (c’était pour la minute nostalgie).

Vous allez sans doute me dire : mais quelle nouvelle campagne de communication ? Il est passé où mon bad buzz ? Et si vous passiez à la Relation Client sur Internet ? Les services de Relation Client, comme les départements Marketing et Communication, doivent également faire leur révolution et intégrer la brique social media dans leurs outils et canaux relationnels actuels. Je ne parlerai pas ici de nouveaux concepts comme le Social CRM, préférant me concentrer sur l’essentiel à savoir la relation efficace, pérenne et satisfaisante avec son client sur Internet. Un schéma relationnel qui change avec Internet Pas de grands chiffres sur les avis, l’impact de l’influence sur Internet pour ne pas noyer ici le discours.

Je préfère me concentrer sur un schéma simple qui explique ce changement relationnel dans les attentes des internautes, qui ont trouvé dans le média Internet, un moyen différent d’entrer en contact avec leurs pairs à une plus ou moins grande échelle. ON PARLAIT AVEC VOUS : l’internaute faisait la démarche d’aller vers l’entreprise sur les canaux relationnels mis en place par celle-ci et donc fortement contrôlés. Les 50 meilleurs sites Internet de 2011 selon le Time. La Stratégie de Coca Cola pour 2020 en images… Community Management : le combat aura-t’il lieu ? | Marketing opérationnel et Médias Sociaux Hubert-SENANT.com. L'hyper-connectivité, esclavagisme des temps modernes ? Il est loin le temps ou la sphère professionnelle se limitait au bureau qui nous retenait quotidiennement entre quatre murs. Dorénavant, on a accès à tout, tout le temps.

On est connecté partout, à tout, tout le temps. Il est loin le temps ou la sphère professionnelle se limitait au bureau qui nous retenait quotidiennement entre quatre murs. Dorénavant, on a accès à tout, tout le temps. Grâce ou plutôt à cause de lui, le monde professionnel ronge vicieusement les frontières qui lui sont dévolues et s’invite dans notre sphère intime. La liberté ne connait plus de frontières, internet les a virtuellement abolies De fait, alors qu’il existe bien des frontières réelles, le bureau, la technologie, quant à elle, ne nous rend pas plus libre si l’on n’y prend pas garde. Quel est le rapport avec la liberté ?

La technologie nous rend plus mobile mais derrière cette possibilité de mobilité totale (on peut même se connecter du Mont Everest) se cache un asservissement auquel on s’astreint nous même. [Etude] La majorité des marques à côté de la plaque sur l’e-marketing. Le désabonnement, nouveau comportement de l’internaute ? Je viens de passer une semaine avec un groupe de 30 personnes qui n’ont rien à voir professionnellement avec le web, les réseaux sociaux ou l’email marketing. Nous avons échangé à un moment donné sur nos activités professionnelles respectives. En parlant d’email marketing, j’ai été surpris par la quasi unanimité autour de la gestion de leur boite email. Pour gérer leur messagerie, aucun ne clique sur le lien de désabonnement pour supprimer leur adresse des bases de données. Ils déclarent les emails non désirés en courrier indésirable ou en spam. Pourquoi, alors que la plupart des acteurs sont clean et gérent correctement le désabonnement via le lien de désabonnement dans le footer de l’email (tout en bas) ?

Leur réponse est unanime et directe : « si tu cliques sur le lien de désabonnement, tu valides ton adresse email et tu te mets à recevoir encore plus d’emails non sollicités ! Wouah, la claque que j’ai prise. Je ne pretends pas tirer une généralité de cette histoire. De l’intérêt des avis négatifs et de la critique. De nombreux discours sur l’e-réputation se concentrent sur les commentaires/avis négatifs. Cette vision binaire parfois étonnante, négatif = mauvais, positif = ce que l’on cherche à atteindre, exclue souvent tout l’intérêt que ces commentaires jugés comme négatifs apportent à une organisation.

Voyons rapidement pourquoi… Tout d’abord, il est important de rappeler que rien n’est négatif ou positif en soit, ce n’est qu’une question de perception. Perception basée sur l’image voulue par une organisation pour ses produits/services, image qu’elle retrouve ou non dans les avis exprimés sur le web (à condition bien entendu qu’elle définisse clairement cette image voulue). Au final, ces commentaires/avis qui peuvent paraitre négatifs et critiques sont (et on peut en débattre) une vraie valeur ajoutée pour une organisation. Mais aussi de se positionner face à une communauté (sociale) à laquelle il veut se rattacher ou s’opposer. Les commentaires négatifs peuvent amener au débat. Au final… Technologies de l'information et de la communication appliquées à l'enseignement.

Internet en 2049 : maîtres ou esclaves du numérique ? Le JDN publie chaque jour en avant-première un extrait du livre de Benoît Sillard et vous propose de partager votre vision de l'Internet en 2049. La nouvelle génération vit dans un monde numérique : immergée dans ce milieu technologique dès sa naissance, elle sait très tôt se servir de ses outils... ce qui n'est pas toujours le cas des enseignants. L'imprimerie a été inventée vers 1450, mais il a fallu attendre en France les lois de Jules Ferry de 1881 pour que la scolarité gratuite, laïque et obligatoire démocratise réellement les savoirs issus de la révolution de l'imprimé. La technologie ne crée pas toute seule la connaissance et son partage. Internet est né en 1990 : l'émergence de l'école et de l'université numériques est un défi d'ampleur comparable.

Différents outils numériques sont expérimentés depuis quelques années et certains sont en phase de déploiement massif : Le marketing mobile : mythe ou réalité ? L'ère du mobile a sans conteste changé les règles du jeu entre les marques et les consommateurs. Dans le monde, quatre consommateurs sur cinq peuvent accéder à Internet et au commerce en ligne via leur mobile, contre un consommateur sur cinq via son ordinateur (TNS Sofres Mobile Life).La nouvelle étude de TNS Sofres entend mesurer la connaissance qu'ont les consommateurs de ces nouveaux outils, leur niveau et mode d'utilisation, pour révéler aux marques si le mobile est stratégique ou non.

Applications, géolocalisation, réalité augmentée et flaschcode... sont autant d'utilisations décryptées par l’institut pour en comprendre les enjeux marketing. L'étude montre à quel point les consommateurs mobinautes sont friands des différents outils mobiles, à la fois en termes de saillance et d'usages déclarés. En moyenne, 27 applications sont téléchargées sur un smartphone (et même 33 parmi les catégories sociales les plus aisées et les 25-34 ans).

Identité numérique et réputation à nouveau sur le devant de la scène. Grosse actualité ce matin avec le lancement par Swiss-Life d’une offre de protection de la e-réputation des particuliers : Reputation Squad lance en partenariat avec Swiss Life la première offre d’assurance e-réputation. Une offre avant-gardiste et dans l’ère du temps (72% des internautes ne saurait pas supprimer les contenus diffusés à leur insu sur le web). Autant je déteste le terme “e-réputation”, autant je suis persuadé qu’il y a bien un enjeu de société avec la gestion de l’identité numérique. Dans ma vision des choses, il n’y a pas de “e-réputation”, simplement une réputation qui se propage de façon naturelle (anarchique ?) Par bouches à oreilles ou sur d’autres médias. Le web étant le média où les particuliers ont le plus de chance d’être visibles, en tout cas bien plus de chances qu’à la TV ou la radio.

Google est également en embuscade sur ce créneau depuis un petit bout de temps. Tout ceci est très intéressant, mais il n’y a pas beaucoup d’argent à gagner dans l’immédiat. Comment mettre en place une stratégie RP 2.0 ? Les marques passent par des agences pour faire parler d’un événement, du lancement d’un nouveau produit ou service, d’une campagne de communication… En choisissant de contacter des blogueurs, elles se donnent les moyens de toucher un grand nombre d’internautes. Plaçons-nous du côté agence et dressons la liste des actions à effectuer pour mettre en place une stratégie RP 2.0 destinée aux blogueurs. Mais d’abord, que sont les RP 2.0 ? Également appelées relations publiques en ligne, elles correspondent à l’art de faire parler de soi en utilisant le web et les médias sociaux. Sachez que ce terme a été inventé à la fin des années 90 par Brian Solis. Quelles sont les différentes étapes d’une stratégie RP 2.0 ?

Définir les objectifs : Quantitatifs ou qualitatifs, les objectifs sont très différents d’une campagne à une autre, développer la notoriété d’une marque, annoncer le lancement d’un produit, valoriser une image, générer du trafic sur un site, un lieu de vente… Cibler les blogueurs : Google va annoncer le lancement du paiement mobile sans contact ! Jeudi 26 mai Web - 26 mai 2011 :: 08:30 :: Par Jean-Baptiste La rumeur enfle depuis quelques jours, aujourd’hui Google devrait annoncer le grand lancement de la technologie de paiement sans contact à partir de terminaux mobiles, la Near Field Communication (NFC) aux États-Unis.

(photo : www.markmackenzie.co.uk) On sait depuis longtemps avec l’intégration de puces NFC dans les Nexus S que Google veut se lancer dans cette technologie à très fort potentiel. Depuis fin mars les médias anglophones comme le Wall Street Journal révèlent que Google travaille avec de puissantes entreprises du secteur comme Mastercard et Citigroup pour amener ce projet à la vie. Ces derniers jours néanmoins, les événements se sont précipités et le dénouement est vraisemblablement pour aujourd’hui ! Bref le fait est que ça chauffe. Reste donc que Google semble bien placé pour conquérir encore un marché jusque-là peu exploité à savoir la vraie vie ! Plus d'infos sur : Google, NFC. Le Quantified Self au service de la productivité individuelle et collective.