background preloader

Historique/définitions

Facebook Twitter

Le livre : son passé, son avenir. Entretien également disponible aux formats audio (mp3) et texte (pdf). Les mutations de l’objet livre La Vie des idées : Je voudrais évoquer avec vous la manière dont l’objet livre se métamorphose aujourd’hui sous l’influence des technologies liées à Internet (les e-books, le print on demand, etc.). Pouvez-vous revenir sur quelques-unes des mutations que le livre a connues depuis l’invention du codex ? Roger Chartier : Le premier problème, c’est : qu’est-ce qu’un livre ? C’est une question que posait Kant dans la seconde partie des Fondements de la métaphysique des mœurs, et il définissait très clairement ce qu’est un livre. D’un côté, c’est un objet produit par un travail de manufacture, quel qu’il soit – copie manuscrite, impression ou éventuellement production électronique –, et qui appartient à celui qui l’acquiert. La Vie des idées : Michel de Certeau établit une distinction entre la trace écrite, fixée et durable, et la lecture, qui est de l’ordre de l’éphémère [1].

Note technique : Le marché du livre électronique est-il en panne. On le sait, le marché français du livre électronique peine à décoller. En 2011, la vente de livres numériques n'a représenté que 0,5 % des ventes totales de livres en France (soit un total de 12,5 millions d'euros). Hormis en Corée du Sud, Etats-Unis et Grande-Bretagne, le taux de pénétration dans la plupart des pays demeure faible : en dessous de 1 %.

Pourquoi ça ne décolle pas partout ? La raison principale avancée est toujours le prix bien sûr ! C'est autour de celui-ci que bien des utilisateurs s'exaspèrent... Mais est-il la vraie raison ? Il faut d'abord compter sur l'état du marché des supports. Si la France se distingue par le prix le plus élevé d'une nouveauté au format numérique (15 euros en moyenne, contre 9,3 euros aux Etats-Unis), le prix moyen n'explique pas le bon résultat de la Grande-Bretagne (13 euros pour un taux de pénétration de 7 %) ni le mauvais résultat de l'Allemagne (10,9 euros pour un taux de pénétration de 0,9 %). Le ralentissement du boom du livre numérique.

L’avenir du livre… est dans les données. Mike Shatzkin (@MikeShatzkin), de retour de la Foire du livre américain (Book Expo America), a publié sur son blog quelques réflexions en désordre sur ce qu'il y a entendu et ce que cela lui a inspiré. Deux d'entre elles m'ont semblé suffisamment inspirantes pour vous en faire part. De l'importance des métadonnées Les métadonnées qui décrivent les livres sont toujours aussi mal organisées, estime Mike Shatzkin. Or, comme l'expliquait Jonathan Nowell (@JontyNowell), président de Nielsen Book Data, 40 à 80 % des ventes d'un titre dépendent de la qualité des métadonnées.

Selon une étude (.pdf) menée par Nielsen Books, les ventes d'un titre de fonds (au format papier) peuvent augmenter de 42 % avec des métadonnées appropriées. Pour Nowell, l'importance des métadonnées est encore plus forte pour les livres électroniques, où la découverte est plus difficile et où les métadonnées sont bien souvent moins riches et appropriées. Des bases de données pour gérer les droits La mode du court ?... Le blog de actualitesdulivrenumerique. Liseuse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un auteur tenant les éditions papier et numérique de son roman Une liseuse[1] est un appareil mobile conçu principalement pour lire des livres numériques. L'appareil est doté d'un écran pour la lecture et doit permettre le stockage des publications numériques pour la création d'une bibliothèque numérique[1],[2]. Appellations[modifier | modifier le code] L'appareil est aussi appelé lecteur électronique, livre électronique ou tablette de lecture[2].

Le « livre numérique »[3] caractérise le livre au format numérique, alors que le « livre électronique » caractérise le support électronique de lecture[4]. Une liseuse fonctionne grâce à la technique du papier électronique, lequel utilise la lumière ambiante pour afficher le texte. Historique[8][modifier | modifier le code] En 1992-1993, F. En 2000, la société américaine Gemstar (en) rachète NuvoMedia, SoftBook Press et la société française oohoo (zéro heure). Marchés[modifier | modifier le code] Rapport sur le livre numérique. Lire à l’heure des écrans, par Kevin Kelly. Lire d'une manière entièrement nouvelle "Reading in a Whole New Way", Kevin Kelly. Traduction Hubert Guillaud avec l'aide d'Alain Pierrot et Julien Austruy (Participez à l'amélioration de la traduction, pour ceux qui le souhaitent). L'Amérique a été fondée sur la parole écrite. Ses racines trouvent leur source dans des documents tels que la Constitution, la Déclaration d'Indépendance et, indirectement, la Bible.

Le succès du pays a longtemps dépendu du niveau élevé d'alphabétisation, de la liberté de la presse, de l'allégeance à l'État de Droit (basé sur des lois et donc des documents écrits) et d'une langue commune à tout un continent. La prospérité et la liberté américaines sont nées d'une culture de la lecture et l'écriture. Mais la lecture et l'écriture, comme toutes les technologies, sont dynamiques. Après l'arrivée de l'imprimerie par Gutenberg vers 1440, la production massive de livres a changé la façon dont les gens lisaient et écrivaient.

Et cela exige plus que nos yeux. Hypermédia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Grâce à ce procédé, toutes les formes d'informations sont reliées et permettent une navigation non-linéaire et interactive dans un ensemble de données textuelles, iconographiques et sonores. Dans les applications basées sur le Web, l'information est présentée selon une approche hypermédia, mais de plus, il est possible d'effectuer des traitements à travers l'interface Web.

Dès lors, il n'est pas surprenant de constater que beaucoup de travaux de recherches sur les hypermédias ont été réalisés ou sont en cours de développement. Ces dernières années ont vu émerger ce que les médias de l'information n'ont pas hésité à nommer « la révolution des nouvelles technologies ». La popularisation de l'ordinateur et l'avènement du Web au début des années 90 nous ont fait pleinement rentrer dans l'ère de l'informatique grand public.

Le terme « hypermédia » a été cité pour la première fois par Ted Nelson en 1965. Hyperlien.