La notion de bonheur selon les cultures. Si la majorité des études scientifiques envisagent le bonheur sous l'angle du bien-être subjectif et donc des émotions, encore faut-il s'accorder sur les émotions positives qui rendent heureux.
Ici, il semble que la culture joue un rôle prépondérant. Les Américains, par exemple, associent bonheur avec gaieté, énergie et dynamisme ; ils valorisent les émotions fortes et grisantes. Les Indiens ou les Chinois, en revanche, voient le bonheur comme un état de paix et d'harmonie intérieure ; ils privilégient des émotions moins intenses et plus sereines. Ces différences seraient par ailleurs acquises très tôt durant l'enfance, notamment à travers les contes pour enfants. Comparaison du bonheur entre cultures différentes Le professeur Jeanne Tsai et ses collègues de l'université de Stanford ont comparé la littérature pour enfants aux États-Unis et à Taïwan afin de voir s'il existait des différences dans la manière dont le bonheur y était représenté. Mais encore ? Conclusion. Bonheur et bien-être dans les différentes cultures. - Nüdiversity le webzine de la diversité.
NÜDiversity Bonheur et bien-être dans les différentes cultures.
Aujourd'hui la quête du « bien-être » est un objectif qui devient prioritaire. Comment parvenir au bonheur dans une société dont l'optimisme est en berne ? Le bonheur sociétal sous le soleil de Sète. "Nous allons parler du bonheur, ce n'est pas un scoop, lançait ce jeudi le président des 3es Assises internationales du bonheur, Patrice Tachon, lors de l'ouverture des trois jours de conférences.
Mais nous allons parler du bonheur sociétal, et non du bonheur individuel, même si le premier fait ou devrait faire le second. " Dans la salle Tarbouriech du théâtre de la Mer, il parlait au nom de "l'incurable optimisme" de l'Observatoire international du bonheur (OIB) et brandissait “altruisme” ou encore “solidarité” en maîtres mots. Diaporama Le Bouthan, pays du bonheur - Vsd. Au Bhoutan, ce petit pays de moins d'un million d'habitants, niché entre l'Inde et la Chine, pas question de parler de Produit intérieur brut (PIB), la mesure de la production annuelle de richesse !
Ici, c'est le BNB qui prime : le Bonheur national brut ! Cet indice prend en compte le bien-être de sa population. Le BNB repose sur quatre piliers : la conservation et la promotion de la culture bhoutanaise, la préservation de l'environnement, la bonne gouvernance et le développement économique responsable et durable. Ces quatre piliers sont enseignés aux enfants dès le plus jeune âge. Le pays prévoit par ailleurs de passer à une agriculture 100 % biologique d'ici 2020. Des ombres au tableau… Malgré tous ces efforts, 25% des habitants du Bhoutan vivent sous le seuil de pauvreté, selon les critères de l’ONU. Crédit photo : AFP. Notre vision du bonheur est-elle culturelle? La dimension culturelle du bonheur… et du malheur français.
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Claudia Senik, professeur à l'université Paris-Sorbonne et à l'Ecole d'économie de Paris A l'heure où de nombreux pays se mettent en ordre de marche pour mesurer le bien-être "au-delà du produit national brut (PNB)", suivant les recommandations du rapport Stiglitz-Sen (2009), l'Insee vient de rendre public le résultat d'une enquête auprès des Français, confirmant les leçons des enquêtes internationales : sur une échelle de bonheur graduée de 0 à 10, les Français se placent en moyenne à 7,2.
Il s'agit d'une très mauvaise note. Ainsi, parmi les treize pays européens qui ont participé à l'enquête European Social Survey depuis 2002, seul le Portugal obtient un score de bonheur moyen plus faible (6,8), avec des conditions de vie matérielles beaucoup plus défavorables. Dans cet esprit, on peut estimer la relation statistique typique entre développement et bonheur. Avec un IDH identique, les Belges sont à 7,7… et les Danois à 8,3. Les pays les plus heureux. Bhoutan : au pays du Bonheur national brut. Lancé en 1972, le "nouveau paradigme" s’appuie sur quatre piliers : la protection de l’environnement, la conservation et la promotion de la culture bhoutanaise, la bonne gouvernance et le développement économique responsable et durable.
Le temps du cocooning. L e mode de vie scandinave alimente le rêve, incarné en cette fin d’année par une soirée familiale au coin du feu (devant un bon film pour s’en mettre plein les yeux, un chocolat, fair-trade de préférence, ou un vin chaud entre les mains, des chaussettes en laine vierge aux pieds), par un joyeux repas entre amis à la lumière de chaleureuses chandelles, par un bain réconfortant et parfumé pris dans une lumière tamisée.
L’étymologie du mot hygge vient d’un terme norvégien qui signifie “bien-être” - étendez à “cocooning”, mais aussi “tranquillité”, “sérénité”, “gentillesse” et “gratitude” pour faire bonne mesure.