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Acoso laboral a las mujeres en las maquiladoras, ¿mito o realidad? El objetivo del estudio fue explorar la experiencia de hostigamiento laboral, también conocido como mobbing, vivida por un grupo de trabajadoras de la industria maquiladora en México pertenecientes a una empresa que fabrica bolsas de aire para automóvil en Baja California.

Acoso laboral a las mujeres en las maquiladoras, ¿mito o realidad?

Los datos se recolectaron a través de encuestas, utilizando como criterio el modelo Ten-mobbing modificado de Trujillo, et al. (2007) y el instrumento IVAPT-PANDO, de Pando, et al. (2006). Mexique . Les “maquiladoras”, symboles de l’exploitation ouvrière. Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.

Mexique . Les “maquiladoras”, symboles de l’exploitation ouvrière

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Pour plus d’information, consulter notre politique relative aux cookies. Prólogo: Las maquiladoras del sur de México y de América Central:trabajo, género e identidad* 1Desde que se instalaron las primeras empresas maquiladoras de la Frontera Norte de México, en el año de 1965, el tema ha sido ampliamente estudiado desde distintos abordajes teóricos y metodológicos, mismos que han suscitado posiciones encontradas.

Prólogo: Las maquiladoras del sur de México y de América Central:trabajo, género e identidad*

En este marco de discusión que acentúa diferencias acusadas en las empresas trasnacionales, condujo a Carrillo y Hualde (1998) a la construcción de una tipología de tres generaciones sustentada en sus niveles de desarrollo tecnológico principalmente y en los procesos de producción cuya naturaleza exige determinada mano de obra, tecnología y equipo. Advertimos que nuestra intención de hacer hincapié en la noción de “maquiladoras” no corresponde a un concepto unívoco, sino que entraña una vasta pluralidad de empresas inscritas en este régimen. Cuadro 1 - Países centroamericanos. Empleo generado en la industria maquiladora. Fuente: La industria de la maquila en centroamérica. 1 La Prensa Grafica San Salvador, martes, 16 diciembre 2008. MEXIQUE - Filiales de multinationales : les maquilas. II.- Des travailleurs (...) - AlterInfos - DIAL. Voir introduction DIAL D 2516.

MEXIQUE - Filiales de multinationales : les maquilas. II.- Des travailleurs (...) - AlterInfos - DIAL

Ci-dessous, un texte provenant d’un travail effectué par la Pastorale de la jeunesse ouvrière de Matamoros, Tamaulipas (Mexique), et publié dans son bulletin d’information de novembre 2000. L’industrie de sous-traitance, ou maquila, s’est implantée à Matamoros, [dans l’État de Tamaulipas au nord du Mexique] à la fin des années 60, principalement l’électronique qui emploie en majorité des femmes dans ses secteurs de production. Avec l’entrée en vigueur du Traité de libre commerce d’Amérique du Nord, la croissance industrielle a été impressionnante. MAQUILADORAS. Les maquiladoras sont des usines de montage qui assemblent en exemption de droits de douane des biens importés destinés à être intégralement réexportés.

MAQUILADORAS

Leurs propriétaires bénéficient ainsi d'une main-d'œuvre bon marché et ne paient des droits de douane que sur la valeur ajoutée du produit, c'est-à-dire la valeur du produit fini moins le coût total des composants importés pour sa fabrication. La grande majorité des maquiladoras sont détenues et gérées par des sociétés mexicaines, asiatiques ou américaines. Les maquiladoras firent leur apparition au Mexique dans les années 1960, ce qui explique leur nom espagnol, dérivé du terme maquila (portion de farine ou d'huile donnée au meunier en paiement de la mouture). Souvent implantées dans des villes frontalières du nord du pays, elles constituaient un moyen de créer des emplois et de générer un flux important de devises pour soutenir l'économie en développement du Mexique. . « MAQUILADORAS » est également traité dans : Amérique du Sud - Face à la crise économique. La maquila serait-elle une (...) - AlterInfos - DIAL.

Le terme maquila est désormais connu pour désigner des entreprises d’origine étrangère qui s’installent dans des zones franches d’Amérique centrale pour y effectuer divers travaux d’assemblage pour des produits destinés à l’exportation.

Amérique du Sud - Face à la crise économique. La maquila serait-elle une (...) - AlterInfos - DIAL

Ces entreprises sont attirées par une main-d’œuvre féminine bon marché ainsi que par divers avantages économiques concédés par les gouvernements (cf. DIAL D 2048, D 2163). L’Amérique du Sud sera-t-elle tentée à son tour de voir dans la maquila l’une des solutions aux problèmes du chômage et de la pauvreté ? Il est important de noter que la réalité désignée par le mot maquila au Paraguay est assez différente et beaucoup plus large, puisque cela va du commerçant organisant son réseau de vendeurs ambulants, jusqu’à la maquila industrielle sous-traitant à de nombreux « indépendants » des travaux payés à la tâche. C’est cet ensemble que nous présente l’article ci-dessous de José Miguel Munárriz, paru dans ACCIÓN, août 1998 (Paraguay). Une nouvelle dépendance.