Crème à l’Ail [Toum] Pains libanais ***** Crème à l’Ail [Toum] How to select and prepare meat for Lebanese Kibbeh. I don’t want to give you the wrong impression.
I notice that many—ok, all—of the main course dishes I’ve served up here have involved red meat. It’s not that the Lebanese can’t make a meal without including beef or lamb…Lebanese and other Middle Eastern cuisines are considered so healthy, in fact, because of our extensive use of good fats (olive oil, nuts), grains, fish and vegetables. There’s just this thing we have for the red meat that is akin to a crush that never gets old. The Lebanese dishes made with red meat are so sumptuous that they get a lot of play at the table. But before you start wandering off, hear me out on the kibbeh this week. Let’s start with the basics. Once you know how the meat is prepared for the kibbeh nayeh, the idea of eating it raw won’t seem quite so freakish. Purchase and grind your meat the same day you are going to eat it.
Au gré du marché: Poulet rôti au sumac, au zaatar et au citron. J'ai toujours eu un fort penchant pour les saveurs du Moyen-Orient.
Aussi quand j'ai vu cette recette chez Anièce du blog Une faim de loup, j'ai tout de suite su que j'adorerais ce poulet rôti au sumac, au zaatar et au citron. Le sumac ne vous est peut-être pas étranger si vous connaissez la fattouche, une salade libanaise qui en contient. En fait, ce condiment provient du sumac des corroyeurs, une variété d'arbuste de la famille des rhus qui produit des baies, qui une fois broyées, transmettent aux aliments une touche acidulée. En Iran, le sumac en poudre est souvent proposé sur la table avec les brochettes de viande hachée et le riz afin que chacun en saupoudre sur son assiette à sa convenance. Ce condiment entre parfois (au Liban surtout) dans la composition du zaatar, un mélange d'herbes et d'épices. À Montréal, on peut se procurer du sumac et du zaatar chez Adonis. Épouxcurien et moi avons adoré cette recette. Marinade : Dans un grand plat en verre, déposer le poulet. Merci Anièce! And so we cook.
Voici un met qui, à lui seul, est une invitation au voyage.
Ces délicieuses croquettes évoquent la cuisine proche-orientale, le Liban, le brassage des cultures, les souks, le règne des pois chiches… L’origine des falafels est pourtant entourée de mystère. Nul n’est réellement en mesure de leur attribuer une date ni un lieu de naissance. Certains arguent qu’il proviendrait d’Egypte, d’autres de Palestine, d’autres encore du Liban… Les dissensions sont d’ailleurs tellement fortes sur ce sujet, notamment depuis que la communauté juive new-yorkaise a su mettre les falafels sur le devant de la scène culinaire, que l’état Libanais a longtemps menacé d’attaquer l’état Israélien en justice pour vol de traditions culinaires.
Etait-ce du bluf ? Est-ce que cette menace a réellement été mise à exécution ? Personnellement, et au risque de choquer les protagonistes, toutes ces chamailleries me paraissent bien puériles… Les plats sont faits pour voyager, pour apporter du plaisir à tous les peuples. Pita aux falafels. A la base le falafel est une boulette de pois chiches ou de fèves et d'épices mais il désigne aussi un sandwich du Proche-Orient composé d'une pita garnie de houmous, chou blanc et rouge, concombre, tahini et harissa et bien sûr des fameuses boulettes de pois chiches brûlantes.
Etudiante, j'habitais à côté de la rue des Rosiers, et pendant des années je me suis nourrie aux falafels. J'en raffole. Récemment, j'en ai acheté un et je n'ai pas pu le terminer tellement il m'a semblé copieux. Mais ça me plait toujours autant. Je propose une version toute simple avec de la salade et une sauce au yaourt. Pour 1 trentaine de boulettes 250g de pois chiches 3 gousses d'ail. Pains libanais *****