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Quelles sont ces start-up qui font de Lagos la Silicon Valley de l’Afrique ? Bien des régions pourraient prétendre au titre de « Silicon Valley » africaine : à l’est comme à l’ouest, ainsi qu’en Afrique du Sud, des start-up émergent un peu partout dans des domaines aussi variés que le commerce, l’agriculture, l’information, la santé ou bien encore les énergies renouvelables. Mais, pour l’heure, c’est Lagos, au Nigeria, qui attire tous les regards. Ce n’est donc pas pour rien que Mark Zuckerberg a réservé sa première visite sur le continent à Lagos et à ses jeunes développeurs, les 30 et 31 août, avant de faire un saut de puce au Kenya et de revenir à Abuja pour un petit selfie avec le président nigérian, Muhammadu Buhari.

Même si le pays vient d’entrer en récession économique et de perdre sa place de première économie d’Afrique, la capitale nigériane, elle, reste un lieu de référence pour les nouvelles technologies et s’accroche à son titre. Lire aussi : Ushahidi, une technologie africaine qui a conquis la planète BudgIT, le crack de l’infographie.

Euratechnologies va aider les start-up françaises à attaquer le marché brésilien. Les structures d'innovation françaises s'exportent. Après le parisien Numa qui a créé des bureaux à Moscou, Casablanca, Mexico, Bangalore et Barcelone, c'est au tour d'Euratechnologies à Lille de bâtir des ponts avec des écosystèmes étrangers. L'incubateur / accélérateur nordiste avait déjà conçu un programme en direction de la Chine et possède des bureaux à New York, San Francisco, Shanghaï, Dubai et Belo Horizonte. La structure veut maintenant aider les start-up françaises à attaquer le marché sud-américain, en partant du Brésil.

Comme pour la Chine, ses équipes vont procéder par étapes : d'abord une première mission exploratrice fin août, à la rencontre des acteurs de l'écosystème local (lieux d'innovation, start-up, écoles, experts métiers…) , puis le lancement d'un programme d'accélération à long terme, d'une durée de douze à dix-huit mois. Lille prépare le post-brexit. JNDA 2016 : l'Afrique s'invite à Bordeaux. Organisées par Bordeaux et initiées par le Club de Bordeaux-Cameroun France, les JNDA sont l'occasion de conforter le rôle de la diaspora dans le développement des villes françaises et africaines. Pendant deux jours, des acteurs influents, talentueux et compétents mobilisent leurs énergies pour développer des partenariats pour une croissance partagée et durable entre Bordeaux et l'Afrique. Des partenariats riches et innovants en matière de développement Les JNDA renforcent les liens historiques, culturels, économiques et humains tissés entre la capitale aquitaine et le continent africain.

Ces liens constituent un réel atout pour accroître la visibilité et le développement de Bordeaux en Afrique, où émergent des dynamiques nouvelles. Des femmes et des hommes dynamiques et influents à l'honneur Ces deux jours d'échanges et de partage sauront mettre en lumière cet écosystème africain bordelais multisectoriel et dynamique, maillon essentiel de ce partenariat entre Bordeaux et l'Afrique. Baromètre Hopscotch Système. Hopscotch Système Africa a créé une plateforme d'expertises et d'échanges dédiée à l'Afrique pour connaître, mesurer et adopter les meilleures pratiques en matière de communication digitale.

Les 5 villes les plus populaires se situent dans des pays particulièrement développés économiquement, au nord et au sud du continent. Les analyses révèlent de grands écarts en termes de gestion de la popularité numérique : sur les 62 villes étudiées, seules 15 disposent de plus de deux liens maîtrisés sur Google. Globalement, la visibilité des villes africaines reste en deçà de celle des métropoles internationales : alors que Cape Town, au sommet du classement, génère 204 millions de liens indexés, New York, Londres ou Paris en génèrent environ 3 milliards. #Inde : Embarquez pour le tour du monde de Smart Valleys. 1ère étape : l'Inde avec HackerEarth. Quelle est la différence entre une start-up et une entreprise? Article rédigé par Jérémy Joron le et modifié le mercredi 15 juillet 2015 500 mots 12265 AddThis is disabled. ✓ Allow J'ai écouté une conférence de Oussama Ammar dernièrement et il expliquait la différence fondamentale entre une entreprise et une start-up et pourquoi il était extrèmement important de connaitre la différence.

Personnellement, je ne savais même pas que c'était deux choses différentes. Google Adsense is disabled. Quelle est la différence ? Selon Oussama Ammar, une startup cherche son business model et une entreprise applique un business modèle. Se faire connaitreavoir ses premiers clientsfidéliser ses premiers clientstrouver un bon mode de revenue Tandis qu'une entreprise aura les objectifs suivants :optimiser les revenusaugmenter les parts de marchéélargir sa clientèle cibleaméliorer son image de marque Qu'est-ce qu'une startup ? Honnêtement, je pensais que le mot start-up n'était que l'anglicisme à la mode au lieu de dire entreprise en démarrage.

Voir plus. Réfléchir à la stratégie de développement des écoles audiovisuelles en Afrique. Cet atelier proposait aux écoles audiovisuelles bénéficiaires de se perfectionner à l'élaboration d'un plan stratégique de développement et de dossiers de financement institutionnels ou privés. Les écoles (IMAGINE, ISIS, IFTIC, ISCAC, NAFTI, AFDA, BNFTA) ont échangé sur leurs expériences respectives et émis des recommandations communes en termes de développement, dans le contexte audiovisuel africain. D'autres écoles du continent ont également été conviées à ces journées, comme l' ISMA du Bénin, l'école ÉCRAN du Togo et le Kilimandjaro Film Institute de Tanzanie.

En marge de cet atelier, les bénéficiaires ont aussi participé, les 13 et 14 novembre, à la conférence annuelle CARA (branche africaine du réseau CILECT), organisée cette année à l' ESAV de Marrakech**, pour laquelle les cultures cinématographiques d'Afrique et du Maghreb étaient à l'honneur. Débats, discussions et projections de films d'écoles sont venus rythmer ces deux journées.

Start up ecosystem

French tech in NY. Canada Digital. Arabités numériques. Asie. Afrique. "Les entrepreneurs culturels auront un incubateur, à Lyon, en 2016" (Arty Farty) Acteurs de l'économie/La Tribune : L'une des particularités d'European Lab est d'être un lieu d'expression pour les défricheurs de la culture de demain. Expliquez-nous la vocation globale de l'événement ? François Pirola : En effet, l'idée est de créer un lieu de rendez-vous, d'échanges et de travail pour les acteurs culturels du continent. C'est la conception initiale du forum, avant même d'être une plateforme de revendications en direction des autorités. L'ADN d'European Lab est de montrer le mouvement et les actions d'une nouvelle génération d'acteurs culturels.

Les membres de celle-ci, âgés de 20 à 35 ans, sont amenés à devenir les responsables et les promoteurs de la culture européenne de demain. Pour survivre dans le contexte actuel, la culture doit-elle adopter certains codes de l'entreprise ? Oui, c'est notre conviction, pour des raisons économiques et sociales, car l'argent public est plus rare. Ce principe d'incubation est bien connu dans le secteur économique classique. Manifeste pour les nouvelles écritures : Énoncé d'intention sur la production culturelle numérique et interactive québécoise. Tour du monde : les 10 autres Silicon Valley - dossier.